SVT Dijon. Appareil végétatif 1 - Structure du phytomère. Circulation des seves. Circulation des sèves. L’eau & la plante Comment faire circuler du “sang” sans coeur ?
Juin 2003 L’application aux végétaux d’une technique d’étude des vaisseaux sanguins éclaire d’un jour nouveau les mécanismes de la circulation des fluides à l’intérieur des plantes. La circulation des fluides : une nécessité vitale Dès qu’un être vivant dépasse la taille d’un amas de cellules de quelques mm se pose le problème de l’alimentation de ses cellules qui ne sont plus au contact direct du milieu extérieur: les nutriments doivent être apportés et l’élimination des déchets du métabolisme cellulaire assurée. On pourrait penser que le simple mécanisme de la diffusion suffit à réaliser ces échanges entre les cellules situées à l’intérieur de l’organisme et le milieu extérieur. Deux sèves, deux sangs Contrairement aux animaux, les végétaux chlorophylliens sont autotrophes: ils produisent eux même leurs éléments nutritifs à partir du CO2, de l’eau et de l’énergie des photons solaires.
Pr. Références André J.P. Botanique bases14oct10. Fleurs d' Angiospermes. Quelques notions de base pour réaliser un diagramme floral de fleurs d'angiospermes Travail réalisé par Catherine Martin Présents sur Terre depuis la fin du Jurassique, les Angiospermes comprennent 200 000 à 250 000 espèces.
Les Angiospermes se distinguent des Gymnospermes par essentiellement les trois caractères suivants :- Les organes reproducteurs sont groupés en fleurs bisexuées (chez 90 % des Angiospermes, les fleurs sont hermaphrodites).- Les carpelles forment un ovaire entourant complètement l’ovule (d’où le nom Angiosperme, qui provient du mot grec « aggeion » signifiant « petite urne ») et forment un fruit après la fécondation. - Le gamétophyte femelle, situé dans l’ovule et appelé sac embryonnaire, est le siège d’une double fécondation, l’une à l’origine de l’embryon, l’autre formant l’albumen, tissu de réserve des graines. 1.
Quelques rappels sur l’organisation générale d’une fleur.2. Anatomie des angiospermes : la tige. Cambium. Dicotylédone. Plante angiosperme dont la graine possède deux cotylédons, généralement égaux.
Traditionnellement, on divise le groupe des angiospermes en deux classes, les monocotylédones et les dicotylédones. Ces dernières se caractérisent par des feuilles le plus souvent pourvues d'un pétiole et montrant une nervation ramifiée (des nervures parallèles étant caractéristiques des feuilles de monocotylédones). Chez les dicotylédones arborescentes, le tronc peut s'accroître en largeur grâce à la présence d'une assise génératrice (cambium) exceptionnelle chez les monocotylédones. Les études de biologie moléculaire indiquent cependant que les dicotylédones ne forment pas un groupe homogène, à la différence des monocotylédones.
En fait, la présence de deux cotylédons ne constitue pas un caractère fiable pour la classification. Monocotylédones et dicotylédones. Structures et fonctions des parties de la plante. - ppt télécharger. Xylème. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le xylème (du grec xylon, « bois ») ou tissu xylémique, est un constituant des tissus végétaux formé de l'association de vaisseaux, de cellules mortes ou vivantes de soutien et de cellules associées. Les vaisseaux du xylème sont constitués de faisceaux de cellules mortes alignées et entourées de lignine. Ils ont la capacité de transporter de grandes quantités d'eau et de nutriments depuis le sol jusqu'à l'« usine photosynthétique » : les feuilles. Le xylème conduit donc la sève brute (minérale). Le xylème étant composé de cellules mortes, les solutés n'ont pas besoin de franchir de membrane plasmique pour transiter dans la plante, ce qui permet des gains substantiels d'énergie en évitant notamment l'utilisation de pompe ATP dépendante.
Biologie-vegetale. Ce pdf contient: Méthodes de détermination des besoins des végétaux Méthodes synthétique et analytique.
Méristème. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Le méristème est marqué "1". Description[modifier | modifier le code] Un méristème est un groupe de cellules végétales indifférenciées qui ont la capacité de se diviser par mitose un nombre indéfini de fois. Les cellules du méristème sont aussi appelées "initiales"[1]. Méristèmes et développement[modifier | modifier le code] Mousses et ptéridophytes[modifier | modifier le code] Les mousses et les ptéridophytes (les fougères entre autres), possèdent une cellule apicale unique de forme tétraédrique présentant donc quatre faces.
Gymnospermes[modifier | modifier le code] Angiospermes[modifier | modifier le code] Les plantes à fleurs possèdent des méristèmes similaires à ceux des gymnospermes, mais avec une couche intermédiaire (L2) entre la couche externe (L1) et la couche interne (L3) dont les cellules ont une division majoritairement anticline. Histogenèse et organogenèse[modifier | modifier le code] On peut distinguer de manière générale :