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Vie après la mort - Une enquête qui bouleverse les certitudes. On connaît tous des cas de deuil où surgit l’impression de « présence » du défunt. Pour beaucoup, consulter un médium est un moyen de nouer un contact intelligible avec le disparu. Les exemples sont si nombreux qu’un journaliste a cherché à en savoir plus. Son livre* bouscule de nombreuses certitudes. Paris Match. Avec votre “Test”, vous nous entraînez aux frontières du réel. Pour entrer en contact avec votre frère ? "L'ensemble des phénomènes extraordinaires sont scientifiquement étudiés" Qu’est-ce qu’une EMI ? Avez-vous eu des réponses ? "La physique quantique nous dit que la réalité n'est pas constituée de matière mais de vibrations qui échappent au temps et à l'espace" Cela peut-il avoir un lien avec la physique quantique ?

"Les résultats de mon test accréditent l'hypothèse que la vie se poursuit après la mort" C’est à la mort de votre père que vous décidez d’écrire “Le test” ? Quelle est votre conclusion ? Peuvent-ils nous conditionner si nous sommes fragiles ou crédules ? 13 Ways to Tell Whether It's Love or Manipulation. De Ferenczi à Winnicott : le « nourrisson savant » et le faux self. Notes Ce texte est issu d’un mémoire de maîtrise de psychologie soutenu en juin 2006 à l’université Paris 7. D.W. Winnicott, « Théorie des troubles psychiatriques en fonction des processus de maturation de la petite enfance » (1963), dans Processus de maturation chez l’enfant (1965), trad. J. Kalmanovitch, Paris, Payot, 1970, p. 218. M. W.R. J. T. B. Pour une définition plus complète de la notion de self, on peut se référer à la lettre de Winnicott du 19 janvier 1971 adressée à Jeannine Kalmanovitch dont le texte original a paru dans la Nouvelle revue de psychanalyse, n° 3, printemps 1971, p. 37-52 sous le titre « Le corps et le self ».

J. Si Ferenczi utilise essentiellement le terme générique de traumatisme, auquel il donne ses lettres de noblesse en psychanalyse, Winnicott emploie également celui d’« empiétement » pour désigner la situation spécifique de traumatisme précoce qui nous intéresse. S. S. S. S. D.W. D.W. D.W. R. S. D.W. C. S. Voir sur ce point F. S. F. S. Voir sur ce point R. S. Vos phobies disent énormément de choses sur votre personnalité ! Faites le test afin de voir ce que votre propre inconscient peut vous révéler... Nos peurs les plus profondes sont étroitement liées à notre inconscient, et cela révèle énormément de choses sur notre vraie nature...

En effet, il s'agit d'une manière pour notre cerveau de nous mettre en garde contre de nombreuses choses, et avant tout contre nous-mêmes ! De nombreux travaux dans le domaine de la psychologie ont été faits à ce sujet, et les peurs plus ou moins conscientes des individus ont passionné des générations de psychologues et de chercheurs. Voici quelques unes des peurs les plus communes...

Et ce que la psychologie dit à leur sujet. 1. Cette image vous fait peur ? Vous êtes une personne joyeuse et positive, avec une imagination extrêmement active — bref, vous êtes un créatif dans l’âme. Le noir ne vous fait pas peur en lui-même : c’est plutôt la sensation de ne pas voir ce qui se trouve en face de vous qui vous effraye. Outre une certaine peur de l’inconnu, la peur du noir peut également être le résultat d’une imagination hyperactive !

2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. TeachThought - Learn better. The Decline of Play and Rise in Children's Mental Disorders. Une maladie de l’attention intérieure : la dépersonnalisation. Par Angelo Hesnard. 1921. Angelo Hesnard. Une maladie de l’attention intérieure : la dépersonnalisation. Article parut dans la revue de « Association française pour l’Avancement des Sciences – Compte-rendu de la 4e session – Strasbourg 1920 », (Paris), 1921, pp. 367-370. Pour la biographie et la bibliographie d’Angelo Hesnard nous renvoyons à un de ses articles [en ligne sur notre site] : Ce que la clinique française a retenu de la Psychanalyse, 1935. Les [p.] renvoient aux numéros de la pagination originale de l’article. – Nous avons gardé l’orthographe, la syntaxe et la grammaire de l’original. – Par commodité nous avons renvoyé les notes originales de bas de page en fin d’article. – Sauf le croquis, les images ont été rajoutées par nos soins. – Nouvelle transcription de l’article original établie sur un exemplaire de collection personnelle sous © histoiredelafolie.fr [p. 367] M. le Dr HESNARD, Professeur à l’École de Médecine navale de Bordeaux.

Pourquoi se cherche-t-il ? Pourquoi ne se trouve-t-il jamais ? Les croyances limitantes (2) Avant toute chose je vous invite à prendre connaissance du premier article sur les croyances. Changer ses croyances limitantes Dans l’article précédent nous nous sommes intéressés aux croyances. Nous avons pris le temps de bien comprendre ce que sont les croyances et l’impact positif ou négatif qu’elles peuvent avoir sur notre existence. Cette fois je vous propose d’apprendre à les identifier et à les modifier ou les supprimer. Notez qu’il peut être particulièrement difficile de changer certaines croyances tant elles sont ancrées. Nous sommes tellement convaincus d’avoir une vérité absolue que nous allons souvent préférer faire en sorte que la réalité objective corresponde à notre système de croyance (notre réalité subjective) plutôt que de changer celui-ci. A la recherche de la croyance perdue Les croyances ressemblent beaucoup aux généralisations, du genre « les garagistes sont tous des escrocs », « Les hommes sont tous des sa#@!

Leur faire la peau 1/ trouver l’origine de la croyance. Fifty psychological and psychiatric terms to avoid: a list of inaccurate, misleading, misused, ambiguous, and logically confused words and phrases | Educational Psychology. “If names be not correct, language is not in accordance with the truth of things.” (Confucius, The Analects) Scientific thinking necessitates clarity, including clarity in writing (Pinker, 2014). In turn, clarity hinges on accuracy in the use of specialized terminology. Clarity is especially critical in such disciplines as psychology and psychiatry, where most phenomena, such as emotions, personality traits, and mental disorders, are “open concepts.”

Many writers, including students, may take the inherent murkiness of many psychological and psychiatric constructs as an implicit license for looseness in language. For at least two reasons, issues of terminology bear crucial implications for the education of forthcoming generations of students in psychology, psychiatry, and related domains. Psychology has long struggled with problems of terminology (Stanovich, 2012). First, some psychological terms are inaccurate or misleading. Inaccurate or Misleading Terms (1) A gene for. . (10) God spot. "Je me sens seul": des scientifiques montrent que le cerveau des solitaires fonctionne différemment.

SCIENCES – Le fait de se sentir seul a maintenant une explication scientifique. S'il vous arrive souvent d'avoir l'impression d'être abandonné, c'est que vous êtes victime d'une "spirale négative". Un cercle vicieux se met alors en place. Selon le New-York Magazine, les gens qui se sentent isolés viennent à redouter de mauvaises expériences sociales.

Ils vont ainsi perde foi en la possibilité de rencontrer des gens qui deviendront leurs amis. Une fois seul, leur cerveau entre dans une phase d'auto-préservation, un processus qui met en alerte la personne face une rencontre potentielle. C'est une étude menée par les chercheurs Stephanie et John Cacioppo accompagnés de Stephen Balogh de l'université de Chicago qui a permis de révéler cette théorie au grand jour.

Pour l'expérience, ces experts ont placé un réseau d'électrodes de 128 capteurs sur chacune des têtes des participants, ce qui leur a permis d'enregistrer les ondes cérébrales pendant 480 millisecondes. Nouvelle contribution à l’Étude de la Crise de possession. Par Louis P. Mars. 1951. Louis P. Mars. Nouvelle contribution à l’Étude de la Crise de possession. Article parut dans la revue « Psyché, revue internationale des sciences de l’homme et de psychanalyse, Maryse Choisy (Ed.) », Paris), 6e année, numéro 60, octobre 1951, pp. 640-669. Repris dans l’ouvrage collectif : Les Afro-Américains (préface de Théodore Monod).

Louis P. Créateur du terme d’ethnopsychiatrie (Georges Devereux). The Story of Zombi in Haïti. [p. 640] Nouvelle contribution à l’étude de la crise de possession par le Dr Louis MARS, Membre de l’Académie de Médecine de New-York, Membre de l’Académie des Sciences de New-York, Professeur de Psychiatrie à la Faculté de Médecine de Port-au-Prince. Le phénomène de possession a fait l’objet de recherches étendues tant en Europe qu’en Asie. La crise de possession dans le Vodou a été diagnostiquée : Hystérie par certains investigateurs. Les facteurs sociaux et économiques de possession ont été esquissés ici. Vaudou haïtien Art drapeau. (Cf. Le mysticisme Vodouique. Cosa ha visto uno Sciamano in un ospedale psichiatrico | La Stella. « Névroses et psychoses. Où commence l’anormal ? » Un entretien de Lacan paru dans Tonus. Autismes : des représentations multiples, sources de controverses. Les représentations de l’autisme, comme celles de toutes les maladies, ne sont pas le reflet évident de faits biologiques et épidémiologiques mais sont construites à partir de l’interaction d’un certain nombre de facteurs et d’acteurs.

Analyser les enjeux sous-jacents à la mise en place des représentations qui s’élaborent, se modifient, se confrontent, constitue une étape essentielle pour comprendre comment les déterminants sociaux et culturels interviennent dans la construction d’une maladie. Quel rapport entre ce petit garçon au regard fuyant qui ne parle pas, qui agite ces doigts devant les yeux, qui marche sur la pointe des pieds, et cet adolescent étrange, expert en informatique, qui s’exprime très bien mais n’a pas d’ami ? Les transformations des représentations de l’autisme font intervenir différents vecteurs (Hacking, 2005).

La pression des associations, au début des années 1990, a suscité une mobilisation des pouvoirs publics. De nouveaux acteurs sont récemment entrés en jeu. Memories, Dreams, Reflections: Legendary Psychiatrist Carl Jung on Life and Death. By Maria Popova “The sole purpose of human existence is to kindle a light in the darkness of mere being.” In the spring of 1957, at the age of 84, legendary psychiatrist Carl Jung (July 26, 1875–June 6, 1961) set out to tell his life’s story. He embarked upon a series of conversations with his colleague and friend, Aniela Jaffe, which he used as the basis for the text. At times, so powerful was his drive for expression that he wrote entire chapters by hand.

He continued to work on the manuscript until shortly before his death in 1961. The result was Memories, Dreams, Reflections — a fascinating peek behind the curtain of Jung’s mind, revealing a wonderland of wisdom, experience, and self-reflection. Jaffe writes in the introduction in 1961: The genesis of this book to some extent determined its contents. Jung’s reflections span everything from the minutia of working for a living to the grand truths of the human condition to the nature of the divine. Donating = Loving Share on Tumblr. Paul Piff: Does money make you mean?