Télétravail. Le télétravail est l'un des modes émergents de travail.
Le télétravail est une activité professionnelle effectuée en tout ou partie à distance du lieu où le résultat du travail est attendu. Il s'oppose au travail sur site, à savoir le travail effectué dans les locaux de son employeur. Le télétravail peut s'effectuer depuis le domicile, un télécentre, un espace de travail partagé, un bureau satellite de l'entreprise ou de manière nomade (lieux de travail différents selon l'activité à réaliser), dans le cadre d'un travail salarié, dans le cadre du travail indépendant. Son développement a été permis par les technologies de l'information (Internet, téléphonie mobile, fax, etc.)[1], les TIC (technologies de l'information et de la communication) notamment l'ADSL[2] puis le très « haut-débit » permis par la fibre optique.
Le « télétravail nomade » a été encouragé par la mondialisation économique[3]. Histoire[modifier | modifier le code] Typologie[modifier | modifier le code] Ces entreprises qui encouragent le télétravail. Les grands groupes : - Alcatel-Lucent France Après différentes expérimentations, la direction d'Alcatel-Lucent France et les organisations syndicales ont signé un accord d'entreprise sur le télétravail en janvier 2008. Plus de deux ans après, environ 1 700 salariés, sur toutes les fonctions, sont détachés de l'entreprise jusqu'à 2 jours par semaine. Soit 25 % de l'effectif total. Spécialisé dans l'inspection, le contrôle, l'analyse et la certification, SGS s'est lancé dans le télétravail au début des années 2000.
. - France Télécom - Orange En juin 2009, le groupe et les organisations syndicales signaient un accord donnant un cadre au télétravail. . - Renault Le constructeur automobile a signé en janvier 2007 un accord sur le télétravail avec l'ensemble des organisations syndicales. . - Axa Le groupe d'assurances expérimente le télétravail depuis décembre 2007, date à laquelle un premier accord a été signé. . - Hama France. Télétravail : Les avantages et inconvénients pour les entreprises. Teletravail Rapport du ministere de Mai2012. Etude mondiale sur la face cachée du télétravail. La société Regus, 1er fournisseur mondial d’espaces de travail flexibles, a interrogé plus de 44 000 travailleurs dans 100 pays pour recueillir leur avis sur le télétravail.
Beaucoup de travailleurs à domicile redouteraient la solitude ainsi que l’amoindrissement de leur vie sociale. Une opportunité pour les tiers-lieux professionnels. Sans surprise l’étude confirme une attente forte de télétravail chez les salariés interrogés. Pour 74 % des sondés, un cadre de travail alternatif est propice à une réduction du stress. Et 52 % des professionnels déclarent travailler ailleurs que dans leur bureau plus de la moitié de la semaine. Dans le même temps, ils déplorent un mélange croissant vie privée/vie professionnelle. Peut-être par manque de préparation au télétravail, 29 % affirment que leur famille voit d’un mauvais œil l’aménagement d’un espace de travail au sein du foyer.
Les bénéfices du télétravail chez Michelin et Econocom. La directrice de Yahoo! en croisade contre le télétravail. Le télétravail est en croissance, vanté comme un moyen de mieux concilier vie familiale et professionnelle, et de réduire les coûts de transport et la pollution.
Mais Yahoo! Vient de rouvrir le débat sur son intérêt aux Etats-Unis. La patronne du groupe Internet, Marissa Mayer, a décidé que tous les salariés seraient désormais obligés de venir au bureau, pour "ressentir l'énergie et l'excitation" du travail en équipe, selon un document interne dévoilé cette semaine par le Wall Street Journal. "La vitesse et la qualité sont souvent sacrifiées quand on travaille de la maison. Nous avons besoin d'être un Yahoo! Le groupe va à l'encontre de la tendance générale. Chez l'équipementier en télécommunications Cisco Systems, qui développe des réseaux privés virtuels utilisés pour sécuriser l'accès à distance au réseau d'une entreprise, l'employé moyen travaille en dehors des murs de l'entreprise en moyenne deux jours par semaine. Perplexed by Yahoo! >> Lire : "Une 'Googirl' à la tête de Yahoo! "