Données privées : Ce que les géants de la tech savent sur nous en infographie. La vie privée des données. Pour les organisation : Respecter le règlement européen de protection des données (Sur Cnil.fr) Exemple de page sur les "Données personnelles" (Cnil.fr) Le site de la CNIL s’appuie sur certains services proposés par des sites tiers. Facebook pointe du doigt Twitter et Google : « eux aussi collectent vos données » Dans une publication de blog, Facebook tient à rappeler que son réseau social n'est pas le seul à collecter des données au sujet des internautes.
Le site pointe ainsi du doigt Twitter, Google, Amazon ou Pinterest. Il y a quelques jours, Mark Zuckerberg prenait la parole face au Congrès américain. Les condition de Microsoft pour les contenus (voir partie "contenus") Google peut tout lire et conserver (extrait des CGU) Conditions Google au sujet du droit de propriété des données et du droit d'auteur. Un bug rappelle que Google espionne les Google Docs. Le site internet des impôts offre à Google des données de millions de Français. Oui, Facebook collecte vos données même si vous n'avez pas de compte. En plein scandale Cambridge Analytica, le doute planait : Facebook collecte-t-il des données personnelles, quand bien même l'internaute est déconnecté ?
Voire pire, si l'internaute n'a pas de compte sur le réseau social ? La réponse est oui. "Lorsque vous visitez un site ou une application qui utilise nos services, nous recevons des informations même si vous êtes déconnecté ou n'avez pas de compte Facebook", affirme sans détour David Baser, responsable produit du groupe, dans une note de blog publiée lundi. ■ Comment Facebook récupère les données ?
Concrètement, le fleuron de la Silicon Valley "récupère des données grâce à d'autres sites internet ou applications" utilisant l'un de ses nombreux "outils" marketing. (article) La justice européenne défend le droit à l'oubli numérique face à Google. La Cour de justice européenne a débouté Google mardi dans une affaire de droit à l'oubli numérique, estimant que les moteurs de recherche sont responsables du traitement des données personnelles qui apparaissent sur leurs pages internet et ont le devoir, dans certains cas, de les supprimer.
(article) Première condamnation française de Google sur le fondement du droit à l’oubli numérique. De par son dispositif, cette décision constitue une avancée majeure en matière de droit de l’internet et des nouvelles technologies ; à notre connaissance, aucune juridiction française ne s’était encore fondée sur la notion de « temps écoulé » pour faire droit à une demande de déréférencement. 1) En substance, les faits étaient les suivants : Au cours du mois de mai 2014, Madame X avait constaté que la formulation d’une requête portant sur son nom dans le moteur de recherche de Google faisait ressortir, en première position de la première page de résultats, un lien renvoyant vers un article du journal Le Parisien publié en avril 2006.
Cet article était entièrement consacré à la condamnation pénale de Madame X pour escroquerie, laquelle avait été condamnée en avril 2006 par le Tribunal correctionnel de Beauvais à une peine d’emprisonnement de trois ans dont deux ans et neuf mois avec sursis. Madame X décidait alors d’assigner la société Google France. Seul l’avenir nous le dira. Cette extension de la Cnil vérifie si votre droit à l'oubli a bien été appliqué - Politique. Pour vérifier si votre droit au déréférencement est bien respecté, la Cnil vous propose une extension pour navigateur qui permet de s'en assurer.
C’est la conséquence d’un arrêt rendu par la Cour de justice de l’Union européenne il y a trois ans. Depuis ce verdict décisif, Google doit tenir compte des demandes de tout internaute en Europe qui voudrait bénéficier du droit au déréférencement — en somme, un droit à l’oubli –, ce qui a concrètement pour effet de masquer, dans les résultats du moteur de recherche, les liens qui le concernent. Au-delà des problématiques que cette décision et son application concrète soulèvent (quelle portée pour ce droit nouveau ?)
, il faut savoir que toutes les requêtes qui sont soumises à l’attention de Google ne sont pas automatiquement validées. Les boutons on/off pour sa vie privée (site de l'Inpes exemple) ↓ 1st click: activate button ↓ 2nd click: like More and more websites use like-buttons from Facebook, Google+ and Twitter.
However, these buttons send information to these social networks even if the user doesn't click them, but even if they are just present on a webpage. This way these networks are able to track which websites users are visiting and are able to build fairly complete browser histories of their users. Because this is neither what a user might expect nor what many website operators that embed like-buttons want, this alternative way of using these social services was developed. The concept is fairly easy.
The first click basically means that the user agrees that information is sent to the social network in question. If users don't care about their privacy and rather want the like-buttons to be always enabled they can do so in the settings menu, accessed via the gear icon.