Guide pour imaginer et créer un lab dans un lieu culturel : fablab, médialab, makerspace. Documenter la démarche et le processus d’implantation de fablab, de médialab et de makerspace, dans les structures culturelles : tel est l’objet d’un rapport synthèse très intéressant publié au Canada en octobre 2016 : Documentation des usages et processus d’implantation de Fab Lab, de Médialab et de makerspace, dans les institutions culturelles québécoises (71 pages, en PDF). Mais plus que cela, il s’agit d’un véritable guide pour imaginer et créer un lab culturel qui présente avec soin les items et points à prendre en compte pour la réussite d’un tel projet que ce soit un fablab, un médialab ou un makerspace. Guide élaboré en mode codesign Pour cela, Communautique a pris appui sur des acteurs culturels intéressés par les technologies et le numérique et qui l’ont intégré dans des pratiques émergentes et inédites.
Objectif de ce dossier Imaginer et concevoir un lab participatif : Mode d’emploi Les espaces d’accès et de participation à la culture sont multiples. Table des matières du rapport. Des partenariats Public-Privé aux partenariats Public-Communs (A propos du Google Cultural Institute) L’ouverture du Google Cultural Institute aura marqué les esprits cette semaine, notamment à cause de la décision de la Ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, de boycotter la cérémonie et de la réaction du gouvernement qui a envoyé Fleur Pellerin à la place dans une certaine confusion.
Mais ces péripéties gouvernementales ont fait oublier ce qui était sans doute le plus important : à savoir que Google a mis en place avec le Google Cultural Institute un site appelé à jouer un rôle non négligeable dans l’environnement numérique, rassemblant plus de 6 millions d’oeuvres en provenance de plus de 400 établissements culturels dans le monde. Voilà ce qu’en dit Le Mouv’ : L’Institut culturel consiste donc en une plate-forme, sorte de gallerie des oeuvres et créations du monde, qui permet d’accéder à tout un tas d’oeuvres d’arts, mais aussi de monuments ou de merveilles naturelles. Une « cage de verre » pour le domaine public numérisé L’ouverture protège, la fermeture menace J'aime : Institut culturel Google et les oeuvres du domaine public. Hier avait lieu à Paris, l’inauguration de l’institut culturel de Google et notamment son projet numérique Google Art initié dès 2011 donnant accès aux chefs d’œuvres de plus de 300 musées du monde, dont le musée d’Orsay, le Quai Branly ou le Château de Versailles.
A l’heure où les réflexions sur l’exposition des biens communs culturels sur Internet, le domaine public numérique et l’open data dans les secteurs des bibliothèques, musées et archives se sont intensifiées rue de Valois, Creative Commons France veille avec attention à ce que les engagements pris notamment dans le cadre de l’automne numérique (politique numérique du ministère) soient respectés afin de ne pas reproduire les nombreux errements du passés (ReLire, partenariats de numérisation de la BnF, etc.).
L’inauguration du Google Art remet ainsi sur la table l’épineuse question de la réutilisation des données culturelles et de la reproduction d’œuvres des collections nationales entrées dans le domaine public.
C & F Éditions. Libres Savoirs : Les biens communs de la connaissance - produire collectivement, partager et diffuser les connaissances au XXIe siècle Un regard mondial sur les biens communs de la connaissance. À la rencontre de ces réseaux qui n'envisagent pas de progrès sans partage des savoirs. La connaissance est un moteur de l'économie et de l'organisation sociale. Aujourd'hui numérisée, elle circule, se diffuse et se partage aisément, permettant la coopération de communautés et la création de nouvelles connaissances. Cette émergence dynamique et collective de nouveaux biens communs vient à son tour bousculer et renouveler la pensée économique et politique. Les biens communs de la connaissance constituent ainsi une utopie pragmatique qui propose des voies nouvelles pour aborder les défis du XXIe siècle. Pour Libres Savoirs, l'association Vecam a coordonné trente auteurs, venant de tous les continents, afin d'offrir un regard mondial sur les biens communs de la connaissance.
Sommaire 1. 2. Postface. Identifier les enclosures informationnelles pour favoriser les apprentissages en réseau. J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes Une enclosure ou une clôture c’est l’action de clore quelque chose, c’est poser une frontière. Cette notion fait référence à la théorie des biens communs, elle est le plus souvent synonyme d’appropriation.
Celle-ci peut être marchande (ex : les multinationales de l’eau) ou alors étatique (confiscation de terres, déplacement de populations) ou encore juridique (brevetage du vivant). Dans le domaine de l’information, clore revient à poser une frontière artificielle alors que l’ADN du numérique est de permettre le stockage et la dissémination à très bas coûts des biens informationnels qui sont par nature non rivaux, c’est-à-dire accessibles simultanément par plusieurs personnes. Or l’information peut-être un bien commun de la connaissance. Enclosures à visées commerciales.