La politique énergétique allemande crée surtout de la pauvreté. La politique énergétique allemande pénalise les plus démunis, tout en s'avérant une piètre solution pour le changement climatique. Le 24 février, le gouvernement allemand a reconnu que 6,9 millions de ménages vivent en dessous du seuil de précarité énergétique - seuil déterminé par un taux d'effort des dépenses en énergie supérieur à 10% des revenus d'un ménage. Ces faits sont largement dus à l'Energiewende, la transition énergétique du pays du nucléaire vers les énergies renouvelables (EnR). Une subvention d'un montant astronomique à l'énergie verte, payée par les consommateurs Si les faits n'étaient pas aussi tragiques, on aurait presque pu qualifier d'humoristique la déclaration d'une parlementaire verte selon laquelle "les énergies fossiles sont devenus un piège de la pauvreté". Une redistribution à l'envers: plus pour les riches, moins pour les pauvres Le prix de l'électricité domestique en Allemagne L'innovation découragée Le climat n'est pas mieux protégé Investir dans la R&D verte.
Allemagne : Berlin paie très cher l'abandon du nucléaire. "Le photovoltaïque, c'est pas si fantastique" > Solaire. L’Allemagne est le pays qui produit le plus d’électricité avec des énergies renouvelables. Faut-il pour autant chercher l’avenir de la production d’électricité du côté des énergies renouvelables ? Auteur pour ARTE Future, Ozzie Zehner émet des doutes quant à l’énergie solaire et invite à repenser la question. « Il était une fois un homme, moi, qui croyait aux vertus magiques des cellules photovoltaïques. » J'ai donc créé une agence d’architecture écologique dans un quartier historique de Washington DC.
Mon premier client ? Un diplomate désireux de vivre dans une maison solaire passive. Le bâtiment - une maison centenaire - appartenait déjà à mon client. Un coût résolument élevé Si vous lisez n’importe quelle plaquette d’information récente sur les cellules photovoltaïques, vous aurez probablement l’impression que le tarif de cette technologie est en chute vertigineuse depuis des années. Alors, pourquoi cette soi-disant baisse ? Un ramassis de saletés Les questions qu'on ne pose pas. Historical Energy Production Statistics | The Shift Project Data Portal. Story: Long term perspective on energy supply is always an appreciated chart ... but original data in a digital format used to be a scarce resource ! Based on the outstanding work from Bouda Etemad and Jean Luciani who synthetized historical energy statistics, Olivier Rech and Aurélie Heyriès had already started to digitalise fossil fuels production data when I joined TSP in 2010.
I continued digitalising data concerning peat, nuclear, hydro and geothermal electricity. I completed the data with US EIA for recent years and merged energy taxonomies and country lists. Data Sources: - Etemad & Luciani for the period 1900-1980 Bouda Etemad and Jean Luciani, World Energy Production 1800 – 1985, ISBN 2-600-56007-6, Data digitalized and published with agreement of B. . - US EIA Historical Statistics for 1981-2010 U.S. Statistical conventions, Primary Energy: This graph represents production for primary energy. All data is loaded in Energy unit Mtoe (Million tons of oil equivalent) Le nucléaire aurait empêché la mort de 1,84 million de personnes. NUCLÉAIRE - Depuis la catastrophe de Fukushima en mars 2011, les gouvernements se sont tous posés la question des risques liés à l'énergie nucléaire.
Deux chercheurs ont voulu prendre le problème dans l'autre sens: l'atome sauve-t-il des vies? Et l'étude publiée par la revue scientifique Environmental Science & Technology et repérée par C&EN mardi 2 avril, semble édifiante. D'autant qu'elle émane de sources crédibles et indépendantes de tout lobby du nucléaire. L'utilisation de l'énergie nucléaire a permis de sauver 1,84 million de vies, de 1971 à 2009. Comment Pushker Kharecha, chercheur à la Nasa, et James Hansen, ancien chercheur de la Nasa et l'un des premiers à avoir médiatisé la lutte contre le réchauffement climatique, sont arrivés à ce chiffre? Le nucléaire n'a tué que 4900 personnes, selon l'étude Les deux scientifiques ont combiné plusieurs données. Il fallait ensuite soustraire à ce chiffre le nombre de décès dont l'énergie nucléaire civile est responsable. Les effets pervers de la transition énergétique en Allemagne. LE MONDE | • Mis à jour le | Cécile Boutelet Berlin, correspondance.
"Médiocre. " C'est la note sans appel attribuée par les industriels allemands à la chancelière Angela Merkel pour sa gestion de la transition énergétique, selon un sondage mené par l'Institut économique de Cologne IW, publié mi-août. Lire aussi Le gouvernement prépare une nouvelle version de la taxe carbone Si elle n'était pas formulée par ses amis politiques, cette ferme condamnation aurait pu coûter cher politiquement à la candidate chrétienne-démocrate.
Car, avec l'accélération de la transition énergétique, deux ans après l'annonce surprise de la sortie anticipée du nucléaire en 2011, le bilan est peu reluisant. Ni les industriels, ni les consommateurs, ni l'environnement n'en profitent pour l'instant. Cette transition énergétique se traduit en effet par une série d'effets pervers. L'explosion du photovoltaïque et de l'éolien a considérablement augmenté la facture dédiée aux énergies renouvelables.
Accueil. Documentation > Divers énergie > Energie - bric à brac > Vers quoi l'Allemagne transitionne-t-elle exactement ? Vers quoi les allemands transitionnent-ils exactement ? Création : mai 2013 - dernière modification : aout 2013 site de l'auteur : www.manicore.com - contacter l'auteur : jean-marc@manicore.com 300 milliards d'euros, soit plus que le cout de reconstruction à neuf du parc nucléaire français, c'est ce que l'Allemagne a investi depuis 1996 pour augmenter de 18% la fraction renouvelable de son électricité (passée de 4% à 22%).
A ce prix là elle n'a cependant pas diminué la facture de ses importations d'énergie, pas diminué ses émissions de CO2, toujours supérieures de 80% par habitant à ce qu'elles sont pour la France, fragilisé son réseau électrique (qu'il ne faut pas supprimer quand on "décentralise" la production, tout le contraire), et il se discute que cela ait permis de créer des champions industriels pérennes et des jobs à gogo. D'où viennent les électrons allemands ? « Les pollutions engendrées par l’industrie minière représentent un danger pour les décennies à venir » Basta ! : Un permis d’exploration a été accordé à une société australienne, dans la Sarthe, en juin dernier (lire l’article de Basta !). Comment expliquez-vous ce regain d’intérêts pour les ressources minières, en France ? William Sacher [1] : Nous assistons aujourd’hui à une nouvelle ruée vers les « ressources » du sous-sol en Europe. Mais il faut comprendre que la notion de « gisement » est dynamique, et possède certes une dimension géologique, mais aussi technologique, économique, politique, sociale et culturelle tout aussi importantes.
Vous expliquez qu’il y a aussi des dimensions culturelle et géopolitique qui entrent en jeu. Oui. Même si les coûts de production sont moins élevés au sud, les entreprises cherchent aujourd’hui à investir au Nord. L’augmentation de la demande en minerais explique donc en grande partie cette ruée vers l’or. La croissance à deux chiffres de la Chine entraîne en effet une hausse de la demande en minerais et tous types de matières premières. Renewable Energy's Hidden Costs. Because electricity and heat account for 41 percent of global carbon dioxide emissions, curbing climate change will require satisfying much of that demand with renewables rather than fossil fuels.
But solar and wind come with their own up-front carbon costs. Photovoltaics require much more aluminum—for panel frames and other uses—than other technologies do, according to a 2011 study at Leiden University in the Netherlands. Alloys for wind turbines demand lots of nickel. Those metals are carbon culprits because they are produced in large amounts by high-energy extracting and refining processes. The demand for metals, and their already significant carbon footprint, may grow with a switch to green energy.
Given all the resources needed for new infrastructure, an analysis last year found that large solar installations take one to seven years to “break even” with coal power on the greenhouse scorecard. Réduction du nucléaire : effets pervers et coûts cachés, la vraie facture. Atlantico : Anne Lauvergeon, ex-patronne d’Areva, a déclaré que l'objectif de réduction de la part de nucléaire dans la production d’électricité à 50 % à l'horizon 2025 de François Hollande était irréalisable. Quelle est aujourd’hui la part du nucléaire dans la production et l’utilisation énergétique en France ? Avons-nous la capacité d’en sortir et dans quels délais ? Bertrand Barré : En France, aujourd'hui, les 58 réacteurs nucléaires d'EDF fournissent entre 75 et 78 % de l'électricité, soit un peu plus de 40 % de l'énergie "primaire" consommée.
Peut-on réduire la part du nucléaire à 50 % à l'horizon 2025 ? Il faudrait déjà savoir qu'elle sera la consommation française à cet horizon ! Quelle sera, par exemple, la part des véhicules électriques dans 12 ou 15 ans ? Si l'on suppose une consommation peu différente de celle d'aujourd'hui, ce sont 140 milliards de kilowattheures nucléaires qu'il faudra remplacer chaque année par un mélange d'énergies fossiles et renouvelables.