ENSEMBLE pour le respect de la diversité. ENSEMBLE pour le respect de la diversité Faire un don Les préjugés à l’égard des Autochtones Trop souvent, dans le discours populaire, les Autochtones dérangent et irritent.
Ce qui nourrit cette irritation, c'est d'abord et avant tout l'ignorance. Cette ignorance de la question autochtone, relayée par les médias, empêche la majorité des Québécois de l'aborder avec calme et lucidité, et laisse toute la place au ressentiment et aux émotions négatives. Encore aujourd'hui, les Autochtones ont une qualité et une espérance de vie inférieures à la moyenne canadienne. Espérance de vie : L'espérance de vie des membres des Premières nations est inférieure de six ans à la moyenne canadienne.Suicide : Le taux de suicide chez les jeunes Autochtones est l'un des plus élevés au monde, en plus d'être de cinq à huit fois supérieur à la moyenne nationale.Mortalité infantile : Le taux de mortalité infantile de la population autochtone est presque le double de la moyenne canadienne.
L’impôt et les taxes. Maïtée Labrecque-Saganash Archives. 08 - Établir des comparaisons_Conditions de vie autochtonesRV. Un village inuit au bord du gouffre. (Tuktoyaktuk, Territoires du Nord-Ouest) Des sacs remplis à ras bord encombrent l’étroit salon de Noella Cockney.
Elle plie bagage. Mais elle n’a envie d’aller nulle part. C’est sa propre maison qui risque de partir à la dérive, engloutie par les eaux froides de l’océan Arctique. Peut-être l’an prochain. Peut-être demain. Publié le 16 septembre 2019 à 5h00 Isabelle Hachey La Presse Noella Cockney n’a plus le luxe d’attendre. L’ancienne agente de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) vit dans le Grand Nord.
Et ce bout du monde est littéralement en train de se désintégrer. Tuktoyaktuk est sur la ligne de front de la lutte contre les changements climatiques au Canada. Noella Cockney vit dans l’angoisse de tout perdre, à tout moment. . « Cet été, j’ai déjà perdu un bon 5 à 6 pieds de terrain. Alors, l’ex-policière met tout ce qu’elle possède dans les sacs d’épicerie qui s’accumulent dans le salon.
Le grand rêve inachevé du Nunavut. Le 1er avril 1999, la carte du Canada était redessinée pour créer le Nunavut et permettre aux Inuits de reprendre le contrôle de leur vie, de leur destin.
Mais 20 ans plus tard, le territoire navigue entre espoir et désespoir, au point de provoquer une profonde réflexion. Par Marc Godbout 1er avril 2019 L’euphorie s’est dissipée progressivement. Le mécontentement s’est installé. Meeka Mike est une jeune grand-mère, mais à 53 ans, elle est assez âgée pour se souvenir de tous les efforts ayant mené à la création du Nunavut. Même si cette réalisation reste une très grande source de fierté, l’amertume s’est incrustée. Alors qu’elle prépare son attirail pour la chasse au phoque, Meeka Mike partage sa vision et sa déception : « C’est au-delà de la frustration, nous ne voyons pas beaucoup de résultats.
. « Quand je regarde autour de moi, je vois davantage de pauvreté qu’avant la création du Nunavut. Quand Abénakis et Français vivaient ensemble. Rite de passage - ICI Tou.tv. Mary Coon et Jacques Newashish, deux mentors de la communauté attikamek de Wemotaci invitent deux jeunes Québécois, qui ont vécu des problèmes de dépendance, à vivre une immersion au cœur des pratiques traditionnelles autochtones.
Dépaysante à souhait, cette expérience les obligera à faire le point sur leur vie et à consolider leurs repères. Prenant contact avec la nature et la terre, ces jeunes se recentrent sur eux-mêmes. À titre de grande sœur, Natasha Kanapé Fontaine les accompagnera dans cet univers. Cette immersion constitue également une fenêtre extraordinaire sur le mode de vie traditionnel des Premières Nations. Durée : 48 min Année de production : 2017 Date de diffusion : 19 décembre 2017 Production : Kassiwi Média Inc. Lesoleil.
Par les Inuits pour les Inuits «Mais surtout les Inuits», a-t-il insisté.
Car l’outil est pensé par eux et pour eux. Avec les communautés inuits de Sanikiluaq, d’Inukjuak, de Umiujaq, de Kuujjuaraaik et la communauté crie de Chisasibi, l’AES sonde depuis trois ans «les priorités locales». Faut-il contacter les tribus isolées ? Depuis quelques années, des membres d’une tribu appelée Mashco-Piro multiplient les contacts avec les bateaux qui circulent dans les rivières de l’Amazonie péruvienne.
Oscillant entre hostilité, avec force flèches, et curiosité, avec notamment un intérêt pour les vêtements modernes des quidams qu’ils rencontrent, les Mashco-Piro ont forcé les anthropologues du gouvernement péruvien à réévaluer leur politique d’isolement des tribus n’ayant pas de contacts réguliers avec la civilisation contemporaine. Au beau milieu du débat sur les Mashco-Piro, deux anthropologues ont décidé l’an dernier de frapper un grand coup.
. « Le paradigme depuis 25 ans est de garantir l’isolement de ces tribus, explique M. Walker en entrevue. Mais avec les progrès des observations satellites, qui permettent de voir leurs villages, on voit que ces tribus sont presque toutes en piètre état sur le plan démographique, avec quelques dizaines de personnes au maximum. . — Robert Walker, anthropologue En santé ou en déclin ? Du Nunavik à Montréal, le blues des étudiants inuits. Un texte d'Akli Ait-Abdallah à Désautels le dimanche Louisa, qui vient de Salluit – tout en haut du Québec, lâche-t-elle en riant – sera infirmière.