Le "slow tourism", l'art de voyager différemment. L’Europe en 10 jours?
Aucun problème. Après tout, il ne faut rien louper. D’autant plus que la vitesse et le long parcours sont désormais à prix réduits. Obsédés par l'idéologie du "tout faire, tout de suite", "nous perdons de vue l'essentiel", commente Pascale d'Erm dans son ouvrage Vivre plus lentement, un nouvel art de vie (Ulmer, 2010). L'essentiel: le sens du mot "profiter". Seulement voilà, ce genre de séjours marathons pose problème. Tourisme autrement. La revue de presse de Tourisme autrement Tourisme autrement inaugure une nouvelle rubrique sur son blog.
La revue de presse paraîtra à chaque début de semaine et vous communiquera divers articles intéressants sur l’actualité du tourisme et de la consommation durable, de l’environnement et de la solidarité internationale. Bonne lecture – Le « slow tourism », l’art de voyager différemment, lu sur Youphil L’heure n’est plus au « tout voir, tout de suite ». Nous vous avions aussi parlé du slow tourism ici – Tendance, le « slow travel », lu sur le blog Planet Monde Même sujet exposé par Louise Gaboury – Le parc américain des Everglades jugé en péril par l’Unesco, lu sur Good Planet « Le parc national américain des Everglades, en Floride, et la forêt tropicale d’Atsinanana, à Madagascar, ont été ajoutés vendredi par l’Unesco à la liste du Patrimoine mondial en péril. » – Cette année, je me mets au Couchsurfing, sur le site web du CRIOC.
Le Slow Tourisme. Ce qu’il faut retenir Le Slow tourisme ou encore le tourisme lent, présenté comme une nouvelle façon de voyager, nous permet de retourner aux origines du voyage.
Le slow tourisme est une invitation à prendre le temps de découvrir la destination visitée. Pour aller plus loin… Ce nouveau concept émane du slow food, un mouvement fondé en Italie en 1989, encourageant les personnes à redécouvrir le plaisir des saveurs et du goût des aliments pour faire face à la malbouffe et au fast-food. Le slow Tourisme c’est donc voyager écolo, privilégier les destinations parmi les plus proches et les moyens de transport les moins polluants comme le train, le vélo, le cheval, le bateau … ou encore la roulotte ou la mobylette. Cette forme de tourisme permet de vivre au rythme des populations locales. Le slow tourisme, c’est aussi prendre le temps de s’arrêter pour échanger, écouter, regarder, déguster et apprendre des autres. Toutefois, faites attention ! Pour en savoir plus Lien. GuideTourisme_Salon_12112014. » L’évolution du slow travel. À l’ère de la rapidité et de l’instantanéité, le slow travel s’impose comme un contre-balancier salutaire.
Souvent caractérisé par des voyages de proximité, une faible empreinte écologique et une mise en valeur de l’expérience touristique comme telle, le slow travel suscite encore des débats quant à ses éléments de définition. Difficiles à cerner et à mesurer, les tendances sociétales actuelles consolident néanmoins sa raison d’être et sa croissance. Le slow travel a vu le jour en 1999 et découle du mouvement slow, originaire d’Italie en 1986.Ce dernier est né en réaction au rythme de vie et de travail très rapides, à l’augmentation du niveau de stress et à la perception de devoir être en mode multitâche constamment. Le "slow tourisme" prend de la vitesse. La chaleur dans les bouchons, le stress de rater son train, le casse-tête des valises...
On tend parfois à oublier que les vacances sont avant tout faites pour se re-po-ser. C'est sur cette vague que surfe un tout nouveau concept de voyage. La crise, les préoccupations écologiques et le souci croissant de préserver les identités locales ont indirectement ouvert le chemin à un nouveau tourisme à visage humain. L'authenticité a pris le pas sur la rapidité.
Le local sur l'international. Slow tourisme - Définitions des formes de tourisme responsable. Le slow tourisme est un nouveau concept de voyage qui s’inspire du slow food, un mouvement incitant les gens à réapprendre à manger et à redécouvrir les plaisirs de la table pour faire face à la malbouffe et au fast-food.
Il s’agit de prendre le temps de découvrir une destination, d’apprécier les paysages, en privilégiant notamment des destinations proches et des moyens de transports moins polluants. Le slow tourisme est de plus en plus tendance. Nombreux sont les gens qui, aujourd’hui, deviennent des adeptes du tourisme lent. Leur philosophie est bien simple : ils ont décidé de s’accorder du temps, de se reposer, de ne plus passer leurs vacances dans le stress des transports et d’arrêter de faire la course aux musées sous prétexte qu’il ne faut rien rater. Pratiquer le slow tourisme, c’est profiter pleinement des vacances, sans avoir un programme strict établi à l’avance et des horaires à respecter à tout prix. Le_tourisme_lent_nouvelle_tendance__087311300_1045_04032013.pdf.