Le tourisme lent nouvelle tendance 087311300 1045 04032013. Slow tourisme - Définitions des formes de tourisme responsable. Le slow tourisme est un nouveau concept de voyage qui s’inspire du slow food, un mouvement incitant les gens à réapprendre à manger et à redécouvrir les plaisirs de la table pour faire face à la malbouffe et au fast-food.
Il s’agit de prendre le temps de découvrir une destination, d’apprécier les paysages, en privilégiant notamment des destinations proches et des moyens de transports moins polluants. Le slow tourisme est de plus en plus tendance. Nombreux sont les gens qui, aujourd’hui, deviennent des adeptes du tourisme lent. Leur philosophie est bien simple : ils ont décidé de s’accorder du temps, de se reposer, de ne plus passer leurs vacances dans le stress des transports et d’arrêter de faire la course aux musées sous prétexte qu’il ne faut rien rater. Pratiquer le slow tourisme, c’est profiter pleinement des vacances, sans avoir un programme strict établi à l’avance et des horaires à respecter à tout prix. Barcelone lance sa bataille contre la pression touristique, Tourisme - Transport. En quoi consiste la surfréquentation touristique et comment la contrôler? - Réseau de veille en tourisme. La croissance constante du nombre de touristes à travers le monde soulève la problématique de la surfréquentation de certains lieux.
Les conséquences qui en découlent sont nombreuses: dégradation des environnements naturel et culturel, problèmes sociaux, diminution de la qualité de l’offre touristique, etc. À l’heure où le développement durable d’une destination est perçu comme une priorité, certains acteurs adoptent des mesures afin de contrôler les flux de voyageurs. Même si elles déplaisent le plus souvent à l’industrie touristique, elles sont essentielles pour assurer la pérennité de la destination.
Qu’est-ce qu’une destination surfréquentée? L’atteinte ou le dépassement du seuil de capacité d’accueil d’un territoire est le signal d’une surfréquentation. Source: Coolgeography.co.uk Les conséquences d’une surfréquentation Lorsque sa capacité d’accueil est dépassée, la destination risque de subir des dommages environnementaux: À qui revient la responsabilité de réguler ce problème?
Regard nouveau sur le tourisme de masse [Deprest F. (1997). Enquête sur le tourisme de masse : l'écologie face au territoire. Paris : Belin] Regard nouveau sur le tourisme de masse?
Les adversaires du tourisme populaire risquent de « grincer des dents » à la lecture de l'ouvrage de la géographe Florence Deprest1, qui ose un regard original et nouveau sur le sujet : « II n'est pas question de nier que le tourisme de masse produise des modifications de l'espace et du territoire. Ce que nous réfutons est la manière dont on le décrit et l'explique. » (p. 75). Comment le tourisme de masse peut changer totalement un pays ? Cet article est publié dans le cadre de l’opération “Unis pour un tourisme alternatif”.
Orchestrée par Voyageurs du Net et parrainée par Voyageons-Autrement, ABM, Babel Voyages, EchoWay et Viatao, cette opération vise à promouvoir dans la blogosphère le tourisme alternatif et responsable. Cela fais maintenant un mois que je suis au Costa Rica, et je commence à avoir fait un bon bout de chemin dans le pays. Ce dernier dispose de près de 6% de la biodiversité mondiale et est donc un incroyable paradis pour les amoureux de la nature. Cependant, le tourisme de masse est en train de transformer littéralement le pays. Des coins, qui étaient jusque là isolés, se transforment petit à petit en véritable Disneyland pour touristes… Les prix sont multipliés… Et oui, commençons par ce qui choque le plus, aux premiers abords : les prix.
Les restaurants ont également fait flamber leurs prix en particulier pendant la haute saison et dans les principaux endroits touristiques. Les guides « locaux » Florence Deprest : Enquête sur le tourisme de masse : l'écologie face au territoire. Nente dans ce contexte, a été abusivement transférée au contexte des stations et à l'ensemble des lieux touristiques.
Elle vise encore assez juste sur plusieurs points complémentaires, sur la tendance à assimiler avec trop de rapidité économie touristique et colonisation. L'île de Pâques veut se protéger du tourisme de masse. Craignant pour leur écosystème, les habitants ont voté par référendum un contrôle renforcé des flux migratoires.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Christine Legrand - Hanga Roa (île de Pâques), envoyée spéciale A 37 ans, Luz Zasso Poa est, depuis un an, maire de Hanga Roa, chef-lieu de l'île de Pâques. "Rapa Nui", corrige-t-elle, revendiquant le nom polynésien de l'île mythique, découverte par un navigateur hollandais un jour de Pâques, en 1722, et annexée par le Chili en 1888. Une île qui, en octobre, s'est prononcée massivement, par référendum, en faveur d'un contrôle renforcé des flux migratoires. "Nous ne rejetons pas les touristes", dit Luz Zasso Poa quand on évoque ce vote, ainsi que les manifestations d'une partie des 5 000 habitants qui, en août, ont bloqué l'aéroport, empêchant pendant 48 heures les avions d'atterrir : "Le tourisme représente 80 % de notre économie et le futur de nos enfants.
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