La Photographie Humaniste : de 1'20 à 2' Photographie humaniste. La photographie humaniste est un mouvement photographique français qui réunit des photographes ayant en commun un intérêt pour l’être humain dans sa vie quotidienne.
Ce courant est apparu en 1930 dans les quartiers populaires de Paris et sa banlieue, et a connu un grand essor entre 1945 et 1960. Contexte historique[modifier | modifier le code] La photographie humaniste : 1945-1968. BNF. BNF La photographie humaniste. La photographie humaniste. Exposition BNF. La photographie humaniste 1945-68 - Luc Pottiez, LPZpictures. Mathieu Menossi pour Evene.fr - Novembre 2006 Par une heureuse coïncidence, le projet de la BnF - site Richelieu épouse parfaitement les contours du thème de “la page imprimée” choisi cette année pour le Mois de la photographie.
Depuis le 31 octobre et jusqu’au 28 janvier, la BnF rend un vibrant hommage à l’un des courants les plus importants de l’histoire de l’image française, la photographie humaniste. Témoignage d’une génération.
Couple à Trafalgar Square - Carnet de Bord d'Histoire des Arts. Izis est un photographe représentant du courant de la photographie humaniste française né en 1911 et décédé en 1980.
Il est l'auteur de grand nombre de photographies, et certaines ont paru dans le livre " IZIS 100 PHOTOS POUR LA LIBERTE DE LA PRESSE" Dans cet ouvrage on peut trouver une photo d'un couple à Trafalgar Square à Londres, prise en 1950. Cette photo en noir et blanc prise de nuit, est très sombre. On distingue un pont sur lequel se trouve un couple. Ils sont éclairés par des lampadaires, dont un seul visible se trouvant à l'extrémité du pont. A l'arrière plan on distingue un bâtiment, avec des tours, comme une église. Un dimanche sur les bords de Seine. Henri Cartier BRESSON, 1938.
Le petit Parisien : Willy RONIS, Paris, 1952. Willy Ronis. Le Baiser Blotto. Paris, 1950. Robert DOISNEAU. Bolides. Robert DOISNEAU, 1956. Les amoureux aux poireaux. Paris, 1950. Robert DOISNEAU. Amoureux aux oranges, rue Mazarine. Robert Doisneau (1912-1994) a laissé 450 000 négatifs aux sujets les plus variés : photographies commerciales et de mode, images de l’Occupation et combats de la Libération, clichés d’un Paris touristique et reportages à la campagne et en banlieue, portraits d’écoliers, de commerçants des halles ou d’artistes… Son œuvre oscille entre travail de commande et projets plus personnels qui témoignent d’un monde en mutation.
Si son travail est reconnu par des prix et des expositions depuis l’après-guerre, c’est principalement dans les années 1980 que son œuvre touche le grand public qui, de manière un peu simpliste, y voit une approche poétique du genre humain et de la photographie de rue. Calendriers, posters et cartes postales diffusent alors par milliers certaines de ses images telles que ces Amoureux aux oranges, rue Mazarine [ image principale ]. Les enfants jouent dans la rue en patins à roulettes. Robert DOISNEAU, 1950. Les Maitres de la photographie - Les plus grands photographes du Monde. Robert Doisneau - Les enfants des rues et l'école. Des enfants jouant dans les rues à faire les quatre cent coups, des enfants à l'école, dans les cours de récré ou en classe, certains posant pour le photographe et d'autres saisis au vol.
Parmi les milliers de photos de Robert Doisneau sur ce thème il en existe quelques unes qu'on peut trouver en affiche ou poster. Vous pourrez les commander à partir de cette page. Bolides - 1956 Célèbre photo de Robert Doisneau représentant un enfant coiffé d'un képi blanc roulant dans sa voiture à pédale, observant en passant cette guimbarde à la roue crevée. Reproduction format 24 x 30 cm Commander sur Allposters Les écoliers curieux - 1953 Mais qu'observent-ils donc ces enfants curieux et qui semble tant les amuser ? Reproduction format 40 x 50 cm Commander sur ALLPOSTERS. "Le Baiser de l'Hôtel de Ville" de Robert Doisneau. La célèbre photo de Robert Doisneau est la première invitée de Bav[art]dages cet été.
Aujourd'hui mondialement connue, il lui a fallu des années pour accédér à la notoriété. Le Baiser de l'Hôtel de Ville a été capturé en 1950 par le photographe français Robert Doisneau, pour le compte du magazine américain Life. Photo posée, photo volée, baiser volé ?
‘Le Baiser de l'Hôtel de Ville’ de Robert Doisneau. Quand on vous dit Doisneau, vous pensez immédiatement « photo de Paris », « cliché noir et blanc » ou encore « scènes de la vie quotidienne ». Pour cause : le photographe français Robert Doisneau a passé sa carrière à capturer la Ville Lumière d’après-guerre dans son plus simple et authentique appareil. Des milliers de portraits d’artisans, de bistrotiers, de gamins des rues ou d’amoureux se bécotant sur les faubourgs que l’artiste a immortalisés sur pellicule. Et dont certains sont visibles en ce moment à Bercy Village. Le poète Prévert disait d’ailleurs de cet enjoliveur de l'ordinaire : « C’est toujours à l’imparfait de l’objectif qu’il conjugue le verbe photographier. » Bref, Doisneau était un virtuose du viseur qui avait fait de l’obturateur sa plume pour composer une ode à l’existence où se mêlent tendresse, nostalgie de même qu’un brin d’ironie.
Ainsi, Robert Doisneau guette l’anecdote visuelle comme nous épions celles qui se cachent derrière ses chefs-d'œuvre. Galeries virtuelles des photographies de Doisneau. Rémi écoutant la mer, Edouard Boubat, 1995 - [Collège Les Quatre Vents] Voici l’analyse de l’oeuvre Rémi écoutant la mer d’Edouard Boubat : Cette photographie a été prise par Edouard Boubat en 1995, c’est l’un des cinq représentants de la photographie humaniste.
Il s’agit d’un courant du XXe siècle, qui s’est développé essentiellement en France, entre 1930 et la fin des années 1960. Les photographes de ce courant sont souvent reporters ou illustrateurs, et insistent sur la représentation de l’être humain à travers ses activités quotidiennes. C’est le sujet principal des photos qui sont souvent en noir et blanc et qui cherchent à capter les différents visages de l’humanité dans ses activités (travail, loisirs, etc.) représentées souvent de manière touchante ou poétique.
Les photographes recherchent une expression naturelle, comme prise sur le vif.
Paulette et André. BRASSAÏ, 1949. Couple d'amoureux, rue Croulebarbe, quartier Italie, vers 1932 . BRASSAÏ. Hommes autour du zinc dans un bistrot rue de Lappe. Brassaï, 1932.