Pourquoi il ne faut plus avoir peur de prendre des risques - 6 juin 2014. "Organiser un colloque avec des civils, voilà ce qu’est le risque!
" Cette boutade prononcée par Vincent Minguet a ouvert le colloque Osez le risque! Organisé ce vendredi 6 juin à l’école militaire (Paris) par trois écoles, l’Ecole de guerre, HEC et l’ENA. A ses côtés, les deux autres représentantes de ces institutions prestigieuses de l’enseignement supérieur lui donnent la réplique dans une saynète préparée pour l’occasion. Sur le ton de la dérision, les trois partenaires abordent les sujets comme l’application du principe de précaution qui sera plus tard développée par les intervenants des deux tables rondes.
Osez le risque, donc. Principe de précaution Le Général d’armée Muller, a lui, son analyse sur la paralysie de la société française. De plus, "il y a une appréciation objective et subjective du risque. Sur ce point, Alexis Gublin, avocat au barreau de Paris, cite en exemple notre peur du requin. " Prendre un risque peut être salvateur. Innovation : les 5 leçons de la méthode Dyson. James Dyson ?
C'est sans conteste une des figures les plus marquantes dans le domaine de l'entreprise et de l'innovation. Avec Steve Jobs ou Elon Musk (patron de Tesla Motors et Space X), l'inventeur de l'aspirateur sans sac, sèche main ultra-rapide ou du ventilateur sans pale marque ce début de XXIème siècle. Chacun des produits qu'il met au point ont cette ambition de simplifier la vie de ses utilisateurs, de leur apporter un réel avantage compétitif. Un succès qui ne doit rien au hasard mais tout à sa manière de développer ses innovations. Comme il aime à la rappeler au fil de ses interviews (qui ont permis de construire cet article), l'innovation n'est pas une formule magique mais un mélange de créativité et de rigueur où une idée se transforme, par itération successive, en innovation. 1.
"N'écoutez pas les experts ! Les MOOCs d'équipes débarquent ! Ah, les MOOCs !
On s'en éloigne un moment et quand on revient, un nouvel épisode est déjà commencé ! L'épisode de la semaine s'appelle "MOOCs d'équipes". Quoi de nouveau là-dedans, allez-vous dire. Personne (ou presque...) ne se lance tout seul dans la conception et l'animation d'un cours massif ouvert en ligne ! Vous avez raison. La nouveauté de ces derniers jours ne tient donc pas à la taille globale des équipes concevant des MOOCs, mais au nombre de personnes engagées sur leur conception pédagogique.
Un cours, un prof Nous l'avions dit ailleurs, le MOOC signe un certain "retour du prof" au centre de la formation en ligne. Certains profs mooqueurs se font aider d'un assistant pour tailler dans leur cours initial, le découper en petites bouchées digitales digestes. Les cMOOCs fonctionnent différemment. On l'aura compris : X ou C, les MOOCs étaient jusqu'à présent rarement l'affaire d'un groupe de concepteurs. Devenir entrepreneur du changement. Ne pas faire d’erreurs est la plus grosse erreur, Le Cercle. Il ne faut pas avoir peur de commettre des erreurs, car ceux-ci sont souvent source de nouvelles idées.
Il vaut mieux se tromper que de ne rien tenter par peur du changement. Plutôt que de considérer l’erreur comme un échec, mieux vaut y voir une source d’enseignement. Il vaut toujours mieux apprendre de ses erreurs que d’éviter de prendre des risques et se laisser devancer par la concurrence. Toutes les erreurs ne se valent pas L’erreur passive est celle qui résulte de l’omission. Dans l’industrie du divertissement, quantité de magasins de location de vidéos ont été sacrifiés sur l’autel de la modernité à l’arrivée des services de vidéo à la demande. À l’inverse, l’erreur active s’inscrit plutôt dans une volonté de changement. Accepter la part de risque Bien entendu, ça ne veut pas dire qu’il faut suivre aveuglément chaque nouvelle idée.
Éviter le statu quo. Agilité ou agitation managériale. Entreprise libérée. Inspirer l'action par le "Why" ! Rendre le travail visible : la solution pour sortir de la crise.
Management. Le SENS. Innovation. BONUS. Intelligence collective.