L'Algérie affronte une guérilla urbaine» Alain Labrousse, Les Tupamaros. Des armes aux urnes. 1Cet ouvrage est paru quelques mois avant l’élection de José « Pépé » Mujica, figure historique du groupe guérillero des années 1960-1970, à la présidence de l’Uruguay le 29 novembre 2009. L’auteur, spécialiste de la géopolitique des drogues mais aussi grand connaisseur de l’Amérique latine à laquelle il a consacré de nombreux ouvrages, revient sur l’histoire d’une organisation déjà objet de son premier livre, publié en 1971 au terme d’un séjour de six ans comme professeur de lettres au lycée français de Montevideo.
Son objectif d’aujourd’hui est toutefois bien différent : retracer, depuis sa fondation, près d’un demi-siècle d’histoire du mouvement, tenter d’en dégager l’originalité et, surtout, de comprendre sa survie et ses mues qui en font un exemple unique dans le cône Sud de guérilla urbaine à s’être relevée de la défaite des armes au point de se transformer en une des principales forces politiques actuelles de l’Uruguay démocratique. Irak, Syrie: techniques de guérilla urbaine. Gérard Chaliand. Á l’ÉPOQUE moderne, la guérilla urbaine, c’est-à-dire l’usage du terrorisme et du sabotage en milieu urbain, commence avec les nationalistes irlandais menés par Michael Collins juste après la Première Guerre mondiale. Leur lutte déboucha sur l’indépendance de l’Irlande en 1921. Histoire contemporaine de la guérilla urbaine Substitut à la guérilla rurale, compte tenu, entre autres, des conditions géographiques, ce modèle a servi d’inspiration aux activités clandestines des sionistes de l’Irgoun et du groupe Stern (1945-1947), également avec succès.
Deux décennies plus tard, l’Ira reprend en Ulster les mêmes méthodes à partir de 1969 et parvient, malgré la pugnacité des forces britanniques, à finalement arracher, après trois décennies, des concessions très substantielles. Le terrorisme en ville s’est développé avec l’urbanisation accélérée, la médiatisation par l’image et par la prolifération de groupes radicaux, souvent sans base de masse. Copyright Octobre 2012-Chaliand/Diploweb.com Plus . Nicaragua : des manifestants pas si pacifistes... (DECRYPTAGE)
Un rapport de la Commission interaméricaine des droits de l'homme sur la situation au Nicaragua fait état de 212 morts dans des manifestations et pointe la responsabilité exclusive du gouvernement. Des événements pourtant loin d’être aussi simples. Le Nicaragua, pays le plus pauvre d'Amérique après Haïti, traverse une période explosive et complexe à décrypter pour les observateurs internationaux. Mais à y regarder de plus près, n'y a-t-il pas un air de déjà vu ? Depuis le 18 avril, des manifestations d'une rare violence ont lieu dans plusieurs villes du pays, déstabilisant un pays déjà bien fragile économiquement.
Dans la rue s'opposent des manifestants anti-gouvernementaux, aux allures parfois d'émeutiers, et des groupes pro-gouvernementaux sandinistes ainsi que les forces de l'ordre. Il y a d'une part des manifestants se prétendant pacifistes et réprimés, et d'autre part le gouvernement qui se dit être la cible d'éléments voulant la déstabilisation du pays. Ces morts qui ressuscitent. Reinformation. L’armée allemande s’interroge sur l’extension de ses missions, et notamment au nécessaire maintien de la paix civile. A l’occasion de la deuxième « International Urban Operations Conference », qui s’est tenue à Berlin du 20 au 22 octobre dernier, les participants ont planché sur « le maintien et la création de la stabilité en milieu urbain », à partir de l’expérience des quatre cents délégués venus de quarante pays, dont certains connaissent des difficultés très vives en la matière, allant jusqu’à la guérilla urbaine en Afghanisant, Irak ou Kosovo.
Selon les organisateurs (tels les Centre d’instruction de l’armée allemande et l’Association allemande pour la technologie de défense), en effet, « de nouvelles menaces d’insurrection, de terrorisme et de guerre de guérilla ne peuvent être combattues que par une technologie de pointe mise au service du renseignement, des moyens de reconnaissance et de surveillance ». Militaires et industriels ensemble pour contrer la guérilla urbaine. M15386. L’art de la guerre urbaine. SUN TZU écrivait : "Ainsi ceux qui sont experts dans l’art de la guerre soumettent l’armée ennemi sans combat. " Prendre la ville sans combat est LE principe caduc de Sun-Tsu. Sun Tzu vivait et écrivait à l’âge agraire, lorsque l’essentiel des terres étaient sauvages ou cultivées. Le monde moderne s’est urbanisé à un degré sans précédent : des prévisions récentes basées sur les statistiques de population et les tendances migratoires prévoient que 85% de la population mondiale résidera dans des zones urbaines en l’an 2025.
Comme cette tendance à l’urbanisation s’accroît, la valeur militaire des villes augmentera proportionnellement. Aucun continent, ni l’État n’échappent au phénomène croissant d’urbanisation. L’environnement des villes et de leurs banlieues s’impose comme l’horizon tactique des forces engagées. L’importance de ces espaces et l’urbanisation de l’ensemble de l’humanité rendent en effet inévitable que les villes soient, demain, les espaces de bataille par excellence. Sources : Scènes de guérilla urbaine à la Villette - Vaud. Année après année, c'est la même histoire ou presque. Dans les quartiers yverdonnois de la Villette et de Sous-Bois, des débordements se produisent la nuit du 1er Août. Et l'édition 2018 n'a pas dérogé à la règle, loin de là. Dans le quotidien «24 heures», le capitaine Raphaël Cavin, chef de la division opérationnelle de Police Nord vaudois explique que: «Les scènes auxquelles nous avons assisté s'apparentaient quasi à de la guérilla urbaine.»
Jeunes bien organisés Pour le coup, une soixantaine de jeunes armés d'engins pyrotechniques ont affronté les forces policières, pourtant présentes en nombre. Les jeunes étaient bien organisés et communiquaient entre eux par téléphone, afin d'analyser les déplacements des policiers et balancer sur eux leurs explosifs au moment opportun. Le vacarme a commencé vers 22 h et le calme a finalement pu être restauré vers 2 h du matin. (xfz) loading ... Scènes de guérilla urbaine dans les favelas de Rio de Janeiro. Des combats entre gangs ont dégénéré en affrontements avec la police, le 17 octobre. Douze personnes ont été tuées. C'est la première fois qu'un hélicoptère de la police est abattu par les tirs d'une bande criminelle. De tels incidents sanglants ne peuvent que ternir l'image de la ville. LE MONDE | 19.10.2009 à 15h59 • Mis à jour le 29.10.2009 à 16h47 | Par Jean-Pierre Langellier - Rio de Janeiro Correspondant régional Trois des victimes seraient de simples résidents, victimes de balles perdues.
Six autres personnes ont été blessées, dont un policier grièvement brûlé. Au moins huit autobus ont été incendiés. Tout commence en pleine nuit selon le scénario classique d'un affrontement territorial entre deux gangs dans le quartier populaire de Vila Isabel, dans le nord de Rio, non loin du célèbre stade de Maracana, où se tiendra en 2016 la cérémonie d'ouverture des JO. La police craignait depuis plusieurs années déjà de voir l'un de ses hélicoptères touché par des tirs. Pour M. Voyage apostolique à Sarajevo : Messe au Stade Koševo (6 juin 2015) | François. Messe au cimetière militaire de Redipuglia (13 septembre 2014)
Cimetière militaire de Redipuglia Samedi 13 septembre 2014 Vidéo Galerie photographique Après avoir contemplé la beauté du paysage de toute cette région, où des hommes et des femmes travaillent en faisant vivre leur famille, où les enfants jouent et où les personnes âgées rêvent… me trouvant ici, en ce lieu, non loin de ce cimetière, je trouve seulement à dire : la guerre est une folie. Alors que Dieu dirige sa création et que nous les hommes, nous sommes appelés à collaborer à son œuvre, la guerre détruit. Elle détruit aussi ce que Dieu a créé de plus beau : l’être humain. La cupidité, l’intolérance, l’ambition du pouvoir… sont des motifs qui poussent à décider de faire la guerre, et ces motifs sont souvent justifiés par une idéologie ; mais d’abord il y a la passion, il y a une impulsion déformée. Au-dessus de l’entrée de ce cimetière, flotte la devise narquoise de la guerre : « Que m’importe ? Cette attitude est exactement à l’opposé de ce que demande Jésus dans l’Évangile.
Béatification controversée de "martyrs" de la guerre civile espagnole. Le manuel de guérilla urbaine, par Carlos Marighella (PDF) Politique sur les Cookies Utilisation générale Nous utilisons des cookies, des pixels de suivi et des technologies connexes sur notre site Web. Les cookies sont de petits fichiers de données qui sont servis par notre plate-forme et stockés sur votre appareil. Notre site utilise des cookies déposés par nous ou par des tiers à diverses fins, y compris pour exploiter et personnaliser le site Web. De plus, des témoins peuvent également être utilisés pour suivre la façon dont vous utilisez le site pour cibler des publicités vers vous sur d'autres sites Web. Tiers Notre site Internet utilise l'utilisation des différents services de tiers. Grâce à l'utilisation de notre site Web, ces services peuvent placer des cookies anonymes sur le navigateur du visiteur et peuvent envoyer leurs propres cookies au fichier cookie du visiteur.
La bataille de Mossoul se mue en guérilla urbaine. Aux participants à la Rencontre mondiale des mouvements populaires (28 octobre 2014) Salle ancienne du Synode Mardi 28 octobre 2014 Bonjour à nouveau, je suis heureux d’être avec vous, et je vous fais une confidence : c’est la première fois que je descends ici, je n’étais jamais venu. Comme je vous le disais, j’éprouve une grande joie et je vous souhaite une chaleureuse bienvenue. Merci d’avoir accepté cette invitation à discuter des nombreux et graves problèmes qui affectent le monde d’aujourd’hui, vous qui vivez dans votre chair les inégalités et l’exclusion. Merci au cardinal Turkson pour son accueil, merci, Éminence, pour votre travail et pour vos paroles. Cette rencontre des Mouvements populaires est un signe, un grand signe : vous êtes venus exposer en présence de Dieu, de l’Église et des hommes, une réalité qui est souvent passée sous silence. Les pauvres non seulement subissent l’injustice, mais ils luttent également contre elle !
Ils ne se contentent pas de promesses illusoires, d’excuses ou d’alibis. Notre rencontre ne répond pas à une idéologie. Terre.