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Les jeunes et le Net

Facebook Twitter

Pourquoi les internautes partagent des contenus sur Facebook. Une question d’actualité alors que le réseau de Mark Zuckerberg vient d’annoncer le changement de son algorithme afin de favoriser, sur nos “murs”, les commentaires et informations mis en ligne par nos relations numériques. Une étude réalisée par l’agence Fractl apporte des réponses : 48% des personnes interrogées affirment diffuser des contenus sur Facebook pour divertir leurs amis ;17% le font pour s’exprimer sur des sujets qui leur tiennent à coeur ;11% s’adonnent à cette activité pour être utiles ; (CC) Charis Tsevis les femmes sont plus enclines à partager des contenus destinés à émouvoir leurs contacts alors que les hommes ont davantage tendance à vouloir convaincre leurs amis ;18% des membres de Facebook mettent en ligne des messages plusieurs fois chaque jour. Mais ceux qui prennent la parole sur Facebook au moins quatre fois par jour (5% de ses membres) ont 43% plus de chances de rechercher la polémique et 90% moins de chances d’éviter les thématiques politiques.

Cartographie des réseaux sociaux en 2016: 1 mine d'infos @CathCervoni. Lexique usages du numérique par les jeunes. Le Mobile Multimédia 18, EPN mobile parcourant le département du Cher a collaboré à la création du lexique Mes parents, le numérique et moa 2.0 consultable en ligne (voir à la fin de cet article) ou téléchargeable en pdf (7 pages). 3 thématiques développées : pratiques numériques, jeux vidéo, addictologie Il comprend : A propos du lexique Ce travail diffusé par le Conseil Général du Cher a été élaboré dans le cadre d’un Comité Local de Prévention des Addictions et à l’occasion de la journée dédiée aux usages du numérique qui s’est déroulée le 20 septembre 2014 à la Guerche sur L’aubois dans le Cher.

Lexique usages du numérique Licence : Contrat spécifique : merci de prendre contactGéographie : Centre Tags: addiction, education au numerique, EPN, jeu video, lexique, publication. Facebook, Google+ : l’identité numérique. 30octobre2011 Par Arnaud Durand Ca y est! J'ai rejoint l'Italie, pour quelques jours près de Florence, le petit village de Borgo San Lorenzo (comprendre en bon français "bourg saint laurent"). Mon amie qui m'héberge est aussi enseignante en mathématiques, et elle m'a montré un travail que son papa a fait (lui aussi enseignant en Mathématiques) sur les dangers de Facebook ou plus simplement des réseaux sociaux. Le public collégien est particulier, l'adolescence est un passage vers la construction de soi comme une identité rattachée à un groupe. La raison est donc apriori simple, nos chers élèves ont d'abord besoin de s'affirmer dans un groupe et Facebook permet de combler ce besoin d'une manière nouvelle et plus simple.

Il est en quelque sorte, la continuité de la cour de récréation. Oui, Facebook est dangereux, comme l'est MSN ou le sont les forums de sites quelconques. Je pensais, il y a quelques mois, que ces pratiques de recherches d'amis virtuels étaient très marginales. Les adolescents et Internet : en finir avec les idées reçues. Ils s’appellent Zoé, Mathys, Julie ou encore Loïc. Ce sont des adolescents qui n’ont pas connu « le monde sans internet ». Pour cette raison, On dit souvent d’eux qu’ils sont des « digital natives » dotés de capacités innées, inscrites même dans leur développement biologique . On voit en eux aussi souvent des consommateurs passifs du numérique, aliénés aux logiques économiques déployées sur les réseaux. On va même jusqu’à les considérer comme des « mutants », étranges êtres d’une sphère lointaine… et pourtant si proche.

Bref, de Zoé, Mathys, Julie et les autres, on dit beaucoup de choses. La parole aux adolescents Pour le savoir, c’est à eux qu’il faut s’adresser, c’est eux qu’il faut observer, c’est avec eux qu’il faut échanger. Vérités et contre-vérités Écoutons Anastasia, Geoffrey ou encore Marie, nous dire combien ces discours sociaux relayés à grands renforts de formules médiatiques nuisent à la prise en compte de leurs difficultés et de leurs individualités.

Rechercher l’information. Réseaux sociaux. 6 clés pour comprendre comment vivent les ados sur les réseaux sociaux. Dans son livre, la chercheuse danah boyd explore la vie des jeunes sur Internet. Nous lui avons demandé des pistes pour comprendre leur comportement. Après dix années de travail auprès de jeunes Américains, danah boyd, blogueuse sans majuscule, chercheuse chez Microsoft Research et professeure associée à l’université de New York, publie un livre pour éclairer l’usage que les adolescents ont des réseaux sociaux. It’s complicated : the social lives of networked teens (disponible gratuitement en anglais, en attendant une traduction en français) veut expliquer aux parents ce que font concrètement leurs enfants sur Internet, s’attachant à démonter plusieurs fantasmes et à nuancer les risques les plus couramment évoqués (cyberaddiction, perte d’identité, disparition de leur vie privée, harcèlement, mauvaises rencontres).

It’s complicated, du nom d'un statut Facebook, illustre toutes les facettes de cette vie en ligne qu’ont ces adolescents aux yeux rivés sur leur smartphone. 1. 3. 4. 5. 6. Les ados boudent Facebook et Twitter, mais plébiscitent Instagram, Snapchat et Tumblr. Les ados sont une cible particulièrement complexe à appréhender, car extrêmement volatile, donc avec des comportements très durs à décrypter. Une population néanmoins essentielle à étudier pour identifier les prochaines tendances et pouvoir anticiper dans quelle direction le marché va se déplacer. Ceci est d’autant plus vrai avec les médias sociaux, dans la mesure où les moyens mis en oeuvre sont de plus en plus élevés (moyens humains et financiers, budgets publicitaires…), d’où la nécessité d’avoir une longueur d’avance.

Je pense que tout le monde est d’accord avec ça. Le problème est que c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire. Il existe pourtant des études chiffrées comme celle de Global Web Index (Here’s Where Teens Are Going Instead Of Facebook) ou celle plus récemment publiée par Pipper Jaffray (Teens Prefer Twitter to Facebook, But Instagram is Number One). Facebook est selon lui une plateforme sociale « morte pour les ados ». Stromae « Carmen » : Vidéo forte, critique sur des utilisations possibles de réseaux sociaux. C’est sans aucun doute le message le plus fort du moment sur l‘éducation au numérique et la nécessité du recul critique à avoir sur sa propre utilisation des réseaux sociaux. Stromae, auteur-compositeur-interprète, star de la chanson francophone, a mis en ligne le 31 mars 2015 un clip vidéo associé à son dernier simple « Carmen », titre issu de son album « Racine carrée » (2013) ; voir en fin de message.

Carmen en vidéo : vision critique des réseaux sociaux Cette chanson « Carmen » de Stromae n’est donc pas inédite avec des paroles apportant une vision critique évidente de pratiques numériques individuelles et collectives sur les réseaux sociaux. Le clip qui est diffusé en ligne apporte une nouvelle pierre pour réfléchir sur ce qui fait notre vie, nos partages et nos échanges sur les réseaux sociaux numériques au quotidien.

L’oiseau Twitter comme fil conducteur du clip de Stromae Des analogies et un message fort Il se démarque et invite chacun à réfléchir sur ce qui fait notre vie numérique. Vie privée sur Internet : Outils pédagogiques pour sensibiliser les jeunes. À la conquête des réseaux sociaux ! ATTENTION: cette page est désactivée et n'est pas visible par les internautes. Toutefois, vous pouvez la voir car vous êtes connecté à l'intranet de la Fédération Wallonie Bruxelles. ATTENTION: cette page est visible uniquement depuis l'intranet de la Fédération Wallonie Bruxelles.

ATTENTION: cette page n'est normalement plus visible du tout. ATTENTION: cette page n'est plus visible du tout depuis le 31-12-9999 à 00:00. ATTENTION: cette page ne sera visible qu'à partir du 13-07-2015 à 00:00. Dossier rédigé par Nathalie Bolland, Dominique Lucas et Luana De Maggio (Enseignement.be - Octobre 2015). Les réseaux sociaux sont omniprésents dans le quotidien des adultes mais aussi des adolescents et même des enfants. Par ailleurs, détourner les réseaux sociaux à des fins pédagogiques, c’est aussi bénéficier d’outils ayant un fort potentiel collaboratif.

Enfin, l’usage des réseaux sociaux par l’enseignant n’a pas uniquement un impact sur ses apprenants. À la conquête des réseaux sociaux ! Witigo révèle les dangers qui menacent les jeunes enfants sur Internet. 82,5 % des pages Web bloquées concernent les tentatives d’accès aux réseaux sociaux, aux achats en ligne et à la pornographie. L’analyse des pages Web filtrées a permis d’identifier les catégories de contenus inappropriés les plus bloqués et de révéler, que plus de 82 % des pages Internet bloquées par Witigo, concernaient des tentatives d’accès à des sites de réseaux sociaux, d’achats en ligne ainsi qu’à des sites pornographiques. 48% des pages bloquées concernent les réseaux sociaux.

Alors même que les réseaux sociaux sont interdits aux moins de 13 ans, nombreux sont les très jeunes enfants à avoir un compte sur Facebook, Twitter, Pinterest ou Instagram, entre autres. A priori sans risque, ces sites constituent un réel danger pour les enfants les plus crédules et/ou les plus sensibles. Les jeunes peuvent également se servir des réseaux sociaux pour harceler ou moquer les plus faibles d’entre eux. 26% des pages bloquées correspondent à des sites d’achats en ligne. lu : 2175 fois. Hashtag #cyberharcèlement sur Twitter. Théorie du complot, intox ... J'éduque mes élèves à discerner les vraies infos sur le net.

Les jeunes sont les plus exposés aux dangers du net. (Balint Szlanko/AP/SIPA) Apprendre à se repérer sur la toile avec un esprit critique pour devenir des e-citoyens avertis, qui consomment et produisent des informations de manière responsable, sans se faire berner ni manipuler : tel est l’enjeu d’un projet inédit d’éducation aux médias que je viens d’expérimenter auprès d’enfants de 10-11 ans. Des clés indispensables pour naviguer sur le net. Mes élèves se sont donnés à fond dans ce projet Jeudi dernier a eu lieu une cérémonie de remise des diplômes "d’apprenti hoaxbuster". Au cours des huit séances de 1h30, ils se sont tous, sans exception, donnés à fond dans mon projet "info ou intox sur internet, comment faire la différence ?

". Même les vendredis, veille de vacances, ou jour d’éclipse, ils sont restés attentifs et ont vécu intensément cette expérience. Les résultats concluants des évaluations prouvent que l’on peut aborder cette problématique avec des enfants aussi jeunes.