Avant le sommet entre Joe Biden et Xi Jinping, des échanges tendus sur l’indépendance de Taïwan. Le sommet prévu entre la Chine et les Etats-Unis n’a pas commencé mais les hostilités sont déjà lancées.
Pékin et Washington ont échangé, samedi 13 novembre, de sévères mises en garde concernant Taïwan, avant un sommet virtuel prévu lundi entre les présidents Xi Jinping et Joe Biden. Dans un entretien avec son homologue chinois Wang Yi, le secrétaire d’Etat américain Antony Blinken a « exprimé sa préoccupation concernant la pression militaire, diplomatique et économique continue de la République populaire de Chine contre Taïwan », selon un communiqué du département d’Etat.
Lire aussi Chine : dialoguer avec Xi Jinping MM. Biden et Xi doivent s’entretenir pour la troisième fois lundi soir, heure de Washington, soit tôt mardi à Pékin, par visioconférence. Les Etats-Unis réclament « un dialogue significatif » Les tensions sont montées d’un cran ces dernières semaines au sujet de Taïwan, que Pékin considère comme une province rebelle qui doit revenir dans son giron.
Accumulation des contentieux. Crise diplomatique entre la Chine et la Lituanie à la suite de l’établissement d’un bureau de représentation de Taïwan à Vilnius. La crise couvait entre les deux pays, elle est maintenant ouverte.
La Chine a officiellement rétrogradé ses relations diplomatiques avec la Lituanie au rang de « chargé d’affaires », a déclaré, dimanche 21 novembre, le ministère des affaires étrangères. Pékin proteste contre l’établissement d’une ambassade de facto de Taïwan à Vilnius. « Le gouvernement chinois a dû abaisser les relations diplomatiques entre les deux pays (…) afin de sauvegarder sa souveraineté et les normes fondamentales des relations internationales », a expliqué le ministère dans un communiqué. « Le gouvernement lituanien doit assumer toutes les conséquences qui en découlent », ajoute le communiqué, précisant que ses actions « ont créé un mauvais précédent sur la scène internationale ». L’affaire Peng Shuai met au défi le pouvoir central chinois. « Zhoumo yukuai !
» : d’après un journaliste de CGTN, la version internationale de la télévision d’Etat chinoise CCTV, l’ex-championne de tennis Peng Shuai a souhaité un « bon week-end » à ses amis sur WeChat, vendredi 19 novembre au soir. Elle aurait même accompagné sa publication sur le réseau social chinois de plusieurs photos, jouant avec son chat, ou tenant un panda en peluche.
Peng Shuai’s WeChat moments just posted three latest photos and said “Happy weekend”. Her friend shared the three… shen_shiwei (@Shen Shiwei沈诗伟) Après un prétendu courriel envoyé à l’Association des joueuses de tennis (WTA), qui n’a convaincu personne, la propagande chinoise insiste, avec ces photos qui évoquent les preuves de vie envoyées par des preneurs d’otages. La Chine tisse sa toile commerciale à travers le monde. Négocier avec la Chine, ou pas ?
La question taraude de nombreuses chancelleries depuis que Pékin, en pleine guerre commerciale et technologique avec Washington, multiplie les gestes d’ouverture tous azimuts dans le monde entier afin de trouver des relais de croissance moins hostiles. Après avoir signé, en novembre 2020, le Partenariat régional économique global (RCEP) avec quatorze pays d’Asie et du Pacifique, le plus grand accord de libre-échange au monde, la Chine s’est empressée de saluer « la victoire du multilatéralisme et du libre-échange », comme pour mieux souligner l’isolement des Etats-Unis. Article réservé à nos abonnés Lire aussi La signature d’un vaste accord de libre-échange renforce le rôle de la Chine dans la zone Asie-Pacifique. La menace d'une crise alimentaire, symptôme du "virage à gauche" de Xi Jinping. *On se souviendra de l’affaire relativement récente de Ni Fake (倪发科), le gendre de la sœur de Jiang Zemin, dans l’Anhui, qui fut pris la main dans le sac par Zhu Rongji lors d’une inspection surprise.
Le problème alimentaire que connaît la Chine va plus loin que la mauvaise gestion – intentionnelle* ou non – de la production et des stocks de grains. Dans les circonstances actuelles, la réputation de la Chine, ou plutôt du régime chinois, est en chute libre depuis quelques mois déjà, si bien que des pays songent au « découplement » – chose plus facile à dire qu’à faire, bien entendu. Néanmoins, cela remet partiellement en cause le modèle d’achat de biens chinois en échange de la vente de produits agricoles que la Chine pouvait avoir avec certains pays. C’est patent dans le cadre des pourparlers avec l’Europe, qui n’aboutissent pas. Face à la Chine, un Occident impuissant. Chronique.
Sans l’intervention in extremis d’un juge dimanche 20 septembre, il aurait fallu, pour utiliser la messagerie chinoise WeChat aux Etats-Unis, avoir au préalable téléchargé un VPN, cette connexion qui permettait jusqu’ici de contourner la censure dans des pays comme la Chine ou l’Iran. Le symbole est fort. Au nom de la « sécurité nationale », les Etats-Unis veulent bloquer une des principales applications chinoises et tentent de prendre le contrôle d’une seconde, TikTok, extrêmement populaire auprès des jeunes. Comme l’avait déjà montré leur combat contre Huawei, vingt ans après être partis à la conquête du cyberespace, les Etats-Unis sont désormais sur la défensive.
En fait, ce n’est pas seulement la première puissance mondiale mais l’ensemble de l’Occident qui se trouve dans une impasse face à la Chine. La Chine sur le pied de guerre. Analyse.
Chantre de « la communauté de destin pour l’humanité », Xi Jinping aime apparaître, sur la scène internationale, comme un homme de paix. Ouïghours: l’entrave aux naissances, un critère de génocide. En 2018, 80 % des stérilets posés en Chine le sont au Xinjiang, qui ne représente que 1,8 % de la population.
En 2019, un canton planifie la stérilisation, en un an, de 34 % des femmes en âge de procréer. La même année, quatre préfectures rendent obligatoire un test de grossesse tous les quinze jours, et un autre canton décide que les femmes qui refusent d’interrompre une «grossesse illégale» seront envoyées en camps… A lire aussiOuïghours : «On m’a fait m’allonger et écarter les jambes, et on m’a introduit un stérilet» En 28 pages, le chercheur allemand Adrian Zenz démontre à partir des données chinoises que l’Etat-Parti est engagé dans une campagne d’entrave aux naissances d’un groupe ethnique (1).
La Chine dévoile son projet de création d’un « organe de sécurité nationale » visant à assujettir Hongkong. Un pas de plus vers la reprise en main de Hongkong par la Chine.
Samedi 20 juin, l’agence de presse Chine nouvelle a diffusé le texte d’un projet de loi préparé par le Parlement chinois visant à instituer un « organe de sécurité nationale » dans l’ancienne colonie britannique. Le principe de cette loi avait été adopté fin mai par la session plénière annuelle de l’Assemblée nationale populaire (ANP, le Parlement chinois), qui a donné mission à son comité permanent de rédiger un projet de loi. C’est ce texte qui a été diffusé samedi par Chine nouvelle. Les frégates de Taïwan, contentieux persistant entre la Chine et la France. Ce devait être une remontrance à sens unique, une façon pour la diplomatie française de marquer une ligne rouge.
L’entretien entre le secrétaire général du Quai d’Orsay, François Delattre, et l’ambassadeur de Chine à Paris, Lu Shaye, organisé le 14 avril par téléphone en raison du confinement, avait été suivi par un communiqué du ministre des affaires étrangères. « J’ai fait connaître clairement ma désapprobation de certains propos récents à l’ambassadeur de la République populaire de Chine en France, lors de sa convocation », avait expliqué Jean-Yves Le Drian. En cause : la publication d’une série de tribunes anonymes jugées injurieuses, liées à la crise sanitaire, sur le site de la représentation chinoise à Paris.
Mais la conversation n’a pas été du tout à sens unique. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Chine : la diplomatie du « loup combattant » Selon les informations du Monde, l’ambassadeur Lu Shaye, qui fut maire adjoint de Wuhan en 2014-2015, a reconnu un simple quiproquo. A Hongkong, l’opposition dénonce une « trahison » et une « capitulation » de l’exécutif face à Pékin. Depuis une semaine, une crise constitutionnelle majeure couve à Hongkong. En jeu, l’autonomie du gouvernement local pour gérer ses propres affaires. Une autonomie pourtant garantie à la Région administrative spéciale par la Basic Law, mini-constitution qui régit les relations entre l’ancienne colonie britannique et le pouvoir central à Pékin. Depuis la rétrocession de Hongkong à la Chine, en 1997, le territoire de 7,4 millions d’habitants est géré selon le principe « un pays, deux systèmes » qui garantit un « haut degré d’autonomie » à Hongkong.
Celui-ci dispose notamment de son propre système juridique, en toute indépendance des tribunaux chinois. Le premier acte de la crise constitutionnelle a eu lieu quand Pékin a accusé, le 13 avril, de faute professionnelle l’un des plus éloquents députés hongkongais du camp pro-démocratie, l’avocat Dennis Kwok, du Civic Party, lui reprochant de faire de l’obstruction au parlement local, le Legco. A Hongkong, plusieurs piliers du mouvement démocratique arrêtés par la police. La police de l’ancienne colonie britannique a procédé dans la journée de samedi 18 avril à une vague d’arrestations, interpellant chez elles de nombreuses personnalités connues et reconnues pour leur engagement dans le combat démocratique. Ces arrestations sont, selon la police, principalement en lien avec la grande manifestation du 18 août – laquelle était autorisée et avait rassemblé près de 1,7 million de manifestants, selon ses organisateurs – et avec celle du 1er octobre, date de la fête nationale chinoise, qui n’était pas autorisée et avait violemment dégénéré.
Mais la police a également mentionné trois autres dates de rassemblements illégaux auxquels certaines des quatorze personnes mises en examen ont participé. De très nombreuses marches impliquant des millions de participants ont effectivement eu lieu au cours du mouvement de protestation antigouvernemental qui a secoué la région administrative spéciale de Chine, entre juin et décembre 2019. La crise du coronavirus fait émerger des dissensions au sein du pouvoir chinois. La Chine rouvre la ville de Wuhan (Hubei), qui fut l’épicentre de la pandémie de Covid-19 et déploie sa « diplomatie du masque » sur toute la planète. Plusieurs éléments montrent pourtant que la crise, à la fois sanitaire, diplomatique et économique reste suffisamment grave en Chine pour y provoquer des tensions politiques.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi La Chine fait du masque une arme géopolitique Mercredi 8 avril, le président Xi Jinping, qui a présidé une réunion du Comité permanent du Bureau politique, le collectif suprême du Parti communiste chinois (PCC), s’est gardé de tout triomphalisme. Au contraire, le secrétaire général du parti a mis en garde contre « l’environnement extérieur », les « difficultés croissantes de l’économie » et « les lacunes » dans la détection de nouveaux malades atteints par le virus. L’éradication de la grande pauvreté, qui aurait dû être l’une des grandes victoires du Parti en 2020, est désormais loin d’être assurée. Le coronavirus, un « test majeur » pour la centralisation du pouvoir qu’incarne Xi Jinping. Le président Xi Jinping lui-même le reconnaît : l’épidémie de Covid-19 constitue « un test majeur pour le système chinois et la capacité de gouvernance » du pays.
En clair, pour la centralisation du pouvoir qu’il incarne, comme aucun de ses prédécesseurs, depuis Mao Zedong. Par ce qu’elle révèle du fonctionnement du Parti communiste chinois, la crise sanitaire revêt donc une dimension politique importante. En consacrant sa « une », début février, au coronavirus « Made in China », l’hebdomadaire allemand Der Spiegel a fait scandale. Le nombre des naissances en Chine au plus bas. La Chine a beau avoir mis fin en 2015 à la politique de l’enfant unique instaurée en 1978, rien n’y fait : le nombre de naissances continue de baisser. Selon les chiffres publiés, vendredi 17 janvier, par le Bureau national de la statistique, 14,65 millions ont été comptabilisées en 2019, le taux le plus bas depuis 1949, à l’exception de 1961, année marquée par les ravages de la famine. En 2018, il y avait eu 15,2 millions de naissances.
Résultat : leur nombre pour 1 000 habitants n’a été que de 10,48, contre 10,94 en 2018 et 12,43 en 2017. Lire aussi Chute démographique, déficit de filles : les effets de la politique de l’enfant unique en Chine C’est qu’avoir un enfant coûte cher. Cet enjeu est politiquement majeur. Secteur après secteur, toute la société hongkongaise s’engage dans le mouvement. Changement de décor à Hongkong : les manifestants en tee-shirt noir, casque jaune et masque à gaz ont laissé la place à des contestataires bien coiffés, en chemise ou costume trois pièces. La crise s’enlise à Hongkong, Pékin change de stratégie. Hongkong : Pékin qualifie les manifestations de « révolutions de couleur »
La menace de Pékin aux manifestants à Hongkong : « Ceux qui jouent avec le feu périront par le feu » Xi Jinping, un rival en puissance pour l’Amérique. Donald Trump relance les hostilités commerciales avec la Chine. Le président chinois, Xi Jinping, affaibli par la crise à Hongkong. L’Italie rejoint les « nouvelles routes de la soie » de la Chine. "La Chine a profité de l’austérité imposée par Bruxelles après 2008 pour s’implanter en Europe" "La Chine a une emprise sur plusieurs pays européens" Marianne : Au fond, qu’espèrent les Européens face à la Chine ? Antoine Brunet* : Emmanuel Macron est sans doute le chef d’Etat européen le plus lucide et le plus résolu sur les visées économiques chinoises.
Il a besoin de donner l’image d’un continent aligné sur des positions communes, capable de faire bloc. La Chine est-elle en train de devenir totalitaire ? La Chine se met à vendre de la dette américaine. Le capitalisme selon Xi Jinping. Depuis sa prise de fonctions, en 2013, le président chinois a renforcé considérablement l’emprise du Parti communiste sur la vie des affaires. Après l’industrie et la finance, l’Etat s’attaque aujourd’hui au secteur des nouvelles technologies. LE MONDE ECONOMIE | 06.05.2018 à 17h00 • Mis à jour le 07.05.2018 à 06h41 | Par Harold Thibault et Simon Leplâtre (Shanghaï, correspondance) C’est le journal officiel du Parti communiste chinois (PCC), Le Quotidien du peuple, qui relate l’épisode. Chine: Xi Jinping achève sa contre-réforme - Page 2. Chine : le président Xi Jinping pourrait rester au pouvoir après 2023. Commerce et géopolitique pour la visite de Trump à Pékin.
Donald Trump et Xi Jinping se sont retrouvés jeudi à Pékin pour un face-à-face qui, en dépit de leur « amitié » affichée, s’annonçait délicat. Xi Jinping se ménage des années de pouvoir. Xi Jinping s’entoure de fidèles pour un pouvoir sans partage. A l’issue du 19e congrès du Parti communiste chinois, le secrétaire général Xi Jinping n’a nommé aucun successeur au nouveau comité permanent du bureau politique.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Brice Pedroletti (Pékin, correspondant) En Chine, la consécration de Xi Jinping. Après Mao Zedong et Deng Xiaoping, le numéro un chinois voit son nom et sa doctrine inscrits dans la charte du Parti communiste chinois. Natixis Research Global Markets. Chine: le système Xi Jinping. Le président chinois Xi Jinping affiche une volonté d’ouverture économique. Avec Xi Jinping, « il y a une sorte de retour à un modèle impérial »
Xi Jinping, l’empereur rouge. Au 19e congrès du PCC, Xi Jiping veut parachever son emprise sur le pouvoir. « Nouvelles routes de la soie » : les ambitions planétaires de Xi Jinping. Natixis Research Global Markets. China preparing for potential crisis with North Korea - report. Mort de Liu Xiaobo, écrivain et dissident chinois, Prix Nobel de la paix. Wang Dan: «L’expansion du modèle chinois est une grande menace» - Page 2. La Chine et ses défis: vers un nouveau modèle de développement? L’armée chinoise se modernise et vise les champs de bataille extérieurs. Gare à la dette chinoise ! La fin de l’enfant unique fait un flop. Chine : un modèle à bout de souffle. Chine : l'aveuglement face à la poudrière économique - Décryptage éco. Et si la théorie de la « transition chinoise » se révélait fausse ? Chine : Xi Jinping, ou l’épuration permanente. La bombe à retardement de la dette chinoise. La Chine fait un carton sur les boîtes étrangères.
Les exportations de la Chine baissent de 25 % Faire face au risque d'une grave crise en Chine - Décryptage éco. "Pratiquement tous les produits chinois bon marché proviennent d’un camp de travail" Chine 2016 : de la chute de croissance à la récession - Décryptage éco. Crash du Yuan en 2016 : oui c'est possible ! Eric Heyer, OFCE - Chine : ralentissement et mutation de l'économie. Pourquoi le FMI a intégré le yuan chinois dans son panier de devises. Doit-on s’inquiéter du ralentissement chinois ? Es chine 2015 10. Doit-on s’inquiéter du ralentissement chinois ? Ras le bol du PIB truqué chinois (et ceux qui s’y laissent prendre)
FMR FLASH ECONOMY 2015 589 21 07 2015 FR. Ras le bol du PIB truqué chinois (et ceux qui s’y laissent prendre) C’est officiel, la chine commence à liquider ses bons du trésor américain… Technique mais important : depuis... - Guillaume Duval Perso. Flushdoc. Bourses : l’effet bulle de neige. La crise, Acte 2. Les Bourses mondiales clôturent en forte baisse après un « lundi noir » à Shanghaï. La banque centrale chinoise stabilise le yuan.
Au cœur de la « nouvelle route de la soie » Les Etats-Unis méfiants face à la dévaluation du yuan. La Chine entre dans la guerre des monnaies. Pékin annonce une nouvelle dévaluation du yuan pour doper son économie. Pourquoi la Chine dévalue le yuan. Le commerce extérieur chinois poursuit son plongeon en juillet. En Chine, le sauvetage des marchés boursiers a coûté 900 milliards de yuans. Le grand plongeon de la bourse de Shanghai. La Chine pense au deuxième enfant. Aux sources du Yangzi, « long fleuve » en péril. Flushdoc. La Bourse de Shanghai est en pleine déconfiture (et même le gouvernement chinois n'y peut rien) Le Dessous des Cartes ÉTATS-UNIS / CHINE : PUISSANCES COMPARÉES. De l'est de la Chine à Madrid: le voyage en train le plus long de tous les temps.
La Chine investit 62 milliards de dollars dans une nouvelle route de la soie. La Chine s’emploie à devenir une puissance financière respectable, Monde. Cette nuit en Asie : Pékin veut faire taire ses vieux sages - Les Echos. Banque asiatique d’investissement : des craintes sur les dérives d’une gouvernance à la chinoise, Monde. La Chine décidée à casser le monopole du FMI et de la Banque mondiale, Chine. Chine, l'empire du trop - Industrie. La Tribune - Edition Quotidienne du 07-03-2015 - Pour relancer son économie, Pékin creuse un peu plus son déficit. Flushdoc.aspx. Flushdoc.aspx. Chine: relance ou bulle de crédit? Chine: l'inflation tombe sous les 1%, au plus bas depuis cinq ans.