Les Temps modernes - film 1936. Titanic - film 1997. L’histoire du monde en BD. L’histoire du monde en BD Collection Images Doc Quinze mille ans d’histoire en BD Préhistoire / Antiquité / Moyen Age / Renaissance / Temps modernes / XIXe siècle / XXe siècle à nos jours… Les grandes périodes de l’histoire sont abordées avec clarté et sous forme de bande-dessinées.
Chaque partie est introduite par une double page de repères chronologiques et géographiques. Les personnages, civilisations ou évènements traités dans la partie sont facilement repérables sur une frise du temps et un grand planisphère. Pour les passionnés d’histoire comme pour les amateurs Grâce à des codes fournis au fil de l’ouvrage, ils pourront consulter et imprimer de grands visuels légendés directement en lien avec les BD en se rendant sur le blog du magazine Images Doc.
Un projet transmedia de Bayard Jeunesse, relayé par le magazine Images Doc et le site internet Bayam. Pascale Bouchié est rédactrice en chef adjointe du magazine Images Doc. Béatrice Veillon dessine avec autant d’humour que de réalisme. Les Rougon-Macquart, tome 11 : Au bonheur des dames. Revoilà, en 1883, le Zola magique et visionnaire, qui signe chronologiquement son deuxième grand chef-d'oeuvre du cycle des Rougon-Macquart après l'Assommoir paru en 1877.Au Bonheur Des Dames est une réussite totale selon moi pour au moins cinq raisons que je vais tenter d'égrener ci-dessous : 1°) Premièrement, ce roman répond pleinement à l'un des objectifs du cycle littéraire des Rougon-Macquart qui se propose de dresser une histoire naturelle et sociale sous le Second Empire.
Ici, on est en plein dedans. Quoi de plus marquant en effet que l'émergence du nouveau commerce, qui se matérialise par le fleurissement de ce que l'on nommera désormais « Les Grands Magasins » dans le Paris de la seconde moitié du XIXème siècle ? Aux champs. À Octave Mirbeau.
Les deux chaumières étaient côte à côte, au pied d’une colline, proches d’une petite ville de bains. Les deux paysans besognaient dur sur la terre inféconde pour élever tous leurs petits. Chaque ménage en avait quatre. Devant les deux portes voisines, toute la marmaille grouillait du matin au soir. Les deux aînés avaient six ans et les deux cadets quinze mois environ ; les mariages, et, ensuite, les naissances, s’étaient produites à peu près simultanément dans l’une et l’autre maison.
Les deux mères distinguaient à peine leurs produits dans le tas ; et les deux pères confondaient tout à fait. La première des deux demeures, en venant de la station d’eaux de Rolleport, était occupée par les Tuvache, qui avaient trois filles et un garçon ; l’autre masure abritait les Vallin, qui avaient une fille et trois garçons. Tout cela vivait péniblement de soupe, de pommes de terre et de grand air. . — Oh ! La jeune femme reprit : — Il faut que je les embrasse !
Le paysan demanda : Pierre et Jean - Guy de Maupassant. 1888, c'est l'année où Zola publie « le rêve »… Zola, pour beaucoup la référence de cette époque.
Mais c'est également l'année où Guy de Maupassant publie « Pierre et Jean », son quatrième roman ; un petit roman écrit d'une traite durant l'été 1887… Quel rapport, me direz-vous ? A part l'amitié qui lie les deux hommes, rien sans doute… Quoique… Si Zola place l'essentiel de ses « Rougon Macquart » dans le sud et à Paris, Maupassant place ses romans mais aussi ses nombreuses nouvelles en Haute Normandie, à l'époque, en Seine Inférieure ; mais la préoccupation est bien la même : décrire le monde qui les entoure avec un certain réalisme.
La parure. C’était une de ces jolies et charmantes filles, nées, comme par une erreur du destin, dans une famille d’employés.
Elle n’avait pas de dot, pas d’espérances, aucun moyen d’être connue, comprise, aimée, épousée par un homme riche et distingué ; et elle se laissa marier avec un petit commis du ministère de l’Instruction publique. Elle fut simple, ne pouvant être parée, mais malheureuse comme une déclassée ; car les femmes n’ont point de caste ni de race, leur beauté, leur grâce et leur charme leur servant de naissance et de famille.
Leur finesse native, leur instinct d’élégance, leur souplesse d’esprit sont leur seule hiérarchie, et font des filles du peuple les égales des plus grandes dames. Elle souffrait sans cesse, se sentant née pour toutes les délicatesses et tous les luxes. Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de la laideur des étoffes. Elle n’avait pas de toilettes, pas de bijoux, rien. . — Que veux-tu que je fasse de cela ?