Sport, amour et chocolat ont un point commun : la Phényléthylamine (PEA) La phényléthylamine (PEA) est une hormone naturelle de notre cerveau.
On la trouve en faibles quantités dans le chocolat qui lui doit sa réputation d’antidépresseur. Ses niveaux sont plus élevés dans le cerveau des amoureux et on la rend responsable du «coup de foudre». Elle augmente également après un effort physique, faisant que le sport ait un effet bénéfique sur notre moral. Drogues, circuit de la récompense et dopamine. LucasSalomon Professeur SVT Malgré leur diversité, les drogues partagent toutes une caractéristique commune : elles jouent sur le circuit de la récompense et stimulent la libération de dopamine.
Les vertus récompensantes des drogues ont été établies dès la fin des années 1960 en démontrant que les animaux s’administraient eux-mêmes du produit si on leur en donnait la possibilité. Ces expériences d’auto-administration, permettant d’observer la motivation de l’animal pour la drogue, reproduisent en fait les expériences d’Olds et Milner (voir page précédente) en reliant une action de l’animal à l’injection d’une dose de drogue. L’animal, en cas de propriété récompensante de la drogue, associe les deux stimuli et réitère de plus en plus souvent l’action entraînant l’injection. L’organisation fonctionnelle du cerveau. Opiacés : effets et dépendance. LucasSalomon.
Mode d'action. Nous allons tout d'abord nous intéresser au fonctionnement du système nerveux car il est à l'origine de l'élaboration de la sensation de douleur.
Nous allons ensuite étudier l'action de substances telles que les opiacés sur ce sur ce système nerveux afin d'expliquer comment fonctionne leur rôle "d'antidouleur". 1- Le fonctionnement du système nerveux. Capsule outil: L’attirance physique et la beauté. Capsule outil: L’attirance physique et la beauté On pourrait croire que l’attirance physique est strictement une affaire de goûts personnels et d’influences culturelles.
Mais de nombreuses expériences montrent que notre conception de la beauté est grandement influencée par notre héritage évolutif et par des circuits cérébraux « pré-câblés ». On distingue en fait trois grands mécanismes à l’œuvre derrière l’attirance que l’on éprouve pour certaines personnes : la sélection naturelle, la sélection sexuelle et l’apprentissage culturel. Capsule outil: La monogamie humaine : causes et conséquences. Capsule outil: La monogamie humaine : causes et conséquences La monogamie est plus souvent l'exception que la règle dans le monde animal.
Même chez les oiseaux, où près de 85 % des espèces sont monogames et où autant le mâle que la femelle participent aux soins donnés à la progéniture, on observe un taux élevé de rupture du lien de couple après une certaine période. Le mode d'appariement le plus fréquent dans le monde animal est plutôt la polygynie, c’est-à-dire un mâle simultanément apparié à plus d'une femelle. Par exemple, la monogamie est un phénomène rare chez les mammifères qui ne concerne qu’environ 5 % des espèces. L'actualité des sciences. Science et vie. Une compétition de jeux vidéos / Ph.
The Digitel Myrtle Beach, via Flickr – CC BY 2.0 Attention, tous les jeux vidéo ne sont pas à mettre dans le même panier. En ce qui concerne les adolescents qui, scotchés à leurs manettes, passent avérer problématique, mais elle est le plus souvent transitoire. Elle relève davantage de la passion que de la véritable accoutumance. Pour les psychiatres, la véritable dépendance concerne les jeux en réseau, les fameux jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs (MMORPG selon le sigle anglais).
Un monde fantastique Dans ce type de jeux vidéo, tels “World of Warcraft” ou “Everquest”, le joueur, représenté par un avatar – son double virtuel – interagit aux côtés d’autres joueurs connectés, dans un monde fantastique riche en aventures et combats de toute sorte. Tout d’abord, ils sont sans fin : ils mettent en scène un monde dit persistant, qui continue d’évoluer même lorsque le joueur n’est pas connecté. Science et vie. Les antidépresseurs actuels ont une efficacité limitée – Ph. v1ctor via Flickr / CC BY 2.0 S’ils se montraient efficaces chez l’homme, ces nouveaux médicaments déclencheraient une révolution inespérée dans le traitement de la dépression.
Car les antidépresseurs prescrits actuellement par les médecins mettent des semaines à agir et ne sont pas toujours efficaces. Les neuroscientifiques de l’université du Maryland (à Baltimore, États-Unis) ne cachent pas leur enthousiasme devant les effets spectaculaires de ces molécules. Appelées GABA-NAM, elles ont éliminé, en 24 heures, les symptômes de la dépression sur des rats élevés en laboratoire de manière à reproduire cette terrible maladie psychiatrique. Un rat peut-il véritablement être déprimé ? Les rats “déprimés” consommaient moins de sucre et interagissaient moins avec d’autres rats. Les antidepresseurs. Les antidépresseurs sont les médicaments utilisés dans le traitement des dépressions.
Les antidépresseurs actuels agissent en modifiant les effets ou le métabolisme des catécholamines ou de la sérotonine. Des médicaments comme le lithium peuvent prévenir les troubles dépressifs de type bipolaire. Les anxiolytiques sont des médicaments dont le principal effet est de diminuer l'anxiété mais d'autres médicaments, notamment les antidépresseurs ou les neuroleptiques peuvent être plus appropriés pour traiter une anxiété lorsqu'elle apparaît dans un contexte particulier.
Les antidepresseurs sont ils éfficaces? Coup de tonnerre dans la presse depuis hier : les antidépresseurs ne seraient pas efficaces. Il faut noter que cette étude inaugure une démarche inhabituelle : recenser tous les travaux réalisés sur un sujet, y compris ceux qui ne sont pas publiés dans des revues médicales mais néanmoins obligatoirement déposés auprès de l’agence du médicament étatsunienne (FDA). Le fonctionnement des antidépresseurs - La dépression est-elle reconnue comme une maladie grave ?
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Les grandes familles d’antidépresseurs. Rsciences. Les dépresseurs du système nerveux / L'ÉTAPE. Les hormones de l'attachement. A. Les principals hormones et leurs effets. Présentation - laboratoire de neurobiologie. , créé en 1996, est une Unité Propre de Recherche (UPR) du ministère de l’agriculture. Il est implanté sur le site de l’Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort (ENVA) en région parisienne. Les travaux de recherche menés par le laboratoire ont pour objectifs d’étudier des maladies neuromusculaires canines et félines et d’évaluer les bénéfices thérapeutiques apportés par de nouvelles stratégies de type pharmacologique, génique ou cellulaire ayant déjà fait leurs preuves in vitro ou sur des animaux de petite taille. Afin de mener au mieux ces travaux délicats, le Laboratoire de Neurobiologie a mis en place une plateforme d’essais thérapeutiques associée à une véritable unité de soins intensifs, permettant d'assurer la maintenance médicale des animaux malades.
Grâce à des subventions, et notamment au soutien permanent de l’AFM, le laboratoire dispose de ressources humaines non négligeables. Amphétamines : effets et dépendance. LucasSalomon Professeur SVT Les amphétamines stimulent la plupart des fonctions de l’organisme, le rendant hyperactif et voilant faim et fatigue à l’utilisateur. Comme pour toutes les drogues, les effets amphétaminiques sont dépendants de la voie d’administration et de la quantité prise. Ces effets varient aussi en fonction du type d’amphétamine utilisée, l’ecstasy n’entraînant pas exactement les mêmes conséquences que les autres amphétamines. Action de l’amphétamine sur le cerveau · TPE. 1-Le cerveau,le système nerveux et les neurones a-Le cerveau En anatomie animal et humaine, le cerveau est l’organe central supervisant le système nerveux. Il est composé du diencéphale et du télencéphale. Bien que le cerveau soit volontiers cité comme centre de supervision du système nerveux central des vertébrés, le même terme peut être employé pour le système nerveux central des invertébrés.
Dans le langage courant, le terme « cerveau » est employé pour désigner l’ensemble de l’encéphale, c’est-à-dire la partie du système nerveux central située dans la boîte crânienne, ce qui inclut par exemple, le cervelet. Oestrogènes : Définition. L’œstrogène est une hormone naturelle, sécrétée par l’ovaire, assurant la formation, le maintien et le fonctionnement des organes génitaux et des seins chez la femme. La ménopause est un phénomène physiologique qui peut entraîner des troubles dits « climatériques », bouffées de chaleur, prise de poids, troubles vaginaux, troubles de l’humeur et également favoriser le développement de l’ostéoporose. Le principe du traitement hormonal de la ménopause (THM), est de compenser la carence oestrogénique, intervenant chez la femme ménopausée, responsable de la perte osseuse et des troubles fonctionnels (bouffées de chaleur, sécheresse de la peau et des muqueuses, troubles de l’humeur, prise de poids, etc.).
L’intensité des troubles étant très variable d’une femme à l’autre, la décision d’instaurer un traitement hormonal de la ménopause, est strictement individuelle, et doit prendre en compte à la fois les troubles ressentis et les risques encourus. LE CERVEAU À TOUS LES NIVEAUX! Plusieurs structures spécialisées permettent de reconnaître le neurone pré- du neurone post-synaptique: Dans le bouton terminal de l'axone pré-synaptique, on peut observer des mitochondries ainsi que des microtubules qui permettent le transport des neurotransmetteurs du corps cellulaire (où ils sont produits) jusqu'au bout de l'axone.
(cliquez sur 2. Axonal Transport) On peut aussi y voir des vésicules sphériques remplies de neurotransmetteurs. Ces derniers seront excrétés par fusion de la membrane des vésicules avec celle du bouton pré-synaptique, un processus appelé exocytose. De l'amour et du magnésium ! - 6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 08:45 Le printemps approche, du bleu, du frais, du bienheureux ;-) Le défi de l'amour de John Bradshaw. Chagrin d'amour : le top des aliments réconfortants pour surmonter la déprime.