Trello. Framapad - Éditeur de texte collaboratif. Créateur d'organigrammes et logiciel de diagrammes en ligne. Mind Mapping Software - Brainstorm Online. Mooc.laboiteatice. Fiche05. Le chocolat des Francais. Le Chocolat des Français fait fondre les investisseurs. Les Fonderies Collignon à Deville placées en redressement judiciaire - Quotidien des Usines. En état de cessation de paiement depuis la semaine dernière, les Fonderies Collignon figuraient à nouveau au rôle du tribunal de commerce de Sedan (Ardennes) jeudi 12 novembre.
Au terme de cette audience, la juridiction a ouvert une procédure de redressement judiciaire et nommé un administrateur et un mandataire judiciaire: Me Jérome Cabooter et Bruno Raulet. Ce dossier sera à nouveau examiné le 5 février 2016. Les Fonderies Collignon ont dû se résoudre au dépôt de bilan. Fram placé en redressement judiciaire jusqu'au 30 avril. Choisir sa forme juridique. Le lamineur de cuivre Griset placé en redressement judiciaire - Quotidien des Usines. Griset, le dernier lamineur de cuivre français, a demandé, le 6 novembre 2015, son placement en redressement judiciaire auprès du tribunal de commerce de Nanterre.
L’entreprise, qui emploie 115 personnes à Villers-Saint-Paul (Oise), rencontre de graves problèmes de trésorerie liés à un manque de fonds de roulement. Cette situation l’empêche notamment d’acheter la matière première nécessaire pour assurer ses commandes. Pour y remédier, Griset a sollicité un prêt de 1,5 million d’euros auprès des banques. Malgré la garantie apportée par BPI France, ces dernières ont rejeté la demande. Une situation "ubuesque" selon Jean-Pierre Valade, PDG du groupe. Selon Jean-Pierre Valade, l’entreprise de cuivre, qui a développé d’importants programmes de recherche ces dernières années, a enregistré ses premiers résultats positifs depuis cinq ans en juin 2015.
Guillaume Roussange. Les matelas Treca repris par le propriétaire de Dalloyau. LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Isabelle Chaperon et Juliette Garnier Treca ira chez Perceva.
Lundi 23 mai, le Tribunal de commerce de Meaux (Seine-et-Marne) a choisi le fonds d’investissement déjà propriétaire de Dalloyau et de Monceau Fleurs pour reprendre Cauval, le numéro deux français de la literie (Treca, Simmons, Dunlopillo) qui avait déposé son bilan le 29 février. Lire aussi : Les matelas Cauval en grande difficulté « Issu de l’offre de reprise, le nouvel ensemble réalise un chiffre d’affaires d’environ 290 millions d’euros et emploie 2 200 personnes dont 1 445 en France au sein de sept implantations industrielles (Fougères, Saint Amand des Eaux, Bar-sur- Aube, Mer, Reichshoffen, le Coteau/Thizy, Mantes-la-Jolie/Limay) et du siège administratif à Torcy », précise un communiqué de Perceva qui ajoute « les effectifs restants sont répartis essentiellement au sein des filiales anglaise, allemande, polonaise et tunisienne ». 70 millions d’euros mobilisés.
Fleurbaix: API restauration reprend Herreng traiteur, sans les boutiques. Fin du suspens sur l’avenir du groupe Cauval - La Croix. Le tribunal de commerce de Meaux doit examiner, mardi 17 mai, les quatre offres déposées pour la reprise du fabricant de literie, propriétaire notamment de la marque Dunlopillo.
En difficulté depuis des années, Cauval emploie 1 650 salariés. Dernière ligne droite pour la reprise du fabricant de canapés et de matelas Cauval, connu pour ses marques Simmons, Dunlopillo, Trecca ou Pirelli. Le tribunal de commerce de Meaux doit choisir aujourd’hui, mardi 17 mai, parmi les quatre offres de reprise proposées pour ce groupe de 1 650 salariés. En difficulté chronique depuis plusieurs années – malgré un marché de la literie en bonne santé – le groupe basé à Torcy (Seine-et-Marne) a été placé en redressement judiciaire le 29 février. Deux des quatre offres semblent tenir la corde : celle déposée par le portugais Aquinos, et celle du fonds Perceva. 1 445 personnes reprises par Perceva La compétence de l’industriel Aquinos Le propriétaire de Conforama sur les rangs La Croix (avec AFP)
Boulogne : deux candidats à la reprise pour Continentale, mais le personnel reste inquiet. Les candidats à la reprise de Continentale Nutrition avaient jusqu’à jeudi soir pour se manifester auprès du tribunal de commerce.
L’entreprise de production d’aliments pour animaux, qui emploie 360 salariés à Boulogne, est en effet sous le coup d’une procédure de liquidation judiciaire avec poursuite d’activité. Verdict : un seul candidat, le groupe irlandais de petfood C&D, a déposé une offre de reprise dans les temps. Ce n’est pas un scoop : c’est lui qui avait les faveurs d’Alandia, le précédent propriétaire de Continentale, qui l’avait présenté comme le messie au personnel et à la presse. Un groupe belge sur les rangs. Orléans: la branche contruction du groupe Fousse vers la liquidation judiciaire. Le tribunal de commerce d’Orléans a étudié mercredi une offre de reprise pour le rachat de six sociétés spécialisées dans la construction de maisons individuelles appartenant à Claude Fousse.
C'est l'un des plus importants chef d'entreprise du Loiret qui est dans la tourmente économique. Le tribunal de commerce d’Orléans a étudié une offre de reprise pour le rachat de six sociétés spécialisées dans la construction de maisons individuelles appartenant à Claude Fousse. Le jugement a été mis en délibéré, la décision doit tomber jeudi matin mais sans surprise cette offre devrait être refusée par le tribunal. C’est donc une liquidation judiciaire de la "branche construction" qui devrait être prononcée pour celui qui a fait la fortune du célèbre entrepreneur âgé de 76 ans et également co-président de l’USO Foot.
L’impossible équation économique de la SNCF - La Croix. Manuel Valls a annoncé mercredi 8 juin des aides financières à la compagnie ferroviaire, sans doute pour compenser les concessions faites aux syndicats.
La SNCF est cependant confrontée à une dérive financière et sa dette s’envole à plus de 50 milliards d’euros. Transcontinental demande l’aide des gouvernements. La chute des profits de Transcontinental est tellement importante que l’entreprise réclame une aide financière temporaire, à Québec et Ottawa.
La direction de la société montréalaise estime que les gouvernements doivent appuyer les journaux locaux dans leur transition vers l’ère numérique. Après les quotidiens, c’est au tour des journaux hebdomadaires –Transcontinental en possède 170 au pays- de subir la dégringolade de leurs revenus publicitaires. Lors d’une conférence téléphonique, tenue vendredi avec des analystes financiers, le président et chef de la direction de Transcontinental, François Olivier, a laissé entendre que l’appui des gouvernements est essentiel pour assurer la pérennité des journaux locaux.
«La majorité des journaux que nous possédons sont dans de très petits marchés, où ils produisent des nouvelles locales. Transcontinental a dévoilé des profits en forte baisse au deuxième trimestre, marqué notamment par des radiations d’actifs. Made in France. Dix exemples d'entreprises en région. C’est une véritable hécatombe.
En six ans, la France a perdu 28 % de ses emplois dans l'industrie de la céramique, passant de 9.183 à 6.764 emplois. Dans les années 70, la branche porcelaine, poterie et faïence de la confédération des industries céramiques de France comptait 190 entreprises adhérentes, elle n'en compte plus que 23 aujourd'hui, sur un total de 63 entreprises françaises dans la filière. Parmi elles, les marques les plus connues subsistent : HB Henriot, Emile Henry, Royal Limoges ou encore Revol Porcelaine. Dans le Morbihan, un céramiste culinaire résiste à Languidic : Bretagne Céramique Industrie (52 salariés, cinq millions d’euros de chiffre d’affaires), dont la marque phare Appolia est présente dans un réseau de boutiques spécialisées.