Autoentrepreneur, pourquoi il faut créer votre activité avant 2020. Mauvaise nouvelle pour ceux qui pensaient se lancer en 2020.
À compter du 1er janvier prochain, le régime des autoentrepreneurs va devenir beaucoup moins attractif pour les nouveaux entrants. En cause : un décret du 20 novembre, qui modifie en profondeur les exonérations sociales auxquelles on peut prétendre en début d'activité. Un texte qui détricote totalement ce que le gouvernement avait généreusement accordé à tous les micro-entrepreneurs il y a tout juste un an. Depuis le 1er janvier 2019, toute personne qui crée son activité sous le régime des autoentrepreneurs bénéficie d'allègements dégressifs de charges sociales pendant trois ans. Au lieu de payer 22% de cotisations sur son chiffre d'affaires, un autoentrepreneur réalisant des prestations de service ou exerçant une activité libérale paie ainsi 5,5% de charges la première année, puis 11% la deuxième puis 16,5% la troisième. Des allègements de charges réduits Hélas, ce coup de pouce au démarrage vit ses dernières heures.
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L’application UberEATS est arrivée, et vous permet de commander votre déjeuner, ou votre dîner, aussi simplement que de commander un véhicule ! Dès aujourd’hui, commandez vos repas livrés directement chez vous, tous les jours entre 11h00 et 23h00. Téléchargez vite notre nouvelle application UberEATS, disponible sur iOS et Android. La nouvelle application UberEATS c’est plus de flexibilité pour les restaurants, et plus de choix pour les gourmands : Les meilleures adresses : Découvrez notre sélection de plus d’une centaine de restaurants partenaires : Blend, Frenchie To Go, Clasico Argentino, Rachel’s, Noglu, Hero, et beaucoup d’autres !
“Paris était une évidence pour ce lancement de la nouvelle application UberEATS et devient ainsi la première ville à proposer UberEATS en dehors des Etats-Unis et du Canada. Thibaud Simphal, General Manager Uber France. Uber Eats, Deliveroo… quand des travailleurs précaires profitent d’autres plus précaires encore. C’est l’un des effets pervers de l’ubérisation.
Les plates-formes proposant aux urbains la livraison de leur repas par des autoentrepreneurs, circulant le plus souvent à vélo (Deliveroo, Uber Eats, Glovo…), connaissent une dérive qui pourrait se résumer ainsi : des travailleurs précaires trouvent matière à rémunération en profitant de plus précaires qu’eux. En l’occurrence, des mineurs et des sans-papiers. Le phénomène, rampant, est exposé régulièrement dans les médias français. Ce week-end, c’est le quotidien américain The New York Times qui a consacré une enquête à ce business parallèle en France.
Tout part d’un procédé d’une simplicité enfantine. Lire : Uber, Deliveroo… Cet arrêt de la Cour de cassation qui inquiète les plates-formes numériques Système d’exploitation Combien de sans-papiers ou de mineurs figurent parmi les quelque 20 000 livreurs de repas en France ? Article réservé à nos abonnés Lire aussi L’insatiable appétit de l’ogre Deliveroo Contrôles réguliers. Le salariat, un statut bientôt obsolète ? Est-ce la fin du salariat ?
Professionnels, particuliers ayant un savoir-faire, de plus en plus de travailleurs passent désormais par des outils technologiques comme des applications pour vendre leurs services. Se dirige-t-on dans le secteur des services vers la fin du salariat ? Le journaliste François Lenglet fait le point. "Dans le secteur des services aux particuliers, oui. On est entré dans l'économie à la demande, c'est à dire, celle de la prestation de service sur mesure et instantanée. Pourquoi les clients ne continuent-ils pas à s'adresser à des entreprises ? Le JT JT de 20h du mardi 29 septembre 2015 L'intégrale Les autres sujets du JT Votre avis est précieux. Aidez-nous à améliorer notre site en répondant à notre questionnaire. je donne mon avis France Télévisions traite vos données personnelles afin d’améliorer les produits franceinfo et répondre plus précisément à vos besoins.Pour exercer vos droits sur vos données, contactez-nous.
ACTION COLLECTIVE DE LIVREURS CONTRE UBER EATS. Uber Eats attaqué en justice par ses livreurs français. Inscrivez-vous gratuitement à laNewsletter BFMTV Midi Ils réclament la requalification en contrat de travail de la relation qui les lie à la plateforme ainsi qu'une indemnisation.
Une action collective a été lancée mardi depuis Toulouse contre la société Uber Eats pour "obtenir la requalification de la relation de travail de centaines de livreurs à vélo en contrat de travail et de leur offrir une indemnisation à laquelle ils ont légitimement droit", a indiqué l'avocat à l'origine de la procédure. Cette procédure contre le service de livraison de repas du géant américain Uber est lancée par la plateforme MySMARTcab spécialisée dans les actions collectives et gérée par l'avocat toulousain Me Christophe Lèguevaques, en collaboration avec Me Marlène Elmassian. Cette action collective s'articulera en trois étapes. "La première, du 23 juillet au 30 octobre 2019, correspond à la période d'inscription à la procédure par Internet (www.delivreznous.fr). BFMTV.com Tweeter A lire aussi Recommended by. Contrats de travail dans le secteur privé.