Brisons le silence sur ce qui se passe en Espagne. Sous couvert de l’inattaquable excuse de la sécurité, le gouvernement de Mariano Rajoy considère préventivement le manifestant comme dangereux.
Il est ainsi automatiquement regardé comme une menace à la loi grâce au nouveau projet législatif de « Sécurité citoyenne » adopté par le conseil des ministres le 29 novembre dernier. Des policiers arrêtent des manifestants lors d’un défilé contre la réforme du droit à l’avortement, le 20 décembre 2013 à Madrid - Andres Kudacki/AP/SIPA Metteur en scène et dramaturge, Astrid Menasanch Tobieson travaille entre la Suède et l’Espagne.
La sexualité expliquée par TomSka dans une vidéo géniale. TomSka, célèbre youtubeur, a décidé de faire une vidéo claire et décomplexante sur la sexualité.
Et c’est plutôt très réussi ! Le très célèbre youtuber TomSka, papa des vidéos Meanwhile qui ont inspiré Pendant ce temps, est revenu ce week-end avec une nouvelle vidéo. Une vidéo sur un sujet qui concerne beaucoup d’entre nous : le sexe. TomSka a décidé de passer en revue le plus de sujets relatifs à la sexualité possible, avec beaucoup d’énergie, un débit de paroles incroyable et, surtout, une évidente ouverture d’esprit. Critique de l'anti-politiquement correct. L’expression « politiquement correct » s’emploie généralement comme quolibet mis au service d’arguments réactionnaires pour disqualifier toute thèse adverse.
Presque personne ne se dit « politiquement correct » : pour les racistes, les sexistes, les homophobes, le politiquement correct c’est toujours cette prétendue « chape de plomb », cette idéologie écrasante qui serait brutalement et arbitrairement imposée par les tristes sires qui défendent l’égalité, combattent les injustices et n’aiment pas les discriminations. L’expression permet de présenter la défense de l’ordre sous les traits de la subversion. Cher connard cynique... - une-sourde.over-blog.com.
Je voudrais vous parler d'un article que j'ai lu l'autre jour et qui se moquait des handicapés sous couvert "d'humour".
Il me paraît important d'expliquer à certains la différence majeure qu'il y a entre "faire de l'humour pour mieux comprendre le quotidien d'un groupe de personnes donné et susciter de l'empathie à son égard" et "se foutre carrément de la gueule des gens pour épater la galerie". Desproges et Coluche : stop à l’instrumentalisation de l’humour noir et du second degré. Source INA J’aimais beaucoup Coluche et Desproges.
Ces humoristes étaient des individus intelligents, créatifs, mordants, sensibles et talentueux, à bien des niveaux. Comme beaucoup de monde, j’ai tous les textes de Desproges sous la main. Y compris son roman (« Des femmes qui tombent »). Raphaël Enthoven disserte sur le politiquement incorrect. Enthoven ne disserte pas sur le politiquement correct, mais sur sa perception du politiquement correct, en tant que politiquement correct lui-même.
Du coup, sa définition du phénomène se situe hors de toute réalité : « - Le politiquement incorrect, c’est en général, un compliment qu’on se fait à soi-même, sur le ton d’une confession douloureuse : "Oui, c’est vrai, je suis politiquement incorrect, que voulez-vous, c’est plus fort que moi, je ne peux pas suivre la même route que les braves gens. Autopsie du politiquement incorrect. Dans mon précédent billet, j'ai essayé de montrer qu'il existait une "culture troll", c'est-à-dire une façon relativement routinisée de réagir au problème du troll.
Le point clef me semble être une certaine tolérance au troll, dans le sens où ceux-ci sont assez systématiquement minimisés au point que la faute devient moins le trollage proprement dit que l'indignation face à ceux-ci, voire le simple fait de se sentir blessé.e. Le problème réside surtout dans le fait que cela vient valider la représentation du monde qui est celle des trolls. Dans le présent billet, je vais essayer de me plonger dans certaines productions de la culture troll, pour essayer de montrer ce qu'elle en vient à produire. Lettre d'une pigiste perdue dans l'enfer syrien. Ce texte sur son expérience syrienne a été publié le 1er juillet 2013, sur le site de la 'Columbia Journalism Review', par Francesca Borri, journaliste indépendante italienne, par ailleurs auteur d'un livre sur le Kosovo et d'un autre sur les rapports entre Israéliens et Palestiniens intitulé 'Quelqu'un avec qui parler' (Manifestolibri, 2010).
Il a suscité de très nombreuses réactions, auxquelles Francesca Borri a elle-même répondu sur le site du 'Guardian'. Il nous a semblé qu'il méritait d'être traduit en français. Il m’a finalement écrit. Politiquement incorrect. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le vote puis la promulgation du mariage pour tous n’a pas calmé les opposants.
Tandis que les élus les plus raisonnables avouent qu’un retour en arrière est impossible et que la droite ne “démariera” personne lorsqu’elle sera au pouvoir, certains militants s’enfoncent de plus en plus dans le délire – jusqu’à la grève de la faim . Leurs nouveaux modèles : Gandhi et Jean Moulin ; leurs slogans : “on lâche rien” ou des parodies honteuses du Chant des Partisans . Racolage, complaisance, désinformation… C’est vraiment ce journalisme-là que vous voulez ?