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Suicide au travail

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Christophe Dejours De la psychopathologie à la psychodynamique du travail, In Travail, usure mentale (1993), Bayard, 2000, 215-275. De la rumeur à la peur. 1 L’enquête a été réalisée en 2008 avec Fabienne Benetti. 2 L’absence des encadrants dans le dispositif d’enquête est liée, pensons-nous, à une censure exerc (...) 1Un jeune cadre, futur chef de son service, s’enferme dans son bureau pour mettre fin à ses jours avec des instruments de travail.

De la rumeur à la peur

Souffrance, défenses, reconnaissance. Le point de vue du travail. Hannah Arendt : une approche politique de la question des solitudes. Solitude de la folie ? L'évaluation individuelle annuelle à 360 degrés : un virage dangereux pour les salariés. 6 - Psychiatrie et rationalité économique. Suicide des jeunes: Sourire de Reda décode leur jargon. Créée en décembre 2009, Sourire de Reda - dirigée par Myriam Bahri - intervient quasi quotidiennement auprès des per­sonnes en souffrance via sa plateforme d’écoute anonyme «Stop Silence».

Suicide des jeunes: Sourire de Reda décode leur jargon

Une helpline confidentielle et gratuite prise en charge par des spécialistes de la question et disponible en français, en anglais et en darija sur www.stopsilence.org. L’entité a également pour axe de travail la préven­tion, via la tenue régulière d’ateliers de sensibilisation dans les écoles (Ph. Fadwa Alnasser) Bon nombre de jeunes en souf­france ne parviennent pas à aborder la question de leur mal-être avec une tierce personne. C’est pour les reconnecter avec leurs émotions que l’association Sourire de Reda rendra opérationnel d’ici quelques jours sa propre Roue des émo­tions, thème phare de sa nouvelle cam­pagne de communication. En effet, l’on y apprend que 58,5% des jeunes en état de souffrance n’en parlent pas aux autres. Karim AGOUMI. La dépression peut être dissimulée derrière un sourire.

Temps de lecture: 5 min L’expression «dépression souriante» –qui définit le fait d’avoir l’air heureux tout en souffrant intérieurement de symptômes dépressifs– est de plus en plus répandue.

La dépression peut être dissimulée derrière un sourire

Le nombre d’articles sur ce sujet augmente dans la littérature populaire, et les requêtes Google qui lui sont consacrées ont considérablement crû cette année. On est toutefois en droit de se demander si la dépression souriante est réellement un état pathologique. Bien que cette expression ne figure pas dans le lexique des termes techniques utilisés par les psychologues, il correspond certainement à une réalité. Il est possible d’être déprimé et de réussir à en masquer les symptômes. Dans les faits, une proportion importante de personnes déprimées, auxquelles leurs activités ne procurent plus de plaisir, parviennent à cacher leur état en souriant.

Chapitre I. Clinique du travail et évolution du droit. Clinique du travail et évolutions du droit - Nicolas Chaignot Delage, Christophe Dejours. Citations de Christophe Dejours - Chuchotements.org. Le corps entre « courant tendre » et « courant sensuel » La psychiatrie résiste-t-elle au néolibéralisme ? La clinique du travail entre vulnérabilité et domination. La souffrance psychique au travail. Comprendre les enjeux de santé du rapport subjectif au travail. Psychodynamique du travail et politique : quels enjeux ? - Psychanalyse, santé, travail - Christophe Dejours. Aliénation et clinique du travail. La « dépression souriante », ou quand le sourire masque un profond mal-être. L’expression « dépression souriante » – qui définit le fait d’avoir l’air heureux tout en souffrant intérieurement de symptômes dépressifs – est de plus en plus répandue.

La « dépression souriante », ou quand le sourire masque un profond mal-être

Le nombre d’articles consacrés à ce sujet augmente dans la littérature populaire, et les requêtes Google qui lui sont consacrées ont considérablement crû cette année. On est toutefois en droit de se demander si la « dépression souriante » est réellement un état pathologique. Bien que cette expression ne figure pas dans le lexique des termes techniques utilisés par les psychologues, il correspond certainement à une réalité. Il est possible d’être déprimé et de réussir à en masquer les symptômes. L’appellation technique la plus proche pour décrire cette condition est « dépression atypique ».

Il peut s’avérer très difficile de repérer les personnes souffrant de dépression souriante. À l’intérieur, cependant, ces personnes se sentent désespérées et déprimées. Résultats de recherche. Psychodynamique du travail et politique : quels enjeux ? Chapitre V. Le harcèlement moral au travail : contrainte par corps. Chapitre VI. Nouvelles formes de servitude et suicide. Travail : de l'état des lieux au remaniement des principes de l'intervention. Introduction. Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Le chômage accroit les troubles dépressifs et le risque suicidaire.

Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ?

Pour autant, les personnes en activité ne sont pas épargnées. Ainsi, en 2017, les hommes travaillant à leur compte (agriculteurs-exploitants, artisans, commerçants et chefs d’entreprise) et ceux ayant un revenu inférieur à 1 500 euros par mois sont plus exposés que les salariés. Concernant les femmes, l’exposition au risque va , de manière croissante, des cadres (les moins exposées) aux ouvrières (les plus exposées). Les risques de suicide par secteurs d’activités et selon le sexe montrent que l’hébergement et la restauration, les arts et spectacles, l’enseignement, la santé humaine et de l’action sociale sont les secteurs d’activité les plus à risque pour les hommes. Pour les femmes la prévalence des pensées suicidaires se situent plus dans les activités arts et spectacle, l’enseignement, l’information et la communication, l’hébergement et la restauration. Suicide au travail : les DRH face à la "conspiration du silence"

Les suicides au travail demeurent peu étudiés par les gestionnaires, malgré leur nette augmentation, notamment car les études sur ces suicides sont difficiles à conduire.

Suicide au travail : les DRH face à la "conspiration du silence"

Le chercheur se heurte au silence des différents acteurs de l’entreprise, tant du côté de la direction que de celui de l’encadrement et des collègues. Les auteurs de cet article sont Pierre Chaudat de l'Université Clermont Auvergne, Dany Gaillon, du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) et Thierno Bah, de l'Université de Rouen Normandie. La version originale de cet article a été publiée sur le site The Conversation dont franceinfo est partenaire. !!! Nouvelles formes de servitude et suicide. Suicide et travail : que faire ? - Christophe Dejours, Florence Bègue.