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Ce tissu électronique utilise l’énergie de votre corps pour alimenter de peti... Cybersécurité : 375 millions d’euros pour renforcer la sécurité informatique ... Depuis 2 ans, le ministère des Solidarités et de la Santé a engagé la mise à niveau de la sécurité des systèmes d’information des établissements de santé.

Cybersécurité : 375 millions d’euros pour renforcer la sécurité informatique ...

Les récentes attaques contre les établissements de Villefranche-sur-Saône et de Dax démontrent la nécessité d’aller plus loin. Dans le cadre de la stratégie Cyber, présentée le 18 février 2021 par le président de la République, le gouvernement a décidé de renforcer sa stratégie de cybersécurité à destination des établissements sanitaires et médico-sociaux. Olivier Véran et le secrétaire d’État chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, Cédric O, se sont rendus à Villefranche-sur-Saône, le 22 février, pour détailler ces annonces. Le « Ségur de la santé » a prévu une enveloppe de 2 milliards d’euros d’investissements pour accélérer la numérisation des établissements de santé et médico-sociaux. Cloud computing. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cloud computing

Le cloud computing[1], ou l’informatique en nuage ou nuagique ou encore l’infonuagique (au Québec), est l'exploitation de la puissance de calcul ou de stockage de serveurs informatiques distants par l'intermédiaire d'un réseau, généralement Internet. Ces serveurs sont loués à la demande, le plus souvent par tranche d'utilisation selon des critères techniques (puissance, bande passante, etc.) mais également au forfait. Le cloud computing se caractérise par sa grande souplesse : selon le niveau de compétence de l'utilisateur client, il est possible de gérer soi-même son serveur ou de se contenter d'utiliser des applicatifs distants en mode SaaS[2],[3],[4].

Selon la définition du National Institute of Standards and Technology (NIST), le cloud computing est l'accès via un réseau de télécommunications, à la demande et en libre-service, à des ressources informatiques partagées configurables[5]. Terminologie[modifier | modifier le code] Définition : Qu’est-ce que le Big Data ? - LeBigData.fr. Le phénomène Big Data L’explosion quantitative des données numériques a obligé les chercheurs à trouver de nouvelles manières de voir et d’analyser le monde.

Il s’agit de découvrir de nouveaux ordres de grandeur concernant la capture, la recherche, le partage, le stockage, l’analyse et la présentation des données. Ainsi est né le « Big Data ». Il s’agit d’un concept permettant de stocker un nombre indicible d’informations sur une base numérique. Selon les archives de la bibliothèque numérique de l’Association for Computing Machinery (ou ACM) dans des articles scientifiques concernant les défis technologiques à relever pour visualiser les « grands ensembles de données », cette appellation est apparue en octobre 1997. Le Big Data, c’est quoi ? Littéralement, ces termes signifient mégadonnées, grosses données ou encore données massives. Cependant, aucune définition précise ou universelle ne peut être donnée au Big Data. Big Data : l’analyse de données en masse Les principaux acteurs du marché. « Les développements à venir de l’intelligence artificielle nécessitent une réflexion forte sur les limites à imposer »

Professeur au Laboratoire informatique de Sorbonne Université (LIP6), Jean-Gabriel Ganascia préside le comité d’éthique du CNRS et est l’auteur de nombreux ouvrages autour de l’intelligence artificielle (IA), tel Le Mythe de la Singularité.

« Les développements à venir de l’intelligence artificielle nécessitent une réflexion forte sur les limites à imposer »

Faut-il craindre l’intelligence artificielle ? (Seuil, 2017). Elon Musk a présenté, le 28 août, les recherches de sa société Neuralink visant, avec le recours de l’intelligence artificielle, à soigner des pathologies et augmenter les capacités cérébrales. Comment analysez-vous ces annonces ? Les déclarations d’Elon Musk sont problématiques. Elon Musk, lui, laisse entendre qu’il pourrait aussi avoir un signal retour, de la machine vers l’homme donc. D’où vient cette notion de mémoire augmentée ? La popularité de Java continue de décliner et profite à Python qui se rapproche de plus en plus de la seconde place, selon l'édition d'octobre 2020 de l'index TIOBE.

La popularité du langage de programmation continue encore à décliner, au bénéfice de Python, en passe de s'emparer de sa place de deuxième langage de programmation le plus populaire au monde, selon le dernier classement des langages de programmation établi par Tiobe.

La popularité de Java continue de décliner et profite à Python qui se rapproche de plus en plus de la seconde place, selon l'édition d'octobre 2020 de l'index TIOBE

Paul Jansen, PDG de TIOBE Software, a commenté en ces termes : « Python a conquis la troisième position de l'indice TIOBE l'année dernière, mais sa popularité ne cesse d'augmenter. Ce mois-ci, il a atteint un nouveau record historique à 11,28%. Tandis que Java approche de son plus bas niveau depuis 2001, Python et Java se rapprochent. L'écart est désormais inférieur à 1,3%. Depuis le début de l'indice TIOBE, C et Java ont toujours occupé les 2 premières positions. En clair, comme le note le PDG, si Python devance Java, ce serait la première fois depuis que Tiobe a commencé son indice de popularité des langages de programmation en 2001 que Java serait en dehors des deux premières places. Portail emploi Source : TIOBE. Bachelor Concepteur-Développeur Global Programming.