Association tourangelle pour une alimentation biologique locale équitable. Annuaire des AMAP en Centre. Permaculture urbaine : Joseph récolte 300 kg de légumes bio dans son micro-jardin. Pour rentabiliser son jardin de 25 m², Joseph Chauffrey ne lésine pas sur les astuces.
Il a réussi à y installer une mare, un potager, un verger, une serre et produit plus d'une centaine de fruits et légumes différents. Dans la petite ville de Sotteville-lès-Rouen en Normandie, un jardin pas comme les autres a vu le jour. D'une micro-parcelle bétonnée a surgi un jardin verdoyant hyper-actif ! Grâce à la permaculture et à l’ingéniosité de Joseph Chauffrey, jardinier amateur vite devenu expert, le potager de 25 m² a produit 300 kg de légumes en un an. Un exploit qui rend Joseph et sa compagne autonomes et croqueurs de vie !
Il n'utilise ni pesticide, ni engrais. Aujourd'hui et après 4 ans de potager, Joseph exploite son jardin avec des « low tech » plus inventives les unes que les autres : buttes de culture pour nourrir son sol, mini serre pour prolonger les saisons, des légumes perpétuels pour ne jamais manquer de récoltes ou encore la culture suspendue pour gagner de l'espace. Il faut changer de modèle, estime le fondateur de Slow Food. Agriculture urbaine : comment les jardins étudiants fleurissent aux abords des résidences universitaires. À proximité des campus, des « maisons de l’étudiant » ou des résidences du Crous, les projets de jardins partagés, basés sur des démarches solidaires et autogérées, attirent de plus en plus de jeunes gens à mesure qu’ils fleurissent sur le territoire.
Inspirées des « Incroyables comestibles », ces initiatives visent l’autosuffisance alimentaire ou, à défaut, à apprendre à leurs usagers à cultiver leurs fruits et légumes bio, si possible en partageant le produit de la récolte. Pour eux, il ne s’agit pas seulement de se détourner des filières de l’agriculture industrielle, mais aussi et surtout de construire un début d’alternative, ici et maintenant. C’est sûr, la ville de Metz, en Moselle, n’en est pas encore au niveau de Todmorden, qui affiche une autonomie alimentaire de plus de 80 %. Mais elle y travaille. . « Les objectifs sont multiples, complète Olivier Rudez, membre des Incroyables comestibles à Metz. Autosuffisance alimentaire. Des semences libres pour délivrer les paysans des géants agro-industriels. Semer, sélectionner, échanger librement ses semences : ces pratiques ancestrales contribuent à l’autonomie des paysans et à la diversité des cultures.
Mais ces dernières décennies, à cause d’une réglementation de plus en plus complexe, une partie des savoirs a été perdue. « Les jardins partagés et les initiatives locales rendent possible un renouveau démocratique. Et si les jardins partagés, les potagers urbains et la nouvelle vigueur de l’agriculture familiale représentaient bien plus qu’une alternative écolo – et perçue comme un peu « bobo » – à la malbouffe et à l’agriculture industrielle ?
C’est la position de la philosophe Joëlle Zask. Dans son livre La démocratie aux champs, elle souligne le potentiel individuel et collectif de pratiques agricoles. Généralement ignorées ou déconsidérées par les politique, ces pratiques s’inscrivent dans une longue histoire d’expérimentations démocratiques, porteuses d’autonomie et génératrices de solidarités. Basta ! : Votre dernier ouvrage, La démocratie aux champs, étudie ce qui favorise l’essor démocratique dans l’action de cultiver la terre.
Joëlle Zask [1] : Pendant longtemps, les paysans n’ont pas été considérés comme des sujets politiques. Ce livre veut inciter à une correction des défauts de nos démocraties modernes. En quoi est-ce différent aux États-Unis ? Propos recueillis par Rachel Knaebel. Agriculture durable: les jeunes innovent. Par Fayçal Ismaili le 20/09/2016 à 00h04 (mise à jour le 20/09/2016 à 01h44) © Copyright : DR Kiosque360.
Pari réussi du ministère de l’Agriculture avec sa première édition du «Hack4impact». Trois projets innovants ont été retenus lors de cet événement qui se penche sur les problématiques de l’agriculture durable. Le premier hackathlon sur l'environnement vient d’être clôturé. Qu'est-ce que l'agro-écologie ? Qu’est-ce que l’agro-écologie ?
L’agro-écologie est une façon de concevoir des systèmes de production qui s’appuient sur les fonctionnalités offertes par les écosystèmes. Elle les amplifie tout en visant à diminuer les pressions sur l’environnement (ex : réduire les émissions de gaz à effet de serre, limiter le recours aux produits phytosanitaires) et à préserver les ressources naturelles. Il s’agit d’utiliser au maximum la nature comme facteur de production en maintenant ses capacités de renouvellement. Elle implique le recours à un ensemble de techniques qui considèrent l’exploitation agricole dans son ensemble.
InPACT Centre, Initiatives Pour une Agriculture Citoyenne et Territoriale en région Centre. Fermes d'avenir - « Qu’est-ce qu’on attend ? » : un village alsacien à l’heure de l’écologie. La journaliste Marie-Monique Robin a filmé le quotidien des habitants d’Ungersheim engagés dans des gestes forts.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Jacques Mandelbaum L’avis du « Monde » – pourquoi pas Journaliste d’investigation, Marie-Monique Robin a une quarantaine de documentaires télé à son actif, et autant d’enquêtes de longue haleine derrière elle. Ses films donnent ordinairement dans le dossier chargé et argumenté, genre trafic d’organes, femmes battues, torture aux Etats-Unis, Monsanto, on en passe et des meilleures.
Biocentre - Professionnel. Terre de Liens - Et si vous faisiez pousser des fermes ? La Ruche qui dit Oui ! Annuaire national des AMAP. Ferme du Bec Hellouin - Ecocente du Bec Hellouin - Formations en permaculture, jardinage et agriculture naturelle. Permaculture et agroécologie.