Par : Alex Dutilh. Par : Alex Dutilh. OpenJazz. Les dix ans du SFJAZZ Collective, en compagnie de Randall Kline, fondateur et directeur artistique. Invité : Inauguré en janvier 2013 dans le quartier de Hayes Valley, le SFJAZZ Center est la seule institution du jazz aux États-Unis a avoir été pensée spécifiquement pour le jazz.
Le bâtiment, qui a coûté 64 millions de dollars, a été conçu par l’architecte Mark Cavagnero et la gestion en est assurée par l’équipe de SFJAZZ, une association initialement créée en 1983 pour organiser le San Francisco Jazz Festival. À côté des deux salles de concert (700 et 110 places) et de celles qui accueillent des activités pédagogiques ou les répétitions, un café et une boutique, il abrite trois œuvres murales en céramique, "Jazz and The Nation", "Jazz and The City" et "Jazz and The Afterlife", réalisées par les artistes californiens Sandow Birk et Elyse Pignolet. Papanosh, de cinq à sept. Sylvain Rifflet, le mécanicien du tempo. Cécile McLorin Salvant, la plume et le pinceau.
Au sommaire aujourd'hui ► Cécile McLorin Salvant à la Une ► Jazz au Trésor : Jon Eardley - Quartet, Quintet & Septet ► Jazz Agenda : semaine du 07 au 13 septembre 2015 ► Jazz Culture : Back to the Roots, une initiative pour les autistes ► TOUS LES TITRES DIFFUSES SONT EN BAS DE PAGE A LA RUBRIQUE "PROGRAMMATION MUSICALE" Cécile McLorin Salvant, formidable chanteuse de 25 ans, s’est révélée au grand public avec l’album « WomanChild » en 2013.
Ce second album, très attendu, s’intitule « For One To Love ». Il expose brillamment les contrastes entre l’amour et l’envie, le plaisir et le désir. Cécile a composé cinq chansons originales. Chaque composition ou reprise explore des thèmes sous-jacents de l'album et affiche la forte personnalité de Cécile, sa vive intelligence, son humour, sa lucidité et un romantisme absolu.
"For One To Love' met en valeur la voix fascinante de Cécile : des aigus frémissants et des graves qui remuent l’âme, le tout livré avec grâce et style. Tigran Hamasyan, ode à l'Arménie. Au sommaire aujourd'hui ► Tigran Hamasyan à la Une ► Jazz au Trésor : Bill Evans - The Canadian Concert ► Jazz Agenda (semaine du 31 août au 06 septembre 2015) ► Jazz Culture : The Hot Spot en DVD ► Jazz Trotter : Pat Metheny au Detroit Jazz Festival ► TOUS LES TITRES DIFFUSES SONT EN BAS DE PAGE A LE RUBRIQUE "¨PROGRAMMATION MUSICALE" Avec son premier album pour ECM « Luys i Luso », Tigran Hamasyan s’engage dans une exploration de la musique religieuse arménienne.
Il a sélectionné des hymnes et sharakans (des chants liturgiques de l’Arménie) ainsi que des chants de Grigor Narekatsi, Nerses Shnorhali, Mesrop Mashtots, Mkhitar Ayrivanetsi, Grigor Pahlavuni, Komitas et Makar Yekmalyan, les arrangeant pour voix et piano. Ces musiques couvrant une période allant du Vème jusqu’au XIXème siècle. . « Luys i Luso » (Lumière de la Lumière) a été enregistré à Yerevan en octobre 2014, produit par Manfred Eicher, et paraît en cette année qui commémore les cent ans du génocide arménien de 1915.
Ron Carter, les ors de Cologne. Hugh Coltman, dans la lumière de Nat King Cole. Au sommaire aujourd'hui ► Hugh Coltman à la Une ► Jazz au Trésor : Bill Evans - The Canadian Concert ► Jazz Agenda : semaine du 31 août au 06 septembre 2015 ► Jazz Culture : Low Down - Amy-Joe Albany ► Jazz Trotter : Joe Manis - The Golden Mean ► TOUS LES TITRES DIFFUSES SONT EN BAS DE PAGE A LA RUBRIQUE "PROGRAMMATION MUSICALE" « Shadows - Songs of Nat King Cole » est un projet que Hugh Coltman mûrit depuis plusieurs années.
Son parcours et le début de sa carrière l'amènent loin des sphères du jazz. Il mène depuis 20 ans un projet blues : The Hoax avec lequel il continue de tourner, et publie en parallèle deux albums solo résolument pop chez Mercury («Stories From The Safe House«", 2008 ; «Zero Killed«, 2012) qui font découvrir ce chanteur British, parisien d'adoption, à un public séduit par sa voix unique, puissante et rocailleuse, et sa musique pop / folk sensible et douce. Arrive alors l'enregistrement de l'album.
Où écouter Hugh Coltman La suite de sa tournée en cliquant sur le lien. Rémi Panossian, la passe de trois. Yaron Herman, duo sur canopée. En direct du 36ème Festival International de Jazz de Montréal (5/5) Du lundi 29 juin au vendredi 4 juillet, Alex Dutilh nous proposera en direct le best of des concerts de la veille, captés dans les salles du plus grand festival de jazz de la planète en se jouant du décalage horaire.
Le rappel des chiffres (on est en Amérique du Nord…) : le Festival International de Jazz de Montréal, c'est plus de 2 millions de festivaliers en 10 jours, un total de 3000 musiciens venant de plus de 30 pays, 400 journalistes accrédités, 9 scènes extérieures gratuites, 10 salles de 300 à 3000 places, regroupées sur 4 blocks en plein centre-ville, un budget avoisinant les 30 millions de dollars canadiens (20 millions d'euros). Vijay Iyer ©Clena Adasheva > Vijay Iyer (piano), Stephan Crump (contrebasse), Tyshawn Sorey (batterie) Monument National, 1er juillet, 20h Theo Croker ©William Croker / Snarky Puppy ©Victor Diaz Lamich.