MH YS CDD Espaces ruraux. 144000475. These Pistre 2012 renouveaux campagnes. Les mutations de la filière viticole française. Center Parcs de Roybon : la bataille judiciaire relancée. Périurbanisation et étalement urbain avec Edugéo, l’exemple du nord de (...) Il fut un temps où je courais allègrement...lorsque j’étais élève au collège Gaston Roupnel à Dijon du côté de Pouilly sur des chemins bordés par des vergers...
Aujourd’hui, les champs ont fait place au quartier de la Toison d’Or (depuis le 11 avril 1990) et bientôt à l’arrivée du Tramway..... Par une certaine nostalgie (!) Et par l’efficacité d’édugéo (qui doit encore s’améliorer dans les prochaines semaines) il est aisé et rapide de montrer la périurbanisation et l’étalement urbain. Cette situation d’apprentissage est réalisée rapidement en salle informatique en une vingtaine de minutes si les élèves ont déjà manipulé Edugéo. La dernière question fait appel à une recherche sur le site internet de la Toison d’Or. Ce cours a été réalisé avec l’ancien programme de 3e. Problématique : Quelles sont les caractéristiques de l’urbanisation dans une ville développée ?
Démarche : voir fiche en-dessous Socle commun, capacités, compétences : voir fiche ci-dessous. Fiche de la séance : Enoncé. Bilan : Agriculture periurbaine innovations agronomiques 2009. Les dynamiques du périurbain dijonnais entre 1990 et 1999. 1Comme la plupart des aires urbaines françaises, celle de Dijon a connu depuis les années soixante une très forte croissance.
Ce mouvement a été accompagné d’un puissant processus de périurbanisation entraînant un développement sans précédent de l’étalement urbain. Associé à un accroissement des mobilités, cet étalement urbain est aujourd’hui assez généralement perçu comme incompatible avec des objectifs de développement durable. Impliquant majoritairement des déplacements automobiles, il apparaît responsable aussi bien des encombrements routiers que des atteintes multiples à l’environnement : bruit, pollution et émission de gaz à effet de serre. Les petites villes dans la périurbanisation. Parc national en France / parc naturel régional (PNR) Les Parcs nationaux ont été initiés par la loi du 22 juillet 1960.
Il s'agit de territoires de protection de la nature, gérés par l'État, inspirés par les préconisations de l'UICN (IUCN, World Conservation Union) qui les décrit ainsi : "territoires relativement étendus, qui présentent un ou plusieurs écosystèmes généralement peu ou pas transformés par l'exploitation et l'occupation humaine, où les espèces végétales et animales offrent un intérêt spécial du point de vue scientifique et récréatif". Ils font l'objet de mesures de préservation, de protection. En France, leur but est la conservation d'espaces naturels fragiles : « la conservation de la faune, de la flore, du sol, du sous-sol, de l'atmosphère, des eaux et en général du milieu naturel ».
Les Parcs nationaux sont des dispositifs complexes à monter pour tenir compte équitablement des acteurs locaux. Leur appellation, proche de celle de Parc national, peut porter à confusion. Pour compléter sur Géoconfluences : Voir aussi : Terre d’élevage ou « nature préservée » en zone centrale des parcs nationaux français des Alpes du Sud ? 1L’élevage en zone centrale des parcs nationaux sud-alpins est confronté à leurs objectifs de protection et de découverte.
L’essentiel de cet élevage, en superficie, en nombre d’Unités pastorales, comme en têtes, est ovin. En raison de l’altitude moyenne des zones centrales (2429 m dans les Écrins pour 2120 m dans le Mercantour) il s’effectue essentiellement sur des unités pastorales d’altitude, alpages ou estives. De rares unités d’intersaison et quelques unités abandonnées complètent ce panorama. Les unités pastorales d’altitude sont des unités géographiques fonctionnelles d’un seul tenant, pouvant atteindre plusieurs centaines d’hectares, situées généralement au-dessus de l’habitat permanent et des cultures. Leurs limites sont d’origine naturelle (hydrologie, relief, changement de végétation…), administrative (parcelle, commune, limite de parc) ou calquées sur des artefacts (route, clôture, muret…). 1.1. 1.1.1. 1.1.2.
La figue de Solliés, une nouvelle AOC face à un avenir incertain. 1.1 - Le bassin de Solliès : une tradition fruitière ancienne 1 Mentionné lors du discours inaugural de l’exposition agricole internationale d’Hyères de 1910, Bull (...) 1Dans la basse vallée du Gapeau, un réseau d’irrigation, attesté depuis le Moyen Âge, a permis le développement de prairies et de jardins à côté de la traditionnelle trilogie méditerranéenne : céréales, vignes et oliviers.
Les arbres fruitiers constituent rarement des vergers, mais sont la plupart du temps complantés, installés en bordure d’une terrasse ou plantés en ligne avec le système des outins et des oulières. La présence de fruitiers dans la « vallée d’Hyères », peut-être plus marquée que dans d’autres secteurs, est mentionnée par Arthur Young 1 dans son voyage sur le littoral provençal en 1789. L’adaptation des agriculteurs au contexte périurbain. 1L’accroissement démographique des territoires périurbains témoigne de leur attractivité depuis le milieu des années 1960 en France.
Plus récemment, la croissance endogène des périphéries urbaines succède aux processus de desserrement résidentiel (Cailly, 2010). Plusieurs travaux ont identifié les implications des processus de périurbanisation sur la redéfinition des fonctions associées à ces espaces ruraux en périphérie des villes (Bryant et Johnston, 1992). Ils ne sont plus simplement des espaces productifs et agricoles, ils sont le support à la fois de fonctions résidentielles, récréatives et environnementales.
Dynamiques territoriales et risques : un quart de siècle après la loi Littoral. RJ • E n° spécial 2012.