Frédéric Bizard : « Seule une refondation de la politique du médicament permettra de retrouver une industrie pharmaceutique compétitive » Le médicament le plus cher du monde autorisé à la vente. 2,125 millions de dollars pour un médicament qui s’administre en une seule prise.
C’est le coût du Zolgensma, développé par le laboratoire suisse Novartis, et désormais autorisé à la vente aux États-Unis. Un prix record dans le pays puisque cette thérapie génique est la première à dépasser le million de dollars. Le Figaro explique que ce médicament permet de soigner l’amyotrophie spinale, une maladie neurodégénérative grave et jusqu’à présent incurable. Elle est liée à un gène défectueux qui entraîne une atrophie musculaire. Prix des médicaments : exigeons la transparence. Tribune.
Les médicaments, les plus innovants soient-ils, ne sont efficaces que s’ils sont accessibles. Pourtant, y compris dans les pays les plus riches, le prix des nouveaux médicaments contre des pathologies graves devient une barrière à leur accès. Il est de plus en plus fréquent de voir des médicaments arriver sur les marchés avec des prix atteignant plusieurs dizaines voire centaines de milliers d’euros par patient·e, comme c’est le cas des derniers traitements anticancéreux.
Ces prix menacent l’accès aux soins pour tou·te·s et mettent la pérennité des systèmes de santé solidaires en danger. Rationnement Au Royaume-Uni, au-delà de 30 000 livres (environ 34 000 euros) par année de vie gagnée, les traitements ne sont pas pris en charge par le système de santé. Aux Etats-Unis, des employeurs font main basse sur les données des applications de grossesse. Anticancéreux périmés pour enfants : histoire d'une catastrophe industrielle. Levothyrox : une étude donne raison aux patients. Vente de traitements « alternatifs », de livres, de DVD… Le business de l’antivaccination. Alerte sanitaire sur un produit de dialyse : la réponse de l’ANSM. #Nofakemed : pourquoi cette croisade de professionnels de santé contre l’homéopathie ? L’Assemblée rejette la possibilité pour les pharmaciens de prescrire certains médicaments. Un amendement du projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2019 prévoyait une expérimentation dans deux régions durant trois ans.
L’expérimentation n’aura pas lieu. Contrairement à ce que nous écrivions samedi 27 octobre au matin, reprenant une information erronée de l’Agence France-Presse (AFP), l’Assemblée nationale a écarté, vendredi, la possibilité pour les pharmaciens de dispenser des médicaments à prescription médicale obligatoire. Le texte, étudié dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2019, prévoyait une expérimentation dans deux régions pendant trois ans. Des « impuretés » à l’origine des problèmes du nouveau Levothyrox ? Un chercheur toulousain explique avoir décelé différentes « impuretés » dans des lots de la nouvelle formule du Levothyrox commercialisée à partir de mars 2017.
Des impuretés et des changements d’excipients : un chercheur toulousain a évoqué, jeudi 4 octobre, une « avancée scientifique majeure » sur le site d’investigation Médiacités, susceptible d’expliquer les effets indésirables de la nouvelle formule du Levothyrox, dénoncée par de nombreux patients, et qui fait l’objet de plusieurs actions en justice. Les sénateurs s’alarment des pénuries de médicaments. 530 médicaments se sont retrouvés en rupture de stock en 2017, soit dix fois plus qu’en 2008.
Un rapport sénatorial formule des propositions. LE MONDE | 02.10.2018 à 09h00 • Mis à jour le 05.10.2018 à 18h21 | Par Pascale Santi. Médicamentsmortels032018. Lequotidiendupharmacien.
Médicaments innovants. Visite médicale : vers un nouveau modèle de promotion du médicament – PharmAnalyses. Promotion du médicament : le visiteur médical reste un vecteur essentiel – PharmAnalyses. L'astuce de cette maman pour faire boire un médicament à son fils est fascinante. Pas toujours facile de faire avaler des médicaments (au goût souvent particulier) à des bébés et jeunes enfants.
Le fait même de les évoquer provoque chez certains des crises et des pleurs.... Bien qu’ils ne comprennent pas leur utilité, ces remèdes restent indispensables à leur guérison, et ça, les parents le savent bien. Alors tout est bon pour leur donner ces fameux médicaments. Phrases rassurantes ou imprégnation dans des jus de fruits ou les compotes, il existe mille et une astuces pour faire avaler son sirop à votre petit loulou. D’ailleurs, une maman américaine a trouvé une nouvelle façon pour le moins ingénieuse afin que son enfant prenne son médicament... sans même s’en rendre compte ! La mère de famille a posté une photo de son fils sur le site Reddit, partageant ainsi son astuce.
Image via Reddit/bsurfn2day Donner un médicament liquide à son enfant. » Officines : la vente libre en hausse de 3,1% dans un marché global en déclin MyPharma Editions. Publié le vendredi 24 mai 2013 Selon les données d’IMS Health France, le marché global de l’officine est en décroissance, alors que les médicaments et les produits en vente libre affichent une dynamique positive à 3,1 % sur douze mois.
Les médicaments OTC et les produits sans AMM contribuent à cette croissance. Les segments de la dermo-cosmétique et des compléments alimentaires se renforcent notamment en parapharmacie, avec un poids élevé des nouveautés, qui comptent pour près d’un tiers du marché. L’analyse d’IMS Health France repose sur douze mois d’étude du marché, arrêtée à mars 2013. « De façon globale, le marché de l’officine française (35 milliards d’euros) est en déclin, observe Pascal Voisin, Directeur OTC IMS Health France. Une tendance à -‐2 % qui confirme celle de 2012. L’OTC, en hausse de 2 %, profite en partie des déremboursements « La baisse des ventes de médicaments avec AMM touche l’essentiel de l’économie officinale, note Pascal Voisin.
Source : communiqué IMS Health. Comprendre la promotion pharmaceutique et y repondre un manuel pratique. Promotion des médicaments par les laboratoires : la HAS renforce les règles et va analyser son impact sur les professionnels. Depuis 2004, une Charte de qualité de la visite médicale signée entre les pouvoirs publics et les industriels*, encadre les pratiques promotionnelles des laboratoires pharmaceutiques concernant les médicaments remboursés.
Le Conseil d’Etat saisi sur la présence d’aluminium dans les vaccins. Un collectif de 3 000 personnes demande, en vertu du principe de précaution, d’interdire les sels d’aluminium.
LE MONDE | • Mis à jour le | Par Emeline Cazi Une requête déposée par l’avocate Jacqueline Bergel au nom d’un collectif de trois mille personnes, enregistrée mardi 14 novembre par le Conseil d’Etat, selon les informations du Monde, va relancer la controverse sur la présence de sels d’aluminium dans les vaccins. La question, longtemps cantonnée à des débats entre scientifiques, mais dont se sont récemment emparés les collectifs vaccino-sceptiques, devra désormais aussi être étudiée par la justice administrative.
Lire aussi : Vaccins : une étude relance le débat sur les adjuvants. Acheter tous ses médicaments en ligne? C’est pas pour demain! Le marché de la pharmacie pesait en 2012 38 milliards d’euros selon l’Insee.
» Médicaments OTC: Leclerc veut casser les prix MyPharma Editions.