SITES WEB OU CONTENUS DE REFERENCE. Les comportements additifs liés à l'usage du numérique. SITES WEB OU CONTENUS DE REFERENCE. Flux. News. Flux. Accro au numérique ? Les nouvelles addictions... - La gazette de Danièle : "Des idées et des Arts...". Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ? Michael Stora : Cela ne se traduit pas tant en terme d’heures passées sur les nouvelles technologies qu’en termes de rupture des liens sociaux réels. L’addiction se manifeste par un décrochage de la vie sociale : refus de participer à des repas de famille, moins de sorties en couple, abandon de ses responsabilités de parent...
Pour les enfants cela commence par l’absence de présence au repas du soir et cela peut aller jusqu’à la déscolarisation. Les nouvelles technologies mettent la vie sociale au second plan petit à petit. Il faut faire le distinguo entre les moments excessifs et l’addiction. Dan Véléa : La « e-dépendance » et le concept de cyberdépendance sont apparus vers le milieu des années 1990. Les premiers écrits sont nord-américains, Ivan Goldberg, suivi en 1996 par mes écrits français.
Michael Stora : Cyberdépendance(s) - Tous addicts ? Les opinions et vues exposées dans les articles lecteurs ne reflètent pas forcément celles de la rédaction de Gameblog. C'est en lisant une news en une de Gameblog intitulée "Accro à Internet ? Vous pouvez désormais vous faire soigner" (03/09/13) que je me suis souvenu avoir écrit un article traitant de la cyberdépendance. Hors du champ strict des JV, je me permets malgré tout de le publier ici. Bonne lecture ! Selon une évaluation datant du mois d'août 2012, plus de 2,5 milliards de personnes à travers le monde sont connectées à Internet. En 2007, ce chiffre s'élevait à 1,25 milliard. L'accès à l'outil informatique se démocratisant en même temps que les modalité d'accès au réseau des réseaux, le nombre de personnes connectées va en grandissant de manière exponentielle. En prenant en compte le fait que plusieurs personnes partagent une même connexion, nous pouvons aisément conclure qu'une majeure partie de nos concitoyens surfe sur internet de manière plus ou moins régulière.
Conclusion 1. Qui sera responsable des « maladies de la connexion » Que devons-nous apprendre des anxiétés, des obsessions, des phobies, du stress lié à notre connexion ? C’est la question que pose le designer Fabien Girardin sur le blog du Near Future Laboratory, ce studio de conseil et de design-fiction. A l’heure où nous sommes de plus en plus cernés et saturés par les notifications sociales en temps réel, la connexion permanente livre sa face noire. Vivre dans le village global conduit les plus connectés à éprouver de nouvelles anxiétés, de nouvelles obsessions, de nouvelles phobies et de nouvelles formes de stress, qui sont le symptôme des effets négatifs liés à la manière dont on conçoit les technologies.
Image : Affiche promotionnelle : « les médias sociaux vous font vous sentir comme un gros tas de linge sale en désordre ? Humans est un remède robuste pour vous aider à dépasser les mauvais effets de la surcharge des médias sociaux ». Comment améliorer la conception des médias sociaux ? Vers une nouvelle « hygiène des données » On en est loin ! Cyberdependance.ca - Quand l'utilisation d'Internet devient un problème. L’addiction numérique, un mal croissant chez les jeunes. A Singapour, comme dans un nombre grandissant de pays, des psychiatres militent pour que l'addiction aux smartphones soit reconnue comme un trouble psychologique. Avec la Corée du Sud, la Chine et Taïwan, la cité-Etat est l'un des pays d'Asie les plus concernés par ce phénomène.
L’addiction au smartphone, un trouble psy ? Singapour et Hong Kong détiennent d’ailleurs le record régional du plus grand nombre d'utilisateurs de smartphones par habitant, selon un rapport publié l'an dernier par le cabinet d'étude Nielsen. 87% des 5,4 millions de Singapouriens sont ainsi munis d'un téléphone multifonctions, contre 65% aux Etats-Unis. Ils passent en moyenne 38 minutes par session sur Facebook, soit presque deux fois plus que les Américains, selon la société Experian.En France, les dernières études menées établissent à 40 % le pourcentage de Français qui utilisent l'internet mobile, c'est-à-dire depuis leurs smartphones et tablettes*. Les ravages du text-neck Les symptômes de l’addiction numérique. Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?
1. Les addictions numériques : Internet et les jeux vidéo La formule de M. Guy Almes selon laquelle il y a trois formes de mort : « la mort cardiaque, la mort cérébrale et la déconnexion du réseau »52(*) est particulièrement vérifiée chez les adolescents. Pour un certain nombre d'entre eux, la navigation sur Internet ou les jeux (notamment en ligne) sont devenus une drogue dont ils ne peuvent plus se passer. Si selon les psychanalystes, aucune technologie ne porte en elle-même d'effet addictogène, l'addiction ne pouvant être générée que par une pratique particulière de l'objet en cause, liée à d'autres facteurs complexes (situation du sujet, environnement familial, contexte social...), la cyberdépendance semble prendre de l'importance. 6 à 8 % des internautes seraient ainsi dans l'usage excessif ou dépendant du réseau informatique.
Les raisons de cette addiction ne sont pas forcément bien décryptées. Selon M. . * 52 « There is three kinds of death in this world. VIDEO. «L’addiction au numérique se mesure à la perte de liberté» SANTE A l'occasion de la sortie du MOOC de l'université de Nantes sur l'addiction numérique, Didier Acier, professeur de psychologie clinique fait le point sur ce phénomène...
Propos recueillis par Delphine Bancaud Publié le Mis à jour le Un phénomène de société qui est devenu un sujet d’étude. C’est ce lundi que l’université de Nantes lance un Mooc sur l’addiction au numérique. L’occasion pour 20 minutes de faire le point sur ce fléau avec Didier Acier, professeur de psychologie clinique à l’université de Nantes. Qu’entend-on par addiction au numérique? Beaucoup de Français ont un usage excessif des nouvelles technologies et peuvent passer une trentaine d’heures sur les écrans. Quelle est l’ampleur du phénomène en France? Il reste rare, puisqu’il concerne 2% de la population française, mais il risque fort de progresser dans les années à venir avec la multiplication des objets connectés. Qui en sont les principales victimes? Les «digital natives». Comment savoir si l’on est cyberdépendant?
:. La Cyberdépendance, cyberaddiction, Net addiction: une addiction aux effets néfastes? .: