L’invention du dispositif : Surveiller et punir - Utpictura18 Critique et théorie. Pour citer ce texte : Stéphane Lojkine, cours d’initiation à a french theory, mars 2012.
Le Chili, pays du street art. Le phénomène du « Street Art » attire l’attention de milliers de personnes dans les rues.
Depuis les années 70 avec la naissance du graffiti à New York jusqu’à ces dernières années lors des grands festivals d’art, le mouvement de la « peinture urbaine » a explosé dans le monde entier. En Savoir + : Arts Et Culture, Art précolombien : Avenue Colombie, produits de l'artisanat de Colombie. Art précolombien Pour les cultures précolombiennes la grande catastrophe de la Conquête n’a pas été le fait d’avoir perdus leurs objets, l’or… la tragédie fût le fait de contempler l’effondrement de leurs croyances et de leur culture.
Leurs dieux ont été changés par d’autres idoles, leurs coutumes, leurs langues, leur musique, c'est-à-dire leur mode de vie forgé pendant des siècles a été transformé comme si c’était un simple troc d’objets sans valeur. Quand les espagnols sont arrivés au Nouveau Monde ils n’étaient pas en mesure d'accorder la moindre valeur aux cultures qu'ils rencontraient, ils n'étaient que des guerriers venus pour s’enrichir. Buenos Aires, ville de design. Buenos Aires concentre les plus variées et intéressantes propositions pour les exploreurs de nouvelles tendances.
Dans les rues et vitrines du quartier auparavant connu comme Palermo Viejo, aujourd’hui rebaptisé Palermo Soho ; dans les décors des restaurants et hôtels ; parmi les antiquaires de San Telmo où il y a chaque fois plus de jeunes designers locaux ; dans les librairies qui abritent des étagères entières consacrées au design ; dans l’élégante Recoleta ; dans les facultés et musées ; dans le quartier industriel de Barracas, siège du nouveau Centre Métropolitain du Design et même dans le look et les maisons d’une grande partie des porteños. Buenos Aires a incorporé le design comme un partie de sa culture à tel point qu’en 2005 elle a été déclaré Ville du Design par l’UNESCO. Graphisme et design cubains.
Aujourd’hui les designers formés à l’Instituto Superior de Diseño de La Havane – spécialité communication visuelle – s’appellent Nelson Ponce, Giselle Monzón, Raúl Valdés (Raupa) ou encore Pepe Menéndez pour les plus connus… et ils travaillent et enseignent dans le monde entier.
Du côté du design industriel, ça foisonne également. Et n’allez pas croire que le talent de cette nouvelle génération se limite à dessiner des boîtes de cigares… Siège de la série Vibra, Raiko Valladares et José A Villa, 2015. photo droits réservés Erick León Bolinaga, logo pour Mozilla Firefox, communication interne 2014. L'histoire de Cuba. Le XXe siècle L'administration américaine.Le traité définitif de paix signé à Paris entre l'Espagne et les États-Unis stipulait l'abandon par l'Espagne de tout droit de souveraineté sur Cuba.
L'île devait, après son évacuation par l'Espagne, être occupée par les États-Unis, mais ceux-ci avaient déclaré qu'ils repoussaient toute intention d'exercer une souveraineté, une juridiction ou un contrôle sur l'île de Cuba, et qu'une fois la pacification accomplie, ils laisseraient le gouvernement et le contrôle de l'île au peuple cubain. Le dernier délai pour l'évacuation fut fixé au 1er janvier 1899. Un nouveau gouverneur militaire, le major général Wood, fut installé le 13 décembre 1899. 52450ac. « Cuba gráfica ». L’histoire de Cuba par l’image. Les éditions L’Echappée publient un livre beau et intelligent consacré à l’histoire de l’affiche graphique cubaine [1].
Beau livre, il l’est assurément par la qualité de la présentation de trois-cent affiches qui explorent un siècle cubain. Cet objet presque carré trouverait certainement sa place dans une bibliothèque entre d’autres livres élégants sur les beaux-arts ou l’architecture. Beau livre… mais aussi livre intelligent qui offre une lecture de cette histoire cubaine, tant celle de l’affiche l’embrasse.
« Cuba gráfica ». L’histoire de Cuba par l’image. La vie de José Guadalupe Posada, dessinateur mexicain. Calavera « Don Quichotte » « Esta es de Don Quijote, la primera, la sin par, la gigante calavera » « C'est Don Quichotte, le premier, l'incomparable, le crâne géant » « Voici de don Quichotte le squelette vaillant, disposé à démolir quiconque se mettra devant.
Ni curés, ni gens de lettres, ni hommes de loi, ni médecins, ces beaux messieurs ne pourront se soustraire aux mauvais moments qu'il leur fera passer. » Cette mort révolutionne une société particulière finissante dans un discours de type apocalyptique, à une époque particulière (changement de siècle, centenaire de l'indépendance), en s'attaquant à la Modernité technique qui est sa rivale. ¿Conoce usted a Posada? Calavera Las Bicicletas, de José Guadalupe Posada Imagen: Cortesía Colección Andrés Blaistein DE LA PENUMBRA AL DESLUMBRAMIENTO José Guadalupe Posada es uno de los artistas más celebrados de México: su trabajo es objeto de constantes homenajes, numerosas exposiciones y monografías y sus geniales calaveras han sido reconocidas como un arquetipo nacional y universal; de hecho, su Calavera catrina es una de las imágenes más conocidas del arte mexicano y uno de los iconos de la nación.
El culto a la obra y la figura de Posada está tan arraigado desde hace décadas en la cultura de este país, que cuesta creer que el grabador haya sido menospreciado en su época: en vida, su trabajo nunca es reseñado por la crítica y sus colegas prácticamente no lo mencionan jamás; de modo casi anónimo, este maestro de obras de obras maestras realiza cientos y cientos de estampas que retratan la pluralidad delirante del México porfiriano. Su obra está dirigida a un público de ciudadanos pobres, como él. Moralisme. 2000-2012 : l’art mexicain en résistance. Un regard neuf sur les jeunes artistes mexicains Organisée par les commissaires Angeline Scherf et Angeles Alonso Espinosa, Resisting the Present s’inscrit dans une série d’expositions dédiées au Mexique ces dernières années à Paris.
Expositions individuelles d’une part – dont celle de Damian Ortega (2008) et de Gabriel Orozco (2010-2011) au Centre Georges Pompidou, ou encore l’exposition monographique de Fernando Ortega, actuellement au Palais de Tokyo – collectives d’autre part – notamment celle qui a eu lieu à la Maison Rouge, La collection Coppel, Mexico : expected/unexpected (2009). Les héros anonymes de la révolution mexicaine.