Stress post traumatique: quand le coeur des héros vacille - 36.9° - TV - Play RTS - Radio Télévision Suisse. Opération retour (démarrage au bout d'1 mn) SANS BLESSURES APPARENTES (1) SANS BLESSURES APPARENTES (2) SANS BLESSURES APPARENTES (3) SANS BLESSURES APPARENTES (4 et fin) Après-coup. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
L’après-coup (en allemand : « Nachträglichkeit ») est un concept psychanalytique de l'œuvre de Freud, qui emploie ce terme pour désigner le remaniement après coup par le psychisme d'événements passés, ce qui leur confère « un sens et même une efficacité ou un pouvoir pathogène[1] ». Il s'agit ainsi (pour parler plus simplement) d'une sorte de réécriture de la mémoire du passé en fonction d'expériences, conceptions ou besoins ultérieurs. Jacques Lacan va mettre ce concept en exergue pour ce qui concerne la temporalité et la causalité psychique. L'apport de la théorie de la séduction généralisée de Jean Laplanche marque une troisième étape de l'évolution du concept. Problèmes de traduction[modifier | modifier le code] Pare-excitation (voir aussi : Perception-conscience) Vocabulaire de la Psychanalyse - Signal d'angoisse. = D. : Angstsignal. – En. : signal of anxiety ou anxiety as signal. – Es. : senal de angustia. – I. : segnale d’angoscia. – P. : sinal de angüstia. ● Terme introduit par Freud dans le remaniement de sa théorie de l’angoisse (1926) pour désigner un dispositif mis en action par le moi, devant une situation de danger, de façon à éviter d’être débordé par l’afflux des excitations.
Le signal d’angoisse reproduit sous une forme atténuée la réaction d’angoisse vécue primitivement dans une situation traumatique, ce qui permet de déclencher des opérations de défense. ◼ Ce concept est introduit dans Inhibition, symptôme et angoisse (Hemmung, Symptom und Angst, 1926) et constitue l’idée maîtresse de ce qui est appelé généralement la seconde théorie de l’angoisse. Nous n’entendons pas ici exposer ce remaniement ni discuter sa portée ou sa fonction dans l’évolution des idées freudiennes. Le terme d’Angstsignal, forgé par Freud, appelle néanmoins, ne serait-ce que par sa concision, quelques remarques. Vocabulaire de la Psychanalyse - Angoisse automatique. = D. : automatische Angst. – En. : automatic anxiety. – Es. : angustia automática. – I. : angoscia automatica. – P. : angústia automática. ● Réaction du sujet chaque fois qu’il se trouve dans une situation traumatique, c’est-à-dire soumis à un afflux d’excitations, d’origine externe ou interne, qu’il est incapable de maîtriser.
L’angoisse automatique s’oppose pour Freud au signal d’angoisse*. ◼ L’expression est introduite dans le remaniement que Freud fait de sa théorie de l’angoisse dans Inhibition, symptôme et angoisse (Hemmung, Symptom und Angst, 1926) ; elle se comprend par comparaison avec la notion de signal d’angoisse. EMDR : une réussite inexpliquée. Découverte fortuitement, cette psychothérapie basée sur des mouvements oculaires s’est imposée dans le traitement du traumatisme… alors que son principe reste inexplicable !
C’est à Francine Shapiro que l’on doit la découverte et le développement de la psychothérapie EMDR (eye movement desensitization and reprocessing, désensibilisation et reprogrammation par mouvements oculaires). Comme beaucoup de découvertes, celle-ci n’est pas exempte de légendes (judicieusement entretenues d’ailleurs !) , qui au fil du temps se sont amplifiées, donnant parfois un caractère romanesque à la chose. Quoi qu’il en soit, cette découverte s’est faite un peu par hasard en 1987. Rien en effet ne prédestinait F. L'EMDR, tout dans les yeux. On peut supprimer la souffrance liée à un traumatisme.
C’est le pari de l’EMDR, nouvelle thérapie fondée sur le mouvement oculaire, qui donne des résultats encourageants. Pour aider un patient à se remettre d’un traumatisme psychique, le travail psychothérapeutique traditionnel incite à la mise en mots de la souffrance. Henri Baruk. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Biographie[modifier | modifier le code] Fils de l'aliéniste Jacques Baruk, Henri passe son enfance au sein même de l'institution psychiatrique dans laquelle travaille son père (les médecins vivaient alors dans des appartements de fonction logés dans l'institution). Il s'engage dans des études médicales. Il poursuit, en 1921, son internat et son clinicat dans le service d'Henri Claude à l'Hôpital Sainte-Anne. Il consacre, en 1926, sa thèse aux troubles mentaux dans les tumeurs cérébrales.