Vocabulaire du marché boursier : glossaire des termes. Parlez le langage du marché boursier!
Vidéos. Films. Populaires en ce moment, mais gare à la suite... Beaucoup d’investisseurs sont actuellement préoccupés du rendement anémique de leurs placements en titres obligataires à revenu, pourtant un élément essentiel de tout portefeuille équilibré.
Et dans un contexte persistant de très bas taux d’intérêt, plusieurs ont succombé à la tentation d’investir davantage en actions à dividendes, dans le but de rehausser d’un ou deux points de pourcentage le rendement en revenus courants de leur portefeuille. Dans ce cas, cette stratégie de placement s’est probablement avérée avantageuse en rendement total depuis quelques trimestres – gains en capital et dividendes encaissés – par rapport au rendement des principaux indices de marchés boursiers. Des chiffres en exemple ? Sur la Bourse américaine, l’indice S&P 500 affiche un rendement total de 10 % depuis un an. En comparaison, c’est deux points de moins que le rendement total (12 %) de l’indice sectoriel S&P 500 des actions à dividendes durant la même période. Êtes-vous valeur ou croissance ?
Préférez-vous les actions sous-évaluées, voire délaissées, ou les titres à la mode ?
Valeur ou croissance ? Votre rendement à la Bourse témoigne probablement de votre style d’investisseur. L’année 2016 a été témoin de la victoire des investisseurs axés sur la valeur sur ceux qui misent sur la croissance. Les marchés boursiers : comment ils fonctionnent. C'est quoi, la Bourse ? Investir en Bourse, c'est comme magasiner. Publié le 18/03/2015 à 11:46 Si vous fréquentez régulièrement les centres d'achat, vous êtes probablement à l'affût des articles en soldes, autant dans les grandes surfaces que dans les petites boutiques.
Vous aimez en avoir pour votre argent. Si un certain article vous intéresse, et qu'il s'avère disponible à 50% de rabais, vous n'hésiterez pas très longtemps. Vous achetez et vous souriez à l'idée de tout l'argent que vous avez économisé. Mais comment savez-vous si vous venez de rafler une bonne affaire? Lorsque vient le temps d'investir en Bourse, certaines personnes deviennent craintives, et imaginent les pires scénarios même lorsque la sélection de titre est exécutée avec soin.
C'est pourquoi à la base, quelques minutes peuvent suffirent pour la comprendre. Un outil pour investisseurs autonomes. Sa répartition d’actifs établie, l’investisseur autonome devra ensuite choisir les titres qui lui conviennent le mieux parmi les actions canadiennes ou étrangères, les obligations, les fonds communs, les fonds négociés en Bourse, etc.
Comment y arriver ? Les plateformes électroniques de courtage en ligne offrent de nombreux outils. En voici quatre parmi les plus prisés. La recherche des firmes de courtage est souvent offerte aux investisseurs qui ont un compte chez leur filiale de courtage en ligne. Elle comprend des rapports d’analystes sur les sociétés cotées en Bourse et généralement une recommandation d’achat, de vente ou de conserver le titre. On y trouve aussi des rapports économiques et un grand nombre d’autres études, entre autres sur les actions des banques centrales.
Nombre de firmes de courtage à escompte offrent également sur leur site des rapports de recherche couvrant les marchés américains et étrangers provenant de différentes firmes spécialisées. Un outil pour investisseurs autonomes. Les experts le disent, 90 % du rendement d’un portefeuille dépend de la façon dont l’argent est réparti dans les différentes classes d’actifs, et le choix des titres est une fonction somme toute plus secondaire.
Pour être capable d’établir comment on doit répartir les actifs de son portefeuille, il faut d’entrée de jeu posséder un certain degré d’autonomie, affirme Laurent Blanchard, président de Banque Nationale Courtage direct (BNCD). Pourquoi ? Parce que vous devez, dans un premier temps, avoir réponse à de nombreuses questions afin de déterminer votre profil d’investisseur. FNB-Un portefeuille de conte de fées. Il était une fois un produit de placement révolutionnaire venu au monde il y a un quart de siècle dans une contrée nommée le Canada.
Le nouveau-né, baptisé fonds négocié en Bourse (FNB), fut doté d’incomparables atouts dès le berceau. Comme par magie, il permettait aux épargnants d’investir dans tous les titres de la Bourse en achetant une seule et même action. Un vrai conte de fées pour les épargnants qui en avaient marre des fonds communs de placement qui leur coûtaient dix fois plus cher et dévoraient le tiers de leur rendement ! Rapidement, les investisseurs tombèrent follement amoureux des FNB. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants. Ce qui était simple est devenu compliqué. Mais, chers lecteurs, soyez sans crainte, l’histoire se termine bien. Comment être chanceux à la Bourse? La chance peut-elle expliquer le succès à long terme d’un investisseur en Bourse?
Voilà une question très importante, car nous répondrions à une telle question par l’affirmative. Il y a 33 ans de cela, Warren Buffett donnait une conférence sur le sujet, à l’occasion du 50e anniversaire du célèbre livre «Security Analysis», écrit par Benjamin Graham et David L. Dodd. Son argumentation visait à contredire les gens qui estiment que le fait que certains investisseurs battent les marchés pendant longtemps ne constitue que le fruit du hasard. Il donna l’exemple d’un tirage à pile ou face avec un sou. Après avoir connu autant de succès, certains de ces 215 gagnants se vanteraient d’un tel exploit, et pourraient même être tentés de s’adonner à l’écriture d’un livre pour expliquer comment ils y sont parvenus.