Interception des précipitations : définition, méthodes et quelques résultats. Qu'est-ce que c'est ?
L’interception des précipitations correspond à l’évaporation de l’eau, liquide ou solide, par les houppiers des arbres, aussi bien par les feuilles que par les organes ligneux. Lors d’une précipitation, l’eau suit plusieurs trajets dans l’écosystème : une partie arrive directement au sol sans toucher les feuillesune autre fraction s’évapore pendant et après l’épisode pluvieuxlorsque la capacité de stockage de l’eau par les feuilles est dépassée, une fraction retourne vers le solune autre fraction s’écoule le long des troncs vers le sol Notes : nous ne considèrerons pas ici le cas de l’interception de la neige, phénomène mal documenté.
Par ailleurs, les couverts peuvent aussi condenser le brouillard dont une partie va s’égoutter sous le couvert. Comment mesurer ce flux ? Ci-dessus : Un système de recueil des pluies s’écoulant le long des troncs (photo UR BEF, INRA-Nancy). Ci-contre : Mesure de pluie au sol à l’aide d’un réseau de pluviomètres à lecture directe. Pluies en foret D.DUMAS P9 tableau espèces. Résultats intéressants et explication des facteurs de variation. Article complet pour approfondir. Contrat de rivière 4 vallées occupation sol Véga p18. L'eau par les racines - Science en cours. La transpiration des plantes. On admet que l’apparition de la vie sur Terre, il y a 3.5 milliard d’années, s’est très vraisemblablement produite dans l’eau.
L’eau représente d’ailleurs les trois quarts des constituants chimiques des êtres vivants et la chimie des êtres vivants est une chimie des solutions aqueuses. C’est pourquoi les propriétés physico-chimiques des molécules d’eau permettent de comprendre pour une large part les réactions chimiques se déroulant au sein des cellules. Les cellules exploitent de façon remarquable les propriétés particulières des molécules d’eau. Ainsi, les interactions entre l’eau et les autres constituants chimiques du vivant (ions, protéines, acides nucléiques etc.) reposent sur ses propriétés d’excellent solvant, sur son aptitude à l’ionisation, sur sa capacité à former des liaisons faibles, comme les liaisons hydrogène, avec diverses molécules et à l’impossibilité de se lier aux molécules hydrophobes. 75 %).
Mesurons la transpiration d’une plante Matériel nécessaire Mesures. L’eau, de l’absorption à la transpiration : article pour approfondir. L'ETP. 1.
ETR : Evapotranspiration réelle C'est la quantité d'eau réellement perdue sous forme de vapeur d'eau par une surface ou un couvert végétal. On l'exprime de manière usuelle en mm/jour. Remarque : une quantité d'eau de 1 mm correspond à 1 litre d'eau tombé sur 1 m². L'ETR dépend : - de la culture considérée, - du stade phénologique de cette culture, - du contenu en eau du sol, - des conditions météorologiques observées. 2. Thèse avec bonne définition de l'ETP p 23 à 26. Cours poussé mais clair sur l'évapotranspiration : pour approfondir. Article complet sur la définition des termes et les calculs de l'évapotranspiration potentielle : pour approfondir. 2.
L'énergie - facteur limitant : l'évapotranspiration potentielle Deux séries de paramètres régissent le phénomène évapotrans piration ceux qui concernent la surface évaporante laquelle intervient la fois par son extension ce qui explique entre autres que les rizières mangroves et marécages restituent normalement plus que les nappes eau libre ce facteur est toutefois soumis une limite supérieure. Notes de cours très méthématiques sur le bilan énergétique de l'évapotranspiration : pour aller très loin. Fichier du modèle de OUDIN. Premières lignes du fichier de calcul selon la méthode OUDIN pour illustrer la méthode. Variation de l'ETP sur le bassin de la Véga selon la méthode OUDIN. Equation de la méthode OUDIN présentée avec ses paramètres. Le principe de l'évaporation. L'évaporation est le passage de la phase liquide d'une substance à sa phase gazeuse.
Comme toutes les matières, l'eau est constituée de molécules qui s'attirent mutuellement et vibrent plus ou moins fort selon leur énergie cinétique (vitesse). Les facteurs favorisant l'évaporation. Le bilan radiatif de la Terre.