Mauprat - George Sand. Quelques années avant et après la Révolution.« … sa santé robuste, sa taille droite, sa démarche ferme et l'absence de toute infirmité annoncent quinze ou vingt ans de moins.
Sa figure m'eût semblé extrêmement belle sans une expression de dureté qui faisait passer, malgré moi, les ombres de ses pères devant mes yeux. »Bernard Mauprat, vieil homme de quatre-vingts ans, reçoit dans sa demeure près de Châteauroux, dans l'Indre, un jeune homme qui souhaiterait entendre, par le dernier des Mauprat, l'histoire de cette famille légendaire. Cette curiosité est teintée des peurs enfantines…« C'est que dans mon enfance, j'ai placé le nom de Mauprat entre ceux de Cartouche et de Barbe Bleue, et qu'il m'est souvent arrivé alors de confondre, dans des rêves effrayants, les légendes surannées de l'Ogre et de Croquemitaine avec les faits tout récents qui ont donné une sinistre illustrations dans notre province, à cette famille des Mauprat. »Bernard devient orphelin à sept ans.
Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 1 - 21-03-2016. Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 2 - 21-03-2016. Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 3 - 21-03-2016. Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 4 - 21-03-2016. Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 5 - 21-03-2016. Amélie lit Mauprat de George Sand - Part 6 - 21-03-2016. La femme au collier de velours. France Culture samedi noir.
Alexandre Dumas > Titre La femme au collier de velours.
In Les mille et un fantômes. Année de publication Genre Nouvelle Collaborateur(s) Epoque du récit Résumé Le livre commence par un premier chapitre consacré à une longue évocation de Charles Nodier, écrivain et ami proche de Dumas, qui l'accueillit à Paris à ses débuts et l'introduisit dans la vie intellectuelle de la capitale. Le récit proprement dit se déroule en 1793, sous la Terreur. Dans la capitale, c'est le spectacle de la mort et de la sensualité qu'il va découvrir : sa première vision sera celle de la du Barry que l'on va guillotiner, la seconde celle d'Arsène, danseuse et maîtresse de Danton, qui porte à son cou un collier de velours dont le fermoir est une guillotine en argent. Fou de joie et gonflé de désir il se précipite chez Arsène qui est absente : Danton vient d'être arrêté et guillotiné, elle s'est enfuie pour ne pas connaître le même sort. Analyse Audrey Gilles.
Sylvie (nouvelle, 1853) Sylvie[1] est une nouvelle poétique de Gérard de Nerval, publiée en 1853 dans la Revue des deux Mondes, puis intégrée en 1854 au recueil des Filles du feu.
Gérard de Nerval : Sylvie. Une observation du tableau permet de distinguer la prééminence de ce temps III qui correspond à un retour du narrateur au Valois de son enfance pour tenter de retrouver la lumière réconfortante de Sylvie ("elle existe, elle!
"). Mais si les épisodes qu'il y raconte sont à peu près situables ou se succèdent en tout cas dans un ordre vraisemblable, le narrateur ne cesse de brouiller les pistes, qu'il accorde à certains souvenirs un crédit incertain (Adrienne à Châalis au chapitre VII), ou qu'il se plaise à indiquer qu'il ne faut y voir qu'une recomposition. Le mélange incessant des niveaux temporels correspond à la volonté de rattraper le temps perdu dans une même appréhension, pour le sauver de l'oubli et attester d'une permanence. Dans ce temps III, le présent lui-même apparaît bien vite comme un passé. GÉRARD DE NERVAL, Sylvie, Souvenirs du Valois : Résumé et recueil de citations (Programme CPGE 2013-2015) - Le blog de POT ETHIQUE A LENTS TICS. Résumé et sélection de citations établis par Bernard Martial, professeur de lettres en CPGE.
Tous les soirs depuis un an, le narrateur va au théâtre, indifférent au spectacle de la salle et de la scène, pour voir une actrice qui joue un rôle secondaire, puisqu’elle n’apparaît souvent qu’à la deuxième ou troisième scène d’une pièce médiocre. Il ne sait pas grand chose d’elle et ne prête guère attention aux rumeurs d’autant qu’un de ses oncles l’a prévenu contre les actrices.
En cette période troublée, il trouve refuge auprès des poètes, ivres de poésie et d’amour. Après le spectacle, il rejoint un cercle d’amis qui trompent leur mélancolie dans des débats enflammés. En rentrant chez lui, il ne peut trouver le sommeil, obsédé par ce souvenir : « toute ma jeunesse repassait en mes souvenirs. Rêve ou véritable souvenir, il fait le lien entre le souvenir d’Adrienne et l’amour qu’il éprouve pour l’actrice, au risque de la folie : « Tout m’était expliqué par ce souvenir à demi rêvé. Ah oui ! Le Poème de l'âme. Le Poème de l'âme - 16.
Le vol de l'âme Le Poème de l’âme de Louis Janmot est l’œuvre d’une vie, étalée de 1835 à 1881. Présentée à l’Exposition universelle de 1855, c’est une œuvre à la fois picturale et littéraire, qui se compose de 18 tableaux suivis de 16 dessins au fusain, le tout inspiré par un long poème de 2 800 vers, également écrit par Louis Janmot. Ce vaste ensemble narre la vie d'une âme sur la Terre, incarnée dans un jeune homme, accompagné de son double féminin. Puis l’œuvre représente la vie de l’homme resté seul à la suite de la disparition de sa compagne, à laquelle s'identifierait l'artiste. Contexte de l'œuvre[modifier | modifier le code] Contexte historique[modifier | modifier le code] Courant artistique[modifier | modifier le code] Le Mouvement nazaréen est un mouvement artistique fondé au début du XIXe siècle par un groupe de six élèves artistes allemands. "Sylvie", m.e.s. Y. Charreton et V. Bettencourt, extraits.