Accueil. FranceGenWeb - Le portail de la généalogie en France. [recherches généalogiques] Aborder les registres paroissiaux (1) Un jour, une date… et le généalogiste doit aborder les registres paroissiaux, les fameux registres de catholicité appelés « BMS ».
Vous y êtes ? Pas de panique, pas de précipitation, voici quelques conseils pour bien démarrer cette nouvelle étape de la quête de vos ancêtres. Établir une généalogie au XIXe siècle n’est pas toujours un long fleuve tranquille. Toutefois, les tables décennales, l’écriture d’un français presque contemporain, etc. rendent les recherches relativement « confortables ». Mais avant la Révolution, l’État Civil n’était tenu que par les représentants de l’Église. Quel est votre point de départ ? En règle générale, une recherche dans les registres paroissiaux débute par la quête de l’acte de baptême d’un ancêtre, après avoir trouvé son mariage et éventuellement son décès après la Révolution. Quelles sont les ressources proposées par les archives en ligne ? Je vous y prends ! Trouver la bonne année ! La fin ?! Trouver l’acte de baptême et… tout noter ! [recherches généalogiques] Aborder les registres paroissiaux (2) Dans mon précédent billet, je décrivais la méthode, le déroulement d’une première recherche dans les registres paroissiaux, dits « BMS », en évoquant le cas idéal d’une recherche immédiatement couronnée de succès.
Tout généalogiste sait bien qu’il n’en va pas toujours ainsi et que les difficultés ne manquent pas de survenir : registre paroissial non disponible, acte de baptême introuvable… Vous ne trouvez pas le registre paroissial numérisé dans lequel se trouve l’acte de baptême de votre ancêtre, précieux sésame pour poursuivre votre exploration généalogique. Avez-vous bien lu mon précédent article ? Commencez par consulter les informations fournies sur le site des Archives Départementales (ou communales). Osez aussi vous attaquer aux « instruments de recherche » ou autres « cadres de classement ». Retournez ensuite sur le moteur de recherche du site, pour consulter la liste intégrale des registres disponibles sur la commune qui vous intéresse. Généalogie : des ancêtres en nombres (1) - dénombrement. Les recherches généalogiques permettent de découvrir nombre d’ancêtres.
Oui, mais combien ? C’est ce que je vous invite à (re)découvrir : le nombre théorique d’ancêtres, le nombre réel d’individus que l’on peut espérer compter dans son arbre généalogique, le lien avec l’histoire… Le nombre théorique d’ancêtres Chaque personne étant issue de 2 parents, le nombre théorique d’ascendants double à chaque génération. Définition du De cujus en généalogie. Généalogie : des ancêtres en nombres (2) - numérotation.
Avec le nombre d’ancêtres trouvés, et nous avons constaté dans le premier billet que ce nombre peut devenir conséquent, numéroter devient une nécessité.
Mais comme vous n’êtes pas obligés de me croire, voici donc deux bonnes raisons de numéroter vos ancêtres : 1. pour identifier chaque ancêtre de manière certaine, avec plus de facilité et 2. pour différencier les individus, et surtout les ancêtres homonymes. Nous nous intéresserons dans un premier temps à la fameuse numérotation ascendante Sosa-Stradonitz, avant d’évoquer brièvement les différentes numérotations descendantes. Et en fin d’article, un petit outil destiné aux généalogistes. Mise au point en 1676 par Jérôme de Sosa qui reprenait la méthode utilisée par Michel Eyzinger (un ouvrage consultable sur Google Books, voir pages 146 et 214), la numérotation dite « Sosa-Stradonitz » est popularisée en 1898 par Stephan Kekulé von Stradonitz (1863-1933).
Notez que la numérotation Sosa-Stradonitz n’est pas exempte de défauts. Généalogie : des ancêtres en nombres (3) - degrés de parenté. Définition de l'implexe en généalogie. Vous avez dit « implexe » ?
Mais que signifie en généalogie ce terme peu avenant, car peu usité et rimant immédiatement avec complexité. Un terme que les logiciels spécialisés de généalogie utilisent pourtant, notamment pour modifier certains paramétrages de l’affichage des arbres généalogiques ou de numérotation des ancêtres trouvés. Alors, un implexe, qu’est-ce que c’est ? Dans tous les dictionnaires « anciens » (j’en ai consulté plus de vingt), je trouve uniquement deux définitions concordantes de l’adjectif « implexe », qui ne varient pas ensuite dans les autres dictionnaires jusqu’au début du XXe siècle (par exemple le Larousse de 1919 et 1922) : Dictionnaire de la langue française, Tome 3, par Émile Littré | L. Je n’ai pas réussi à trouver l’origine ni la première utilisation du terme « implexe » en généalogie. À moins que ce ne soit simplement l’étymologie de ce mot. Le fameux « NEMO » (dictionnaire généalogique d’Alain Némo) en donne non pas une, mais trois définitions :
Old Maps Online. Calendrier républicain par mois complets. GREBIB - Annexes - Miscellanées BnF - Guide de recherches généalogiques. Outils et méthodes pour mener à bien des recherches généalogiques.
Une recherche généalogique ne se limite pas à rassembler des informations biographiques mais fait appel à de nombreux domaines : histoire régionale et locale, héraldique, topographie, anthroponymie, mœurs et coutumes… Les documents utiles à la généalogie conservés à la BnF concernent principalement l’histoire des familles françaises. Le Centre national des archives de l'Église de France (CNAEF) Le CNAEF a pour mission de collecter, trier, classer, conserver et communiquer les archives des services et instances de la Conférence épiscopale, organisme de collégialité des évêques en France, créé en 1964.
En outre, il accueille, conserve et valorise des dons et dépôts d'archives intéressant l'histoire de l'Église catholique en France et provenant de sources diverses : instituts religieux, mouvements de laïcs, personnes privées, ... Définition du De cujus en généalogie.