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L'eau, une ressource sous pression

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Où en sont les ressources en eau dans le Monde ? Précipitations et écoulements terrestres Les ressources de chaque pays dépendent du climat.

Où en sont les ressources en eau dans le Monde ?

Les niveaux de précipitations (pluviométrie), extrêmement variables dans le monde, vont de moins de 10 000 m³ à 10 000 000 m³ par km². Cette oscillation se répercute sur les flux d’écoulement annuels moyens. Bien entendu, précipitations et écoulements, au delà des variations géographiques, sont soumis à des évolutions plus ou moins marquées dans le temps et de manière générale, un afflux relativement constant sera plus facile à gérer que de fortes variations saisonnières. Les pays riches et les pays pauvres en eau Les cycles climatiques passés et actuels ont façonné la géographie des ressources en eau. Près de 60 % des ressources naturelles renouvelables d’eau douce du monde sont partagés par 9 géants de l’eau : Brésil, Fédération Russe, Indonésie, Chine, Canada, Etats-Unis, Colombie, Pérou et Inde. On observe des périodes de carence même là où les ressources sont habituellement abondantes. La crise de l’eau illustrée en 5 graphiques.

L’ONU appelle, à l’avant-veille de la journée mondiale sur l’eau, à économiser cette précieuse ressource.

La crise de l’eau illustrée en 5 graphiques

Sans quoi le monde devra faire face à un déficit hydrique de 40 % dès 2030. Le Monde.fr | 20.03.2015 à 05h01 • Mis à jour le 20.03.2015 à 14h39 | Par Martine Valo Y aura-t-il demain assez d’eau pour tous sur notre planète ? Théoriquement oui, mais il est urgent de changer « radicalement » la façon de l’utiliser et de la partager, prévient l’Organisation des Nations unies (ONU) dans son rapport annuel 2015 sur l’or bleu, qu’elle a rendu public vendredi 20 mars, à l’avant-veille de la journée mondiale de l’eau. Sinon, au rythme actuel, « le monde devra faire face à un déficit hydrique global de 40 % » dès 2030, écrivent les experts du Programme mondial des Nations unies pour l’évaluation des ressources en eau. Un stress hydrique qui touche une large partie du globe Les eaux souterraines de plus en plus surexploitées.

L’eau, cause ou prétexte pour les conflits ? L’exemple du Tigre et de l’Euphrate - Les clés du Moyen-Orient. Cependant, il ne faut pas oublier que le bassin du Tigre et de l’Euphrate est situé au cœur du Moyen-Orient, dans une zone très complexe géopolitiquement.

L’eau, cause ou prétexte pour les conflits ? L’exemple du Tigre et de l’Euphrate - Les clés du Moyen-Orient

Cette étude de cas permet donc de se poser la question plus générale du rapport entre eau et conflits. L’eau peut-elle être la cause de conflits entre Etats ou entre groupes à l’intérieur d’un Etat ? Autrement dit, peut-il exister des « guerres de l’eau » ? Ou alors l’eau ne serait-elle pas plutôt un prétexte pour d’autres conflits plus profonds, un simple vecteur, un support pour la diffusion de conflits déjà existants ? Après avoir pointé les limites de l’approche consistant à voir l’eau comme la cause des conflits (I), nous verrons qu’il faut davantage considérer l’eau comme un vecteur voire un prétexte pour des conflits plus profonds, mais qu’elle peut toutefois servir de déclencheur à ces derniers (II). I – Les aménagements du Tigre et de l’Euphrate : source de conflits ?

• Géographie du bassin fluvial • Des antagonismes anciens. Objectif 6: Eau propre et assainissement. La raréfaction de l’eau affecte plus de 40 % de la population mondiale, une proportion inquiétante qui risque de s’aggraver à mesure que les températures augmentent.

Objectif 6: Eau propre et assainissement

Bien que 2,1 milliards de personnes aient maintenant accès à un système d'assainissement amélioré, depuis 1990, la raréfaction de l'eau potable est un problème majeur qui touche tous les continents. De plus en plus de pays connaissent un stress hydrique. La sécheresse croissante et la désertification aggravent déjà ces tendances. D'ici 2050, on prévoit qu'une personne sur quatre sera touché par des pénuries d'eau récurrentes. Faire en sorte d’assurer d’ici 2030 un accès universel et équitable à l’eau potable, à un coût abordable, implique d’investir dans des infrastructures adéquates, de fournir des installations d’assainissement et de promouvoir l’hygiène à tous les niveaux. En 2015, 4,5 milliards de personnes n'avaient pas accès à une source d'eau sûre (les excréments n'étaient pas bien traités). 5,2 Milliards 2.9 milliards.