Aimé Césaire, l'homme viscéralement engagé s'exprime ... L'ETUDIANT NOIR. L'ETUDIANT NOIR. [Ethiopiques - Revue negro-africaine de littérature et de philosophie.] Ina. FUIQP cours n°2 : Aimé Césaire, un passeur entre deux époques. Aimé CÉSAIRE, une voix pour l'histoire. 3 - La Force de regarder demain (documentaire entier, 1994) Aimé CÉSAIRE, une voix pour l'histoire. 2 - Au rendez-vous de la conquête (1994, docu entier)
Aimé CÉSAIRE, une voix pour l'histoire. 1 - L'île veilleuse (documentaire entier, 1994) [Ethiopiques - Revue negro-africaine de littérature et de philosophie.] Ethiopiques n°69.
Hommage à L. S. Senghor 2ème semestre 2002. Auteur : F. ABIOLA IRELE [1] Dans la préface de son recueil d’essais intitulé Force Fields, Martin Jay fait une observation très pertinente concernant la situation ambiguë de l’historien des idées : n’étant ni philosophe ni historien, celui qui entreprend de faire l’histoire intellectuelle risque de tomber entre deux chaises, représentées par les deux disciplines auxquelles se rapporte sa vocation. Je dois ajouter que les réflexions qui suivent forment les éléments d’un tour d’horizon servant de complément aux études existantes sur les mouvements intellectuels dans notre continent.
Depuis que Jean-Paul Sartre a voulu, dans son essai “Orphée noir,” cerner le sens et les implications du terme “négritude,” on a coutume de voir dans ce terme, lancé naguère par Aimé Césaire, plus qu’il ne contenait à l’origine, à savoir, une prise de position véhémente sur le problème racial. Mais Hegel n’était pas seul à nier l’humanité du noir. [Ethiopiques - Revue negro-africaine de littérature et de philosophie.] Ethiopiques n°69.
Hommage à L. S. Senghor 2ème semestre 2002 Auteur : Aïssata Soumana KINDO [1] Léopold Sédar Senghor, le poète qui savourait les mots de la langue française et savait si bien les utiliser, le défenseur des civilisations traditionnelles en général, et de la Négritude en particulier, l’humaniste qui souhaitait que l’Afrique soit présente au rendez-vous du « donner et du recevoir », aura été un des personnages - phares du XXe siècle. Le mouvement de la Négritude fut le fait d’une poignée d’étudiants et d’intellectuels noirs vivant à Paris et nourris des œuvres des écrivains négro-américains. [2] 1.1. . « Au Quartier Latin, dans les années 30, nous étions sensibles, par-dessus tout, aux idées et à l’action de la Négro Renaissance dont nous rencontrions à Paris quelques-uns des représentants les plus dynamiques ... 1.2. Elle fut la première tribune où les Noirs du monde entier eurent enfin l’occasion de s’exprimer pour débattre de leurs problèmes spécifiques. 1.3. 1.4. 2.1.
Page48. LA NEGRITUDEEnquête de Marine Berthelot, Oussama Sahnoune et Mihai CristeaEn pleine période de décolonisation, un nouveau courant littéraire apparaît et se développe en AfriqueEt aux Antilles.
Ce nouveau courant se nomme “la négritude”. Il fut fondé par des écrivains noirsvoulant défendre leurs valeurs culturelles, morales et politiques.Pourquoi et comment ce courant littéraire est-il apparu ? Quels écrivains ont lancé de mouvement ? Culture et Histoire. Léopold Sédar Senghor : « Je vous dis que la France est un arbre vivant » (29 janvier 1957) - Histoire - Grands moments d'éloquence. Léopold Sédar Senghor : « Je vous dis que la France est un arbre vivant » (29 janvier 1957) M.
Léopold Sédar Senghor. Mesdames, messieurs, je dirai, en manière de préambule, qu'il nous faut « dépersonnaliser » ce débat, au contraire de ce que veulent d'aucuns qui, battus en commission, vont clamant et proclamant : « C'est un coup bas contre le ministre de la France d'outre-mer, contre le président du Conseil ; c'est la faute de Samba et de Demba. » Assemblée nationale : Aimé Césaire et le mouvement de la négritude. Aimé Césaire Portrait d'Aimé Césaire, exposé à l'ancienne mairie de Fort-de-France © Édition de Conti Cliquer pour un affichage plein écran Le mouvement de la négritude Vidéo (Internet Explorer 6 : rafraîchir la page)
La Négritude comme mouvement et comme devenir. L’ouvrage d’Immanuel Wallerstein intitulé L’Universalisme européen.
De la colonisation au droit d’ingérence (Wallerstein, 2008) raconte l’histoire d’une “ère immense” qui aujourd’hui arrive à sa fin et pour laquelle, écrit-il, le nom le plus “approprié” serait “âge de l’universalisme européen” (Wallerstein, 2008, p. 131). Évoquons succinctement le contenu du livre en rappelant le propos des quatre chapitres qui le constituent. Le premier pose la question de savoir « à qui revient le droit d’ingérence » et examine la manière dont ce que Wallerstein appelle le « discours occidental », depuis le débat, au XVe siècle, entre Las Casas et Sepulveda, a justifié l’intervention européenne dans le reste du monde au nom d’un droit qu’auraient ses valeurs universelles à éradiquer la barbarie des autres. Au commencement il y a ce qui est appelé « l’art nègre » ; et aussi l’ethnologie française qui se constitue. Sartre et la Négritude : de l'existence à l'histoire. Notes Hubert Tardy-Joubert (Université Paris Ouest Nanterre la Défense / Sophiapol) : ancien élève de l’École Normale Supérieure (Ulm), agrégé de philosophie, il prépare une thèse de doctorat sur « la philosophie sociale de Sartre et ses sources hégéliennes ».
Sans titre. De manière inattendue peut-être, c’est l’État indépendant du Congo, ainsi qu’on appelait cette colonie avant 1908, qui sert de toile de fond au plus lucide brûlot anti-impérialiste de la littérature anglophone, un court roman de Joseph Conrad intitulé Au Cœur des ténèbres (1899) [1].
Ce texte, qu’on étudie aujourd’hui pour des raisons esthétiques comme l’un des premiers grands classiques de la littérature européenne du XXe siècle, continue par ailleurs de stimuler l’imagination post-coloniale contemporaine, et ce pour des raisons tout autant politiques, ainsi qu’en atteste la longue liste d’hommages, de liens intertextuels, et de ré-écritures en tous genres émaillant la bibliographie d’auteurs tels que le Trinidadien V.S. Naipaul (Un Méandre dans la rivière, 1979), l’Australien Patrick White (Une Frange de feuilles, 1979), ou encore Derek Walcott, le poète de Sainte-Lucie – pour n’évoquer que des Prix Nobel relativement récents.
Conrad au Congo L’espace blanc Rumeurs et abomination. Aimé CESAIRE, Léopold Sédar SENGHOR et Léon Gontran DAMAS. Peau noire, masques blancs. Peau noire, masques blancs est un ouvrage écrit par Frantz Fanon et publié au Seuil en 1952.
Présentation[modifier | modifier le code] L'ouvrage s'ouvre sur une citation d'Aimé Césaire (Discours sur le colonialisme) : « Je parle de millions d'hommes à qui on a inculqué savamment la peur, le complexe d'infériorité, le tremblement, l'agenouillement, le désespoir, le larbinisme. » Il s'agit de faire une analyse, d'un point de vue psychologique de ce que le colonialisme a laissé en héritage à l'humanité, et ceci en partant du rapport entre le Noir et le Blanc. C'est tout un jeu de définitions qui se font par différenciation, et pour cela le premier chapitre pose des bases de linguistique. Discours sur le colonialisme Aimé Césaire.