Créer une communauté de Social Learning avec Twitter (Olivier) Les outils gratuits pour collaborer ! Le social bookmarking ou la curation. Coggle. Créer et éditer des mindmaps en mode collaboratif. Coggle est un service en ligne qui permet de créer des mindmaps ou cartes mentales puis de les partager avec une ou plusieurs personnes qui pourront les éditer ou les commenter. Coggle est un bon outil en ligne simple et pratique pour faire du mindmapping collaboratif sans avoir besoin de faire appel aux usines à gaz qui encombrent le marché.
Une carte heuristique ou carte mentale, il n’y a rien de mieux pour organiser ses idées ou de l’information. L’outil est encore plus pertinent quand il fait partie des outils à disposition dans le travail collaboratif d’une équipe. Coggle a le mérite de proposer une solution simple et claire. Il suffit de créer un compte en quelques secondes pour pouvoir commencer à créer son premier mindmap. Coggle permet surtout de partager vos notes et cartes avec vos collègues très simplement en leur envoyant une invitation directement depuis l’application. Petit plus non négligeable, Coggle propose un historique des différentes versions d’une même carte.
Dotstorming. Créer un brainstorming en ligne. Dotstorming est un outil collaboratif simple et gratuit qui permet de créer très facilement une séance de brainstorming en ligne.
Gratuit ne veut pas dire sans valeur. La preuve avec ce service en ligne très pratique qui donne la possibilité d’interroger un groupe de personnes sur le ou les meilleurs choix à faire dans une liste d’options possibles. Particulièrement bien pensé, Dotstorming offre une sorte de tableau blanc virtuel permettant d’épingler les différents éléments du débat. L’utilisation est très simple. Après une inscription rapide, vous allez pouvoir créer votre premier sondage. Vous pouvez épingler et soumettre au débat du texte, des photos ou encore des vidéos. Il ne vous reste plus qu’a partager l’url unique proposée par Dotstorming avec les personnes avec qui vous voulez collaborer. Les participants suivant votre url n’auront pas besoin de s’inscrire. Tout cela fonctionne très bien et de manière fluide. Lien: DotStorming.
Formateurs, pourquoi et comment digitaliser les formations. Le modèle SAMR – pour Substitution, Augmentation, Modification, Redéfinition, élaboré par Ruben Puentedura, nous donne une grille de lecture de l’introduction du digital dans la formation.
La simple substitution – un quiz sur les smartphones remplaçant les bons vieux cartons colorés- est amusante mais ne modifie pas véritablement l’expérience des apprenants. D’autres usages du digital permettent de redéfinir cette expérience, de l’enrichir. Introduire le digital dans nos formations, c’est donc nous demander en quoi les technologies peuvent favoriser un engagement plus actif des apprenants, et le réinvestissement des acquis en situation de travail. Les 100 outils « au top » Jane Hart, dans sa 9ème enquête sur les outils pour apprendre, publie la liste des 100 premiers outils. Le classement des outils par fonctionnalités est particulièrement intéressant. Sans prétendre à l’exhaustivité des fonctionnalités et des outils recensés par Jane Hart, j’obtiens cette photographie pour 2015 :
3 types de formations : Formelle (Présentielle/Distancielle) - Sociale (SL) - Au travail (Tutorée) L’accélération des cycles économiques et technologiques, les contraintes de coûts, les exigences de résultats, rendent indispensables la prise en compte des situations de travail dans la conception des formations.
Dans un billet précédent : apprentissages informels, quel poids réel dans le développement des compétences professionnelles, nous évoquions le « modèle 70-20-10 » : non pas une proportion « gravée dans le marbre » et prouvée scientifiquement, mais une invitation à considérer la nature forcément systémique des apprentissages, à prendre en considération l’ensemble des éléments entrant dans l’alchimie qui permet d’aboutir au développement des compétences. Je propose une « grille de lecture », identifiant 6 leviers pour intégrer formation et travail, pour diagnostiquer les solutions existantes et les améliorer. L’alchimie du développement des compétences Les conditions pour apprendre en situation de travail Une grille de lecture des dispositifs Ou encore comme suit :