Jack Welch, le bâtisseur de General Electric, est mort. Jack Welsh lors d'une interview le 11 mars 2015 à New York ( GETTY IMAGES NORTH AMERICA / Mike Coppola ) M.
Welch, fils d'un conducteur de train, a dirigé GE pendant 20 ans. Il en a fait un conglomérat tentaculaire, avec des activités dans les médias et l'industrie du divertissement (NBCUniversal), la finance (GE Capital), la santé, l'électroménager et l'aéronautique. Belfort : Le plan social de l'Américain General Electric prévoit la suppression de 985 emplois selon les élus - France 3 Bourgogne-Franche-Comté.
Cette annonce arrive comme une "bombe" sociale au lendemain des élections européennes.
Les syndicats redoutaient un tel scénario. C'est bien pire. Ils sont réunis ce mardi 28 mai à Paris en présence d' Hugh Bailey, nommé directeur général de GE France depuis le 22 avril. Le géant américain confirme envisager la suppression de plus de 1.000 postes en France, dans la branche turbines à gaz et au sein des services supports, principalement sur le site de Belfort et en région parisienne. GE Belfort : "J'ai demandé à General Electric de ne fermer aucun site" affirme Bruno Le Maire. "J'ai demandé à General Electric de ne fermer aucun site industriel en France", a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances Bruno Le Maire, mercredi 22 mai sur franceinfo.
"Je ne confirme aucun chiffre", a-t-il précisé, alors que des syndicats redoutent la suppression d'un millier d'emplois à Belfort dans le cadre d'un plan social. General Electric envisage de supprimer 470 postes en France : chez les salariés "il y a de l'incompréhension, car les carnets de commande sont pleins" Le délégué Sud chez Alstom Power System à Belfort, Alexis Sesmat, a expliqué, mardi sur franceinfo, que la possible suppression de 470 postes par General Electric en France, pour l'essentiel via des ruptures conventionnelles collectives, ne se justifie pas par un manque d'activité.
"Il y a de l'incompréhension" après l'annonce, mardi 22 janvier, de la possible suppression de 470 postes à travers la France par General Electric pour l'essentiel via des ruptures conventionnelles collectives, a rapporté Alexis Sesmat, sur franceinfo. Le délégué Sud chez Alstom Power System à Belfort, où le géant américain envisage de supprimer 146 postes, a expliqué que "côté nucléaire, les carnets de commande sont pleins et côté gaz, même si le marché est en bas de cycle, on nous annonce de belles perspectives jusqu'en 2040". On ne voit pas une corrélation entre le nombre de postes supprimés et la charge de travail sur laquelle on peut compter.Alexis Sesmatà franceinfo Votre avis est précieux. General Electric veut supprimer des milliers d'emplois pour faire des économies. General Electric a annoncé, lundi 13 novembre, sa volonté de procéder à des milliers de suppressions d'emplois pour réduire ses coûts.
Selon Le Figaro, les coupes du géant américain sont prévues un peu partout dans le monde, y compris en France. Le groupe s'avoue en grande difficulté. Sa capitalisation boursière a fondu de plus de 100 milliards de dollars depuis janvier. Le conglomérat a annoncé en conséquence son intention de se recentrer sur trois activités : l'aéronautique, la santé et l'énergie. General Electric va céder pour plus de 20 milliards de dollars d'actifs. (Reuters) - General Electric a annoncé lundi son intention de céder pour plus de 20 milliards de dollars (17 milliards d'euros) d'actifs dans le cadre d'un recentrage de ses activités sur l'énergie, la santé et l'aéronautique.
Lors d'une présentation aux investisseurs, le groupe américain a expliqué vouloir concentrer ses efforts sur les domaines où il décèle le meilleur potentiel de croissance et dispose des bonnes technologies, d'une taille critique et d'une large base de clientèle installée, et où ses logiciels lui permettront d'améliorer ses performances. Il va parallèlement ramener de 18 à 12 membres son conseil d'administration, qui accueillera trois nouvelles personnalités en 2018. GE a aussi fixé un objectif de bénéfice par action compris entre 1,00 et 1,07 dollar pour l'année prochaine, en baisse par rapport à sa précédente prévision.
Il avait auparavant annoncé une réduction de moitié de son dividende trimestriel. General Electric va tailler dans ses effectifs, 345 emplois menacés en France - Le Parisien. Sueurs froides pour les 800 salariés du site General Electric (GE) Hydro de Grenoble. « Le Parisien » - « Aujourd’hui en France » s’est procuré un courrier interne daté du 4 juillet et envoyé dans la foulée par mail à ces ex-salariés d’Alstom Energie, racheté par l’américain en novembre 2015.
Dans ce document, la direction leur annonce un plan de restructuration en préparation. Cette filiale du géant de l’énergie américain GE produit entre autres les turbines hydrauliques destinées à l’exploitation des barrages en France et dans le monde. De sources salariales, ce plan concernerait « environ 345 emplois à Grenoble » sur un total de 1 000 emplois de GE Hydro répartis dans toute la France.