La première conférence mondiale sur le 3D Food Printing à Liège - Smart Gastronomy Lab. — Mardi 9 décembre 2014 La 6e édition de 3D Stereo MEDIA (Liège, 9-11 décembre 2014) est l’occasion de présenter la première conférence internationale sur le thème du 3D Food Printing, rencontre professionnelle organisée à l’initiative des équipes de Gembloux Agro-Bio Tech (Université de Liège).
Imprimer soi-même, où l’on veut, quand on veut, ses propres aliments n’est plus une utopie. Experts et visionnaires s’accordent pour prédire que l’alimentation et la gastronomie deviendront digitales et 3D, ce qui signifie que les recettes et les menus dans leur forme digitale pourront prendre concrètement forme grâce à des imprimantes 3D. Pour d’aucuns, les imprimantes alimentaires 3D sont les micro-ondes de demain ! L’impression 3D d’aliments peut rencontrer des besoins spécifiques dans des circonstances multiples. La 3D Food Printing : « nouvelle frontière » pour la production et la consommation des aliments. La première conférence mondiale sur le 3D Food Printing à Liège. [Expert] Les nombreux visages de l’open innovation - Quatrième partie. A propos Olivier Ezratty est consultant en nouvelles technologies et auteur d’Opinions Libres, un blog sur les médias numériques (TV numérique, cinéma numérique, photo numérique), et sur l’entrepreneuriat (innovation, marketing, politiques publiques…).
Olivier est expert pour FrenchWeb. [Expert] Les nombreux visages de l’open innovation - Troisième partie. A propos Olivier Ezratty est consultant en nouvelles technologies et auteur d’Opinions Libres, un blog sur les médias numériques (TV numérique, cinéma numérique, photo numérique), et sur l’entrepreneuriat (innovation, marketing, politiques publiques…).
Olivier est expert pour FrenchWeb. Les nombreux visages de l’innovation ouverte : 2. Après l’introduction, dans ce second volet de cette série d’articles sur l’innovation ouverte des grands groupes et leurs relations avec les startups, nous allons faire un tour d’horizon de la boite à outils utilisée couramment par les grands groupes.
J’y passe en revue les incubateurs, accélérateurs, les labs à l’étranger, l’accompagnement technologique, les concours de startups et les conférences. Dans un article suivant, nous terminerons ce parcours de la boite à outils avec le financement, les projets collaboratifs, les proof of concepts, le co-marketing, la vente en marque blanche et les acquisitions. Puis, surtout, avec les éléments de culture d’entreprise du grand groupe qui vont favoriser la mise en place d’une approche efficace d’innovation ouverte. Incubateurs et accélérateurs Au vu de la pléthore d’incubateurs et d’accélérateurs en France, l’un des réflexes pavloviens de la grande entreprise est de vouloir le sien, pour avoir “ses” startups chez soi.
Les nombreux visages de l’innovation ouverte : 1. C’est fou comme les grandes entreprises aiment les startups et l’innovation !
Depuis quelques années sévit une véritable épidémie d’innovation ouverte dans les grandes entreprises françaises. Elles ont toutes été piquées par ce virus. Le concept d’open innovation date de plus de 10 ans. Il a été vulgarisé par Henry Chesbrough dans son ouvrage fondateur paru en 2003 “Open Innovation”. Les nombreux visages de l’innovation ouverte : 2. Poult : le management démocratique existe. Le groupe toulousain Poult est aujourd’hui le deuxième vendeur de biscuits en France, derrière LU.
Si la marque ne vous est pas aussi familière, c’est que Poult fabrique des produits affichant la griffe du distributeur. En fait, ses cinq usines et ses huit cents employés fournissent quasiment toutes les chaînes de supermarchés et d’hypermarchés de l’Hexagone. Jérôme Introvigne (@oimoci), ancien directeur de l’innovation, a remplacé au pied levé Carlos Verkaeren, PDG de la société, sur la scène de Lift France. Il n’aurait logiquement pas dû être à Lift pour nous présenter cette dernière, puisqu’il l’a quittée la semaine précédente pour monter sa start-up, Skiller, une plateforme collaborative de partage de compétence professionnelle ! Mais il reste cependant suffisamment enthousiaste à l’égard de son ancien employeur pour le représenter.
Image : Jérôme Introvigne sur la scène de Lift France. Mais comment passer à la pratique ? Rémi Sussan Signaler ce contenu comme inapproprié. Que ReFaire ? Pour des Fab Labs en entreprise. Ateliers ouverts dédiés au prototypage rapide, les Fab Labs se multiplient et s’interconnectent partout dans le monde [1].
On les rencontre aussi bien dans les capitales de pays en développement que sur des campus universitaires, ou des quartiers branchés des villes californiennes. Les FabLab d'entreprises : un appel aux makers et aux créatifs. Le réseau FabLab continue de mailler le territoire français à l’initiative d’universités ou d’associations locales et le Festival 2015 se prépare !
En parallèle, de plus en plus de grandes entreprises industrielles créent, en interne, des espaces du même type pour la réalisation de projets. A tel point que ces entreprises organisent une « association de fablabs industriels », appelée à se réunir chaque mois. On en compterait une petite dizaine dans des entreprises françaises actuellement. Exclusif : les fablabs industriels français se fédèrent en association. « L’envie date d'il y a un an, quand nous avons commencé à nous rencontrer entre industriels.
L’idée est de pouvoir nous retrouver dans une association pour discuter de manière plus formelle et mettre en place un cadre juridique avec des moyens associés », explique Mickaël Desmoulins, fabmanager du Renault Creative Lab, et futur président de l’association Fab&Co, qui vise à réunir les responsables des ateliers de fabrication numérique des industriels lancés dans l’aventure.
Ceux-ci ne sont pas à proprement parler des fablabs labellisés selon la charte du MIT, mais participent du même mouvement d'ouverture visant à stimuler l'innovation grâce à de nouvelles manières de travailler.