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Destruction des armes et munitions

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Menaces en Mers du Nord - Documentaire (01/01/2019) Menaces en mer du nord. Operation Davy Jones' Locker. Operation Davy Jones' Locker (or Davey) was a U.K. and U.S. military operation from 1946-1948.

Operation Davy Jones' Locker

It involved the dumping at sea of captured German chemical weapons following the end of World War II. Background[edit] In the aftermath of the Nazi defeat in World War II the occupying allies found large amounts of stockpiled German chemical weapons. They quickly convened the Continental Committee on Dumping and came to agreement pertaining to the destruction and disposal of the chemical stockpile. The allies decided that each of the four nations would destroy the German weapons, on their occupied territory, in whatever manner was most convenient.

Operation[edit] See also[edit] Notes[edit] ^ Jump up to: a b c Chepesiuk, Ron. References[edit] Kassim, Tarek A. and Barceló, Damià. Armes chimiques : "La France n'a pas su les détruire, comment la Syrie ferait-elle ?" Première publication : 11/11/2013 - 17:49Dernière modification : 12/11/2013 - 07:02 Alors que la Syrie s'est engagée à détruire son stock d'armes chimiques, les commémorations de la Première Guerre mondiale font ressurgir le sujet en France.

Armes chimiques : "La France n'a pas su les détruire, comment la Syrie ferait-elle ?"

Cent ans après, 230 tonnes de munitions n'ont pas encore été traitées dans l'hexagone. La "sale guerre" porte bien son surnom. Alors que les commémorations autour du centenaire de la Première Guerre mondiale viennent de débuter, le conflit continue de polluer le sol de France. Chaque année, d’après les chiffres du ministère de l’Intérieur, 10 à 20 tonnes de munitions chimiques sont encore ramassées sur les champs de bataille dans le nord et l’est du pays. Gaz moutarde et pétardement Ces armes chimiques sont apparues pour la première fois lors de la deuxième année du conflit. Au sortir de la guerre, cette course à l’armement chimique laisse des traces. "Un pied de nez de l’histoire" SECOIA - Site d’élimination de chargements d’objets identifiés anciens. Le site d’élimination de chargements d’objets identifiés anciens (SECOIA) accueillera l’installation qui détruira les munitions chimiques anciennes, conformément aux engagements pris par la France en ratifiant la convention internationale d’interdiction des armes chimiques en mars 1995.

SECOIA - Site d’élimination de chargements d’objets identifiés anciens

Les munitions, issues de la Première Guerre mondiale, sont collectées et stockées par la Direction générale de la sécurité civile et de la gestion des crises (DGSCGC) du ministère de l’Intérieur. L’installation réalisée effectuera la destruction des munitions et de leurs contenu toxique sans aucune intervention humaine directe, ni rejet dans l’environnement. Les déchets et effluents générés par le procédé de destruction seront traités dans le strict respect de la réglementation nationale en vigueur.

L’installation aura une capacité de destruction maximale de 42 tonnes par an (soit environ 3000 munitions). Déminage. M.

Déminage

Jacques LARCHÉ, président Nous venons d'entendre Messieurs Sappin et Perret. Le colonel Lagrange a bien voulu répondre à la demande que nous lui avons adressée. Il est chargé du territoire national au Centre opérationnel interarmées. Colonel Lagrange, vous connaissez les problèmes qui nous préoccupent concernant le déminage et le repérage des munitions. M. le colonel Michel LAGRANGE Monsieur le Président, Messieurs les Sénateurs, au sein du Centre opérationnel interarmées, je suis chargé de toutes les actions menées par les Armées sur le territoire national, DOM-TOM y compris. Dans mon exposé, je rappellerai l'importance de l'affaire Vimy/Suippes pour les Armées.

Notre engagement dans l'affaire de Vimy relève, entre autres, de l'aide au service public responsable des secours à la population. J'aimerais insister sur un point. Lorsque nous sommes appelés en renforcement des actions menées par la Sécurité civile, notre pouvoir est engagé dans deux importants domaines. Le lourd héritage des munitions de guerre. Lourd héritage, Fabienne Loodts @paysagesenbataille.be A l’Ouest de l’Europe, la première guerre mondiale s’est concentrée durant 4 ans le long d’un ligne de front continue de 700 kilomètres.

Le lourd héritage des munitions de guerre

Cette concentration d’armements inédite dans l’Histoire a pollué le sol de façon durable. « On estime que le nombre 1455 millions d’obus ont été tirés sur la ligne de front », explique le Lieutenant Bert Van Huyse, du SEDEE (Service d’Enlèvement et de Destruction d’Engins Explosifs), à Poelkapelle. « 30 à 40% d’entre eux n’ont pas explosé. Et 4,5% de ces obus sont toxiques, mais ce chiffre est sans doute plus élevé, car il se base sur les déclarations des Anglais qui, jusque fin des années 1950, ont dit qu’ils n’avaient pas utilisé d’obus toxiques. » Les obus sont marqués d’un code-barre pour les suivre depuis leur arrivée au centre de Poelkapelle jusqu’à leur démantèlement, en passant par la phase d’identification, Joël Leclercq @joelleclercq.com Les démineurs belges, Joël Leclercq @joelleclercq.com.