Dirigeants, quatre choses à savoir sur la génération Y, Transformation. Anne-Laure Constanza (Envie de Fraise) : "Pour nous assurer une croissance rentable à l'étranger, nous avons opté pour des modèles BtoB" La marque en ligne de vêtements de grossesse, en croissance de plus de 50% en 2015, signe des partenariats retail et média pour doper son acquisition à l'international, explique sa PDG.
JDN. Que s'est-il passé en 2015 chez Envie de Fraise ? Anne-Laure Constanza. Nous avons connu une année phénoménale, que nous clôturerons avec plus de 50% de croissance par rapport à 2014. Nous avons aussi multiplié par trois notre taux de rentabilité, ce qui nous permet d'autofinancer notre expansion internationale. Sur notre core business français, nous enregistrons une croissance très soutenue. Quel est le rôle de ces catalogues ? Un premier catalogue de 96 pages, inséré dans tous les colis, met en scène la marque et ses clientes dans un objectif de fidélisation. Que vous a apporté votre partenariat de distribution avec Natalys ? Notre marque est commercialisée dans 31 points de vente de l'enseigne et nos ventes y ont doublé en un an. Les 4 articles du dossier. Près d’un salarié sur trois porte un vêtement professionnel.
Blouse du pharmacien, « bleu » du mécanicien et, de plus en plus, vêtement d’image dans la distribution et le monde des services. Sephora, Ikea, Darty, Starbucks, Apple… Toutes les enseignes possèdent désormais une tenue pour leurs salariés. Un sujet peu abordé dans la sphère marketing et pourtant l’exercice est difficile : la garde-robe doit convenir à la marque, aux clients et aux salariés. Ce qui en fait aussi un outil RH. > Retour au sommaire navigation contenu Les vêtements d’image ont le vent en poupe Le vêtement d’image est devenu un outil à part entière dans une stratégie d’entreprise. Influence Minoritaire. Conformisme. Q2. Comment un individu devient-il acteur dans une organisation.
Quand la génération Y impose ses codes au travail. Allergiques à la hiérarchie, soucieux de préserver leur temps libre et d’entreprendre, les jeunes nés entre 1980 et 1997 voient les entreprises s’adapter à leurs envies.
Et non le contraire. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Isabelle Chaperon Formidable jeunesse, comme l’ont clamé les universités d’été du Medef qui se sont tenues les 26 et 27 août à Jouy-en-Josas (Yvelines) ? Une jeunesse déroutante, en tout cas, avoue Stéphane Treppoz, le président du numéro un de la chaussure en ligne, Sarenza. L’entrepreneur a récemment proposé à ses salariés – 29 ans d’âge moyen – de leur payer la moitié de leurs jours de RTT en heures supplémentaires. Lire aussi La qualité de vie au travail, un critère qui prend du galon Chacun l’a remarqué, les fameux « Y » ou « millenials » – nés entre 1980 et 1997 – n’acceptent pas les codes traditionnels du monde du travail.
Cela pourrait paraître anecdotique. Et maintenant, la génération Z… et ça ne va pas en s’arrangeant. Atlantico : Qu'appelle t-on la génération Z ?
On parlait récemment de la génération Y, pourquoi ces deux générations se succèdent-elles si rapidement ? Eric Delcroix : La génération Z est le nom donné à la génération d'adolescents nés après 1995. Étonnement, c'est un terme que l'on entend peu en France. Dans les autres pays, en Grande-Bretagne en Nouvelle-Zélande ou en Australie, de nombreuses études ont été menées sur cette génération mais ce n'est pas le cas en France, sans que l'on puisse expliquer pourquoi. Il existe deux écoles : la première dit qu'il n'existe pas de génération, que l'on ne peut pas ficher les gens comme cela. Des différences permettent de séparer les générations Y et Z. Quelles sont les caractéristiques de la génération Z ? [VIDEO] L'embarrassante interview de Barack Obama - 1actu1geste #13. Facebook: Mark Zuckerberg et son sweat à capuche au coeur d'une polémique.
A quelques jours de l’entrée en bourse du réseau social Facebook, la veste à capuche de Mark Zuckerberg est perçue comme un signe d’immaturité et de provocation par le milieu.
Au point de nuire à l'entreprise? Le créateur et dirigeant de Facebook, Mark Zuckerberg, s’est présenté récemment devant les financiers à l’occasion de la très prochaine entrée en bourse de sa société. Pour l'occasion, Zuckerberg a choisi d’arborer son éternel sweat à capuche face aux costumes trois pièces des investisseurs potentiels. Mais selon CNN, le choix vestimentaire du jeune patron de 27 ans a immédiatement enflammé les esprits et créé une controverse. On parle de prétention, de provocation, de confiance en soi ou même de mépris et d’insouciance.
"C'est un signe d'immaturité" Alors qu’il est en tournée pour faire la cour à ses futurs investisseurs, Mark Zuckerberg a choisi de conserver son style de jeune New-Yorkais décontracté. Comme Steve Jobs en son temps, il crée sa légende. Broadcast Yourself. Expliquez-nous : la génération Z - M6 - Vicky Bogaert - 27 juin 2014.
La culture d'entreprise.