Définition de l'art urbain I. Définition de l'art urbain II. La ville comme inspiration D'abord, l'art urbain se distingue de l'art officiel, car les membres de ce mouvement ne demandent pas d'autorisation lorsqu'ils s'approprient la ville.
Pour eux, c'est un territoire vierge où ils trouvent de l'inspiration pour créer. Cette énergie créatrice parcourt le monde entier. Berlin en Allemagne, Melbourne en Australie et São Paulo au Brésil, sont les trois observatoires principaux où l'on peut voir des œuvres incroyables. L'union fait la force Souvent, ces artistes se réunissent en collectifs, car ils partagent le même but et le même état d'esprit. Histoire du street art. Dès 1960, en France, on le compare à une forme d’art, ce qui s’avère être plutôt singulier à l’époque.
Même si les critiques sont mitigées, l’art du graffiti était né, au grand plaisir des artistes qui s’adonnaient à cette pratique. Vers la fin des années 1960, on retrouve une valeur très intellectuelle et songée au sein des graffiti conventionnels, inspirés par la politique pour la plupart. Teintés parfois d’humour, parfois de poésie, on dépeint des slogans accrocheurs et sympathiques, souvent à double sens. Ces graffiti sont peints au rouleau ou au pinceau en règle générale, bien que certains artistes faisaient usage d’aérosols. Histoire du street art II. Histoire du Street art français. Définition et origine : Graffiti, au singulier graffito, vient du mot italien graffiare : griffer ; lui même dérivé du latin graphium : éraflure.
Depuis toujours les murs ont eu la parole. On trouve donc des graffitis dans les grottes préhistoriques ; dans l’empire romain, la Grèce antique, sur les façades des églises et des châteaux, dans les prisons, sur les rochers etc….Les graffitis ont des le début servis à s’exprimer, à louer ou à dénoncer et c’est toujours le cas. A Pompéi on a retrouvé une caricature d homme politique ( voir diaporama) .Au XVIIIe siècle voleurs et mendiants dessinent ou gravent, avec une écriture codée, sur les portes des maisons pour indiquer à celui qui connait le code ce qu' il trouvera dans la maison .
De nos jours il faut faire la différence entre le tag qui se résume à une signature et le graffiti qui est un dessin avec signature ou autour d une signature. Définition : mouvement Street Art. Tout art de la rue qui n'est pas du graffiti Le Street art est un art strictement visuel développé dans les espaces publics (ou en d'autres mots, « dans les rues »).
Le terme fait référence habituellement à l'art non-autorisé, non-conforme aux initiatives sponsorisées par un gouvernement. Histoire moderne du graffiti. Ayant ponctué sporadiquement l’univers de diverses civilisations, ce n’est cependant qu’au 20e siècle qu’il devient un art esthétique estimé du monde artistique mais aussi des amateurs qui cherchent à se procurer certaines de ces oeuvres très particulières.
Ainsi, l’art du graffiti a prit son essor dans les années 1900 et plus particulièrement vers 1942, durant la seconde guerre Mondiale. C’est à cette époque qu’on associe véritablement un nom au graffiti. Ce nom est Kilroy. Il s’agit d’un homme qui aurait travaillé dans une industrie qui fabriquait des bombes à Détroit, au Michigan. Chaque fois que l’homme vérifiait un item, il y inscrivait en grosses lettres « Kilroy was here » (Kilroy était ici). Le street art intègre l’art contemporain. [La première partie de cet article introduisait à la discipline du street art, à travers l’oeuvre de Banksy] Depuis une dizaine d’années le street art a intégré les galeries d’art, musées, et collections d’amateurs d’art.
Mais comment une pratique qui a pris sa source dans la rue, en opposition avec les circuits classiques de l’art, a-t-elle aussi rapidement acquis le statut d’art contemporain? Petite histoire de ce mouvement artistique. Défense d'afficher. Street art : de la rue à la reconnaissance institutionnelle ? Le Street art, à l'heure de son institutionnalisation. Le tournant du Street art. Chaque époque a son art contestataire.
En ce début de siècle, l’innovation artistique s’en est prise à la dernière barrière, semblait-il infranchissable, qui sépare le peuple de l’art : l’art est descendu dans la rue. source : banksy-art.com Le constat existe depuis de nombreuses années : les musées, temples sacrés de l’art, n’attirent pas les foules. La nouvelle génération d’artistes s’en est donc prise à ce symbole même et s’est attelée, par là même, à détruire l’idée du plafond de verre qui persiste dans le domaine culturel. Désormais, il n’est plus besoin de se déplacer pour voir de l’art. Le street art envahit les musées. Quand on vous dit street art à quoi pensez-vous en premier ?
« Des couleurs, de l’espace. La rue comme toile, pas de limites et pas de codes. » Ces mots qui reviennent dans la bouche des artistes ont porté l’art à son apogée. Mais tout change, depuis 2009 le monde du street art n’est plus marginal. Il entre dans les sphères sélectes, il s’invite dans les discussions des riches parisiens, des plasticiens et dans les musées. Le Street-art est mort, place à l'art urbain contemporain ! Art contemporain | Exposé sur les cimaises des galeries et légitimé par les ventes aux enchères, le Street-art comme démarche artistique illégale semble révolue.
Internet et les réseaux sociaux d'une part, la reconnaissance du marché de l'art d'autre part, ont ainsi profondément modifié la façon d'approcher ces oeuvres de rue qui questionnent l'individu au sein du territoire urbain. Ce phénomène fait l'objet de nombreuses remises en question, à commencer par la définition même du Street-art. A l'origine, la rue Les années 1950 voient naître une nouvelle réalité, des artistes se saisissent de la rue comme d'un atelier. Réunis autour de l'idée du « Recyclage poétique du réel urbain » théorisé par Pierre Restany, ils intègrent des éléments de l'environnement urbain et industriel dans leurs oeuvres.
Street Art, entre instrumentalisation et conformisme. Qu'il semble bien loin le temps où graffeurs et tagueurs oeuvraient dans la clandestinité, que d'aucuns taxaient volontiers de vandales !
Le street art s'est fait un nom et mieux, il est aujourd'hui de plus en plus courtisé, que ce soit par les marques, les galeries d'art et même les collectivités publiques. Au-delà des débats sur le beau, il réinterroge la place et le rôle de l'artiste dans l'espace public et dans le processus de fabrique de la ville. L'invasion polémique d'un nouvel art de rue populaire Toutes les métropoles françaises et internationales qui se veulent dynamiques - de Marseille à Berlin en passant par Johannesburg, São Paulo, Nice, Amsterdam, Djerba, Baltimore, Valparaiso, Nantes, Jérusalem et tant d'autres - se parent des oeuvres colorées des nouveaux messagers des temps modernes. Le street art, un succès planétaire. Star de la Nuit Blanche 2014, le street art a gagné en respectabilité et intéresse désormais les institutions comme les collectionneurs.
La discipline serait-elle en passe de devenir un art comme les autres ? Aucun risque. C'est un morceau de ville en friche, à l'angle du quai d'Austerlitz et de la rue Fulton ; une dent creuse dans ce secteur populaire du 13e arrondissement, quartier en pleine réinvention. Jusqu'à l'an dernier se dressait là un petit immeuble assez hideux, coiffant de son béton fatigué une station-service décatie... Et puis, en octobre 2013, l'ancienne résidence de cheminots en attente de démolition (1) est devenue l'oeuvre d'art la plus visible, la plus courue de tout Paris. Initiative d'une ville : le street art pour panser les plaies de Malaga. Le street art pour panser les plaies d'un quartier longtemps à l'abandon : c'est le parti pris par la ville de Malaga, sur la côte Sud de l'Espagne, au moment où ce mouvement artistique gagne ses lettres de noblesse.
Durée: 02:17 Copyright © 2014 AFP. Tous droits de reproduction et de représentation réservés. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos) sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. The Street Museum of Art / Le musée dans la rue. November 12, 2014 | By Marta Knas Reinventing the idea of art exhibition, The Street Museum of Art represents public art movement in its most original context. Bringing the institution of a museum out to the streets, there is a new generation of urban artist emerging who let art gallery qualities and guerilla strategies fuse in front of our eyes. We speak to the Museum to explore the transformation of art performance where cities are stage. Street art » Le street art sur le web. Cette cartographie du web a été réalisée à partir d’une sélection de 80 sites correspondant à tous les acteurs de notre controverse : artistes, musées, galeries réelles et virtuelles, blogs d’amateurs, institutions publiques… La cartographie permet de visualiser les sites les plus importants en fonction des liens entrants vers ces sites.
Les clusters sont représentés par des amas de points et mettent en évidence des réseaux denses de sites internet. A première vue, cette cartographie confirme ce que nous avons constaté par notre enquête : si on peut penser que le monde du street art est uni à priori, il n’est en fait pas si homogène. Le réseau sur la toile est effectivement diffus. Nous pouvons faire de cette cartographie 4 observations majeures:
Le Street Art : Des années 70's au web 2.0. De l’incontournable Banksy à la tour Paris 13, le street art est plus que jamais l’objet de toute les attentions. Que ce soit dans des opérations de Brand Content, de merchandising produit ou de spots TV, les cultures urbaines ont le vent en poupe. Pourtant cela n’a pas toujours été le cas, et le terme même de culture urbaine à longtemps été associé aux produits de ceux que «les médias traditionnels ont toujours refusés d’écouter et d’entendre». Un art qui baigne dans le numérique et la culture geek.
Street art et Web en étroite connexion. «Tag Clouds», à Rennes. L’artiste Mathieu Tremblin joue de l’analogie entre tags physiques et virtuels. © Mathieu tremblin. L’artiste urbain parisien Invader est sans doute l’un des premiers à avoir extrait un élément de jeu vidéo pour le disséminer dans l’espace public. Ses petits vaisseaux carrelés à l’effigie du mythique jeu vidéo Space Invaders (1978) prolifèrent aux angles des rues, sous les ponts et sur les trottoirs, de Paris à New York, de Katmandou à São Paulo. Le 20 août 2012, il a même envoyé l’une de ses créatures en mosaïque dans la stratosphère, accrochée à un ballon. «Tout mon programme se résume dans ces deux mots : envahisseurs de l’espace ou d’espace», expliquait à Libération l’artiste né en 1969, qui se revendique «enfant du computer» plutôt que de la télévision. La jeune génération baigne, elle, depuis toujours dans la marmite technologique et le Web est sa deuxième maison. Le web fusionne avec le street art.
Exposition : #StreetArt, l'innovation au coeur d'un mouvement. Le street art prend vie dans les GIFs d'ABVH. Depuis pas mal de temps déjà, ABVH apporte sa touche toute personnelle au street art en les imaginant, un peu comme des installations muséales, en perpétuel mouvement. Après s'être entre autres fait remarquer en s'attaquant à la superstar du street art Banksy, l'artiste numérique a récemment dévoilé ses dernières créations. Levalet On y retrouve notamment le nom d'un petit français, Levalet, à qui Fluctuat avait consacré un portrait l'an dernier. Et comme toujours, le résultat réussit à être poétique sans dénaturer aucunement l'esprit de l'oeuvre originale. Whoam Irony. Quand le street art s’anime en GIF. Photobombing 2.0 : il transforme des clichés Instagram en oeuvre street art. L'index replié, un géant dégarni s'apprête à propulser dans le vide un randonneur juché sur un piton rocheux.
Dans sa série "Photo invasion", l'artiste brésilien installlé à Londres, Lucas Levitan, verse dans le photobombing artistique et personnalise des clichés postés sur Instagram. Un temple du graffiti numérisé permet aux internautes de taguer. Sauver le street-art grâce à Internet. Les Magasins généraux de Pantin, immense temple du graffiti en Seine-Saint-Denis, sont au cœur d’une expérience originale. L’agence de publicité BETC Digital a élu domicile sur ce site du patrimoine devenu quartier général des graffeurs depuis des années. Définitions du Street marketing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le street marketing ou marketing de rue est une technique de promotion qui s’étend de la simple distribution d’imprimés à la sortie du métro jusqu’à une présence au sein d’événements de grande envergure (compétitions sportives, festivals de musique...).
Il permet de renforcer une communication de proximité, de créer du trafic et de dynamiser les ventes. Contre-culture et culture de masse : l'exemple du street art "marchand" Street Art & Marketing, la famille s'agrandit. Le Street art dans la publicité. Posted by lebruitdesgarcons on 11 juillet 2012 · 3 commentaires Zevs, Cabaret Voltaire, 2010. Le street-marketing fait son chemin. Tout le monde en a entendu parler : la vraie-fausse manifestation de lastminute.com à la Défense, en octobre dernier, au cours de laquelle une trentaine d'acteurs munis de pancartes scandaient des slogans du genre "N'allez pas travailler !
" ou "Libérez vos RTT ! ". Idem pour le happening organisé le jour de la fête des mères, où des inscriptions à la craie à la sortie des métros invitaient à se rendre dans l'une des vingt-quatre boutiques Monceau Fleurs de la capitale. Exemples de 15 street-marketing de génie. Pour vendre leurs produits, les entreprises seraient prêtes à beaucoup de choses. Certaines utilisent la puissance des grands médias, d’autres utilisent des idées créatives pour essayer de marquer votre esprit.
C’est le principe même de l’ambiant marketing, c’est-à-dire placer des publicités en fonction de là où les cibles se trouvent.