Sauver leur centre-ville, un défi pour les communes de France. Amorcé dès les années 60, avec l’apparition des centres commerciaux en périphérie, le déclin de nos centres-villes s’est accentué dans les décennies suivantes avec la démocratisation de l’automobile et de la propriété individuelle : fleurissant partout, les lotissements péri-urbains ont contribué à déplacer le centre de gravité des activités commerciales et des services.
Mais la résistance s’organise autour du centre-ville ! Le Click and collect, une réponse aux attentes citadines en centre-ville ? Ce dernier est en effet une déclinaison du « drive » qui vient au secours des petits commerçants : permettant de commander en ligne et d’aller chercher en boutique, il s’est beaucoup développé pendant le confinement. Selon Olivier Sichel, cette « digitalisation des commerces locaux » est l’une des pistes majeures à développer pour contribuer à la renaissance des centres urbains, dans un contexte marqué par la crise économique et la permanence du risque sanitaire.
Rédigé par Brigitte Valotto. Actualités - Les perceptions des villes moyennes par les Français : les résultats d'un sondage d'opinion inédit. À l’occasion de la première édition des Rencontres des villes moyennes, qu’elle consacre les 25 et 26 novembre aux « trajectoires des villes moyennes », La Fabrique de la Cité publie les résultats de deux enquêtes d’opinion exclusives commandées aux instituts Kantar et Potloc.
Les résultats de ces études documentent pour la première fois avec précision les représentations que les Français ont des villes moyennes en général, mais aussi les perceptions et vécus des habitants des villes moyennes en particuler. Au niveau local, les habitants de trois villes, Cahors, Quimper et Charleville-Mézières, choisies pour la diversité de leurs situations ont été interrogés : comment y vivent-ils ? Pourquoi souhaitent-ils s’y installer ou, au contraire, les quitter ? Sites & Cités remarquables de France - Accueil. Le rebond des villes moyennes, une réalité ? Une perspective européenne sur les trajectoires des villes moyennes. Les villes moyennes sont volontiers analysées à travers le prisme de leurs dynamiques démographiques.
Deux discours se font concurrence : l’un privilégiant la thèse du déclin des villes moyennes, perdant prétendument leurs habitants au profit des métropoles ; l’autre soulignant au contraire le rebond qu’elles sont appelées à connaître, notamment depuis la crise liée au coronavirus, compte tenu de la qualité de vie et des relations sociales plus profondes et apaisées qu’elles sont censées offrir. Ces deux discours ne sont ni vrais, ni faux : ils recouvrent des réalités territoriales très diverses et des réponses qui le sont tout autant.
Bien rénover thermiquement le bâti ancien: un enjeu de revitalisation des centres-bourgs. Pour que les centres anciens soient conservés, il faut qu’ils restent habités.
La lutte contre la précarité énergétique fait donc partie de la problématique de redynamisation des centres-bourgs. C’est pour cela que les architectes des bâtiments de France sont pleinement engagés pour répondre au double enjeu de réussite de la transition énergétique et de préservation du patrimoine. Le colloque « Alliances : revitalisons nos petites villes » a été l’occasion de présenter l’exemple de la démarche initiée depuis 2010 par la DRAC et la DREAL du Grand-est, ainsi que les différentes actions menées par l’ANABF sur ce thème. Pour voir l’intégralité de l’intervention de Malory Chéry au colloque Alliances, cliquer ici.
Signature de la convention coeur de ville - Tarascon. Rendre plus attractifs les centres villes Sur le territoire de la communauté d’agglomération ACCM, les communes de Tarascon et Arles ont été retenues au titre de l’appel à projet Action cœur de ville.
Ce programme de 5 ans, qui concerne 222 villes en France, a pour objectif de rendre plus attractifs les centres des villes moyennes et de faciliter la réalisation des projets en accompagnant la résolution de dysfonctionnements pour une redynamisation durable. Des axes d’intervention identifiés Les axes d’intervention pour mener à bien cette redynamisation portent sur l’habitat, le commerce, la création d’emplois, le transport et la mobilité, l’offre culturelle et le développement des usages des outils numériques. Cp coeur ville arles. « Action cœur de Ville » - Monica Michel, Députée des Bouches du Rhône. J’ai le plaisir de vous annoncer qu’Arles et Tarascon sont retenues dans ce programme de revitalisation des centres-villes.
Les engagements pris par Emmanuel Macron et le Gouvernement sont mis en œuvre, Jacques MÉZARD, Ministre de la Cohésion des territoires, a annoncé ce 27 mars 2018 les 222 villes réparties dans toutes les régions qui bénéficieront d’une convention de revitalisation sur 5 ans pour redynamiser leur centre-ville, Arles et Tarascon sont retenues.
Le plan « Action cœur de ville » répond à une double ambition : améliorer les conditions de vie des habitants des villes moyennes et conforter leur rôle de moteur de développement du territoire. Si un cœur de ville moyenne se porte bien, c’est l’ensemble du bassin de vie, y compris dans sa composante rurale, qui en bénéficie. Ces villes sont créatrices de valeur dans notre pays. Elles portent une partie du développement du pays, aujourd’hui et demain. Ce programme repose sur 5 axes structurants : C0WXD. Arles Info » Inauguration du parking P2 à Barriol. Arles Info » Un nouveau parking inauguré. Publié par Mélanie Cristianini le jeudi 6 juin 2019 à 11h31 - Urbanisme / Travaux Ce nouvel équipement financé par l’État et la Ville, est une des réalisations du programme «Action Cœur de Ville», ayant pour but de redynamiser le centre Ville pour améliorer les conditions de vie dans les villes moyennes.
Arles fait partie des 222 villes qui bénéficient du soutien financier de l’État dans le cadre de cette convention de revitalisation sur 5 ans. 194 places, réservées aux véhicules légers, dont quatre pour personnes handicapées, sont ainsi disponibles sur l’aire de 4500 m2 située en face de la Chambre de Commerce, à Barriol. Le stationnement y est gratuit et limité à 24 heures.
Les travaux, sous la direction de la régie voirie, s’élèvent à 360 000 euros TTC financés par l’État (199 980 €) et la Ville (100 020 €). Etablissement Public Foncier Provence-Alpes-Côtes d'Azur. Vous êtes dans : Accueil > Actualités > Signature des premières conventions cœurs de ville © ville de grasse Signature de la convention "Action Cœur "avec la Ville de Grasse en septembre 2018 Lancé par le Premier ministre et le ministre de la Cohésion des territoires, lors de la conférence nationale des territoires du 14 décembre 2017 ce plan national vise les villes dites « moyennes », hors métropoles, et va permettre de redonner de l’attractivité et du dynamisme aux centres de ces 222 villes.
Parmi les 13 communes retenues sur la Région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur, l’EPF est d’ores et déjà partenaire avec 6 d’entre elles, à savoir : Arles, Tarascon, Avignon, Gap, Draguignan, Grasse ainsi que la commune de Vallauris sur laquelle une convention cœur de ville a été adoptée le 28 juin 2018 lors du Conseil d’administration de l’établissement. Action Cœur de ville : rénovation des centres villes. Parce qu’elles concernent 23% de la population française et 26% de l’emploi, les villes moyennes sont un vecteur essentiel de développement des territoires.
Aujourd'hui elles sont les premières touchées par le processus de « rationalisation » des cartes administratives, judiciaires ou hospitalières. Pour redynamiser les centres-villes, lutter contre la vacance des logements et des commerces et favoriser l’activité économique locale, vous devez mettre en œuvre et coordonner l’ensemble des initiatives utiles à l’activité économique et sociale des centres-villes, tout en les inscrivant dans une perspective de développement durable. Artificialisation des sols : les préfets appelés à stopper les projets de cen... Par cette circulaire, le Premier Ministre Jean Castex rappelle aux préfets leur rôle en matière d’aménagement commercial, pour limiter l’artificialisation des sols, conformément au « Plan biodiversité » qui définissait l’objectif « zéro artificialisation nette » (ZAN) et aux recommandations de la Convention citoyenne pour le climat.
Alors que les surfaces commerciales et économiques représentent 14% des surfaces artificialisées, c’est-à-dire ni agricoles, ni naturelles, ni forestières selon la définition retenue par France Stratégie dans son rapport (juillet 2019), cette circulaire rappelle aux préfets les leviers dont ils disposent pour atteindre l’objectif de ZAN, en particulier interdire les projets les plus consommateurs d’espaces. Quatre pistes pour redonner du souffle aux coeurs des villes moyennes (3/3) - Partie Prenante @ Nicolas Rio 2017. Comment transformer la vision portée sur les villes moyennes et leurs centres, pour éviter de tomber dans le piège du discours nostalgique que nous évoquions dans notre précédent billet ? Le patrimoine : un levier de développement pour les petites villes. Un partenariat avec l’association Petites Cités de Caractère bénéfique aux petites villes Depuis 2019, l’Agence soutient financièrement certaines actions de l’association Petites Cités de Caractère ® : celle-ci réalise notamment des outils méthodologiques et propose une animation, des actions qui concourent ainsi à la revitalisation des petites villes.
L’Agence a notamment accompagné deux guides méthodologiques (voir ressources) qui viennent de paraître et qui s’adressent à la génération d’élus tout juste nommés : « ces guides expliquent comment on peut faire en sorte de positionner le patrimoine au cœur d’un projet de revitalisation » explique Emmanuelle Le Bris, cheffe de projet Petites villes de demain à l’ANCT. Autant d’outils tout à fait pertinents dans le cadre du programme Petites villes de demain.
Centre-ville : le cœur n’y est plus. Centre-ville : le cœur n’y est plus Pendant un mois, nous avons enquêté sur l’efficacité du programme Action cœur de ville, mis en place par l’État en 2018 pour revitaliser les centres des villes moyennes. Nous démontrons que les surfaces commerciales en périphérie ont continué à s’étendre dans 81% des communes bénéficiaires du dispositif parmi les plus touchées par la dévitalisation de leur centre-ville. Une contradiction dont les responsabilités incombent tour à tour aux élus locaux, à l’administration d’État et aux préfets. Par onze étudiants-journalistes confinés du CUEJ de Strasbourg Publié le vendredi 29 mai 2020 Grilles baissées, vitrines poussiéreuses, pavés désireux de se faire piétiner à nouveau… D’Aurillac à Calais en passant par Thionville et Cholet, les centres des villes moyennes françaises se sont inexorablement vidés de leurs habitants, passants et commerçants en l’espace de deux décennies.
Hugo Bossard Chapitre 1 Les élus, premiers responsables. Coeur de ville : un service de Dataviz offre une nouvelle partie, privée. Vous souhaitez connaître les caractéristiques de votre parc de logements, identifier les quartiers les plus touchés par le chômage, analyser les flux de déplacements de vos actifs, suivre l’évolution de votre taux de vacance commerciale, évaluer la place de la nature en ville ou bien encore suivre les projets Action Coeur de ville ? Voici un aperçu de toutes les actions possibles avec la partie privée du service de datavisualisation que la Banque des Territoires met à disposition des 222 collectivités qui bénéficient du programme Coeur de ville et qui auront demandé une inscription préalable.
"Une soixantaine de personnes en ont demandé l’accès", estime Marie Aboulker, chargée de mission smart city, action Coeur de ville au département de la stratégie digitale et de la transformation numérique de la Banque des Territoires. Les collectivités intéressées doivent, pour des raisons de sécurité, se créer un compte sur la plateforme Banque des Territoires. Guéret, une ville à la dérive. Il existe des villes en France où l’avenir semble bien sombre. Fermetures des petits commerces dans le centre-ville, vieillissement de la population, exode vers la périphérie… la vie de certaines villes rurales semble difficile, face aux métropoles françaises qui attirent toujours plus d’étudiants et de jeunes familles. C’est le cas de Guéret. La préfecture de la Creuse dépérit, dans l’indifférence générale des Parisiens souligne Guillaume Estivie, réalisateur du film « I love Guéret », à travers ses amis : « C’est où Guéret ?
Entre nulle part et trop loin ? » Visiblement touché en plein cœur, le Guérois a décidé de montrer que sa ville d’enfance avait encore quelques cartes dans sa poche. Guéret, ville attractive A Guéret, la rue piétonne semble un peu vide et pourtant, les initiatives pour lui redonner vie sont nombreuses.