ChEEk. Capture d'écran de l'une des vidéos de Girls Who Code Si vous ne deviez voir qu’une seule série de vidéos aujourd’hui, ce serait celle de l’association Girls Who Code, une campagne contre les préjugés sexistes sur les femmes et leur capacité à coder.
Repérée par Brain Magazine, cette série de trois vidéos publiées il y a quelques jours par l’association Girls Who Code dévoile enfin les 3 raisons existentielles pour lesquelles les femmes ne savent pas coder: leurs règles -“Elles sont peut-être trop émotionnelles alors que le code, c’est rationnel”-, leurs seins -“Parce que leurs seins les gênent?” - et enfin, leurs cils et leurs ongles -“Parce que leurs cils les empêchent de voir l’écran de l’ordinateur?”.
Objectif de cette campagne? France : n’être ni fille ni garçon. Interview.
Collection Témoignages : Maltraitance gynécologique. Lors d’une consultation, d’un accouchement, d’une IVG… le corps de la femme ne lui appartient plus.
Tout au long de leur vie, les femmes livrent leur corps à des gynécologues - pas toujours respectueux, parfois méprisants... Quand elle survient, la maltraitance médicale est une réalité que les femmes taisent, car elle reste perçue comme inhérente à la condition féminine. Plusieurs enquêtes dans la presse et sur internet ont signalé les pratiques archaïques dont les femmes peuvent être victimes dans leur parcours de santé.
Au printemps 2014, des sages-femmes alertent sur le « point du mari » : un geste clandestin – ou pas – qui consiste à recoudre une épisiotomie par quelques points de suture supplémentaires - supposé accroître le plaisir de l'homme lors des rapports sexuels. En février 2015 surgit sur la toile, le scandale des touchers vaginaux sur patientes endormies. Avec : Marianne et Sophie. Enfin une liste de soignantEs féministes ! 3 rue du Maréchal Brune, 19100 Brive-la-Gaillarde Femme soignanteSage-femmeSecteur 1 Informations complémentaires : Pose DIUFat-friendlyPratique l’hypnose 70 avenue Jean Jaurès95330 Domont femme soignanteMédecin généralisteSecteur 1 Informations complémentaires :
Défendre les droits vestimentaires des femmes, quels qu'ils soient, pour défendre toutes les femmes. Dans son livre "Le harem et l'occident", la sociologue Fatima Mernissi soulignait, que, si pour elle, les femmes orientales subissent un enfermement spatial (image du harem), les femmes occidentales subissent l'enfermement dans une image, "le harem de la taille 38".
Mernissi montrait ainsi les pressions insidieuses mais fortes, certes non inscrites dans la loi mais bien présentes, qui conduisent les femmes vivant en Occident, à adopter, à grands coups d'injonctions et de souffrances, un corps conforme aux canons de beauté. Il n'existe pas de loi visant directement le vêtement féminin non religieux en France. Il existe des lois sur le voile - loi de 2004 - des lois sur la burqa qui sont des vêtements portés exclusivement par les femmes. Dans son livre Mythologies du vivre-femme, Corinne Mencé-Caster souligne qu'il n'y a pas une seule construction de la féminité et de la masculinité. Nous pouvons et devons questionner et travailler sur la féminité ; comment s'incarne-telle ? Bethany Cosentino, de Best Coast, dénonce le sexisme dans l'industrie musicale. La chanteuse du groupe américain Best Coast raconte son expérience en tant que femme dans le monde de la musique sur le site Lennyletter.com.
Bethany Cosentino de Best Coast doit se justifier d’être une femme avec une guitare car c’est, soi-disant, un instrument “de bonhomme”. Pendant longtemps Bethany Cosentino, chanteuse et guitariste de Best Coast, a gardé le silence. Peut-être parce que ses conditions de travail lui semblaient normales, peut-être pensait-elle que c’était ainsi que cela devait se passer, qu’il fallait accepter le système tel qu’il était établi. Mais quand elle a découvert les tweets d’Amber Coffman, membre de Dirty Projectors, au sujet de Heathcliff Berru, un attaché de presse très influent dans le milieu, elle a très vite changé d’avis.
Lundi 1er février, la chanteuse Amber Coffman a révélé sur Twitter avoir été sexuellement harcelée par un attaché de presse du nom de Heathcliff Berru. “C’était quelqu’un que je connaissais à peine, que je venais juste de rencontrer. Scientifique, je pars en Antarctique avec 77 femmes. Nous sommes les leaders de demain. Déborah Pardo s'envolera pour l'Antarctique en décembre prochain (DR).
À 29 ans, je suis docteure en biologie des populations à l’Institut polaire britannique de Cambridge, au Royaume-Uni, où j’étudie la démographie des albatros et les changements évolutifs que cela implique. En décembre prochain, je m’envolerai vers l’Antarctique, dans le cadre du programme "Homeward Bound", qui a pour objectif de valoriser le rôle des femmes dans les sciences. Ce métier est fait pour moi Pour en arriver là, j’ai dû faire preuve de persévérance. Enfant, je rêvais déjà de travailler avec les animaux. Alors, j’ai décidé de prendre un autre chemin, en suivant des études en biologie des populations et des écosystèmes à l’université d’Aix-Marseille.
Une première consécration À partir de cet instant, j’ai tout fait pour y arriver. À 26 ans, j’ai été recrutée pour un post-doc à l’Institut polaire britannique de Cambridge. Concilier carrière et vie de famille. Marie, Rosalind, Jane... et les sciences. Future Feminism : Pussy Power !