La célèbre maison Sonia Rykiel liquidée faute de repreneurs. Ça c'est du Poutine !!! Seul Poutine peut intimider un milliardaire. Emploi : Les fermetures d'usines s'accélèrent en France. En 2012, plus de 200 sites ont fermé leurs portes, soit 42% de plus qu'en 2011.
Le secteur manufacturier a particulièrement souffert, avec près de 24.000 postes supprimés. Cette année s'annonce tout aussi noire. «L'économie française s'installe dans une tendance dépressive». Voilà le constat dressé par l'Observatoire de l'emploi et de l'investissement Trendeo. Dans son étude sur l'année 2012, celui-ci dénombre 266 fermetures d'usines contre 166 créations. Plysorol : fin d'une longue agonie sur fond de forêts gabonaises convoitées - Economie. Trente-six entreprises françaises en danger, selon Jean-Marc Ayrault. Le groupe Doux, leader européen de la volaille (3 400 salariés en France), qui a été placé vendredi en redressement judiciaire pour six mois faute d’accord avec ses créanciers, entend mettre au point un plan de continuation «privilégiant l’emploi».
Le tribunal de commerce de Quimper, qui avait enregistré jeudi une déclaration de cessation de paiement du groupe familial basé à Châteaulin (Finistère), l’a placé à sa demande en redressement judiciaire et a nommé un administrateur judiciaire. Le groupe, connu pour sa marque «Père Dodu», est plombé par une dette estimée par les syndicats à plus de 430 millions d’euros. L’administrateur judiciaire assistera la direction «dans la mise au point d’un plan de continuation en France, privilégiant l’emploi et la pérennité de l’entreprise», a indiqué le groupe dans un communiqué. Un comité central d’entreprise prévu mardi. Plans sociaux: la menace se profile - Eco. Alors que de nouveaux plans sociaux semblent en préparation, Arnaud Montebourg, le ministre du Redressement productif, a reçu les partenaires sociaux hier.
Il veut se lancer à la reconquête des emplois industriels sans sous-estimer la difficulté de sa tâche. Cela devait être après la présidentielle. Cela pourrait être après les législatives. Plans sociaux en France : les prochaines échéances. Bertrand se démène pour décaler les plans sociaux. Les plans sociaux : l’épée de Damoclès du futur Président. PSA, Carrefour, Nestlé, Air France ?
Retardés, démentis ou prêts à être dégainés, les plans sociaux risquent de se multiplier après la présidentielle. De nombreux secteurs sont touchés. Le gouvernement freine des quatre fers pour éviter de nouveaux chômeurs avant l’élection. Après… L’après présidentielle risque d’être violent sur le front de l’emploi. Entreprises en difficulté : les politiques parlent, les usines ferment... souvent. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Dominique Gallois et Cédric Pietralunga Lejaby, SeaFrance, Petroplus, La Tribune… En ce début d'année 2012, la liste des entreprises en difficulté s'allonge et les appels au secours vers l'Etat se multiplient.
L'entrée en campagne électorale est perçue une nouvelle fois par les salariés comme une opportunité pour se faire entendre. Depuis le fameux "l'Etat ne peut pas tout" de Lionel Jospin, alors premier ministre, répondant en 1999 aux salariés du fabricant de pneumatiques Michelin en proie à des suppressions d'emploi, et qui a compté dans sa défaite à l'élection présidentielle de 2002, les hommes politiques sont tétanisés à chaque conflit social médiatisé.
L'Etat peut-il sauver les entreprises en difficultés? Le sous-traitant automobile SAM définitivement placé en liquidation judiciaire. Les 350 salariés de la Société aveyronnaise de métallurgie (SAM), en Aveyron, n’avaient plus beaucoup d’espoirs.
Le tribunal de commerce de Toulouse a finalement scellé, vendredi 26 novembre, la liquidation judiciaire et la cessation d’activité immédiate de cet équipementier automobile. Papeterie Chapelle-Darblay : la métropole de Rouen va préempter le site « au nom de l’intérêt général » On l’a cru vendue, bientôt convertie à la production d’hydrogène, mais voilà qu’un ultime rebondissement pourrait permettre à la papeterie Chapelle-Darblay de Grand-Couronnes (Seine-Maritime), de maintenir son savoir-faire dans le recyclage du papier.
La métropole de Rouen a décidé, vendredi 15 octobre, de préempter le site de 33 hectares pour contrer la vente annoncée par son propriétaire finlandais UPM. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Un projet contesté de production d’hydrogène pour Chapelle-Darblay à la place de la papeterie Pour comprendre, il faut rembobiner. Ces salariés ont inventé... l'antigrève. Cet article est issu du magazine Management La plupart du temps, quand une entreprise annonce qu’elle va supprimer des postes pour faire face à une importante baisse d’activité et/ou de chiffre d’affaires, la première réaction des salariés est de se mettre en grève.
Pas à l’usine FerroPem de Clavaux, en activité depuis plus d’un siècle dans la vallée iséroise de la Romanche. Au contraire : les 129 ouvriers menacés ont décidé de travailler deux fois plus, pour prouver à leur direction que le site peut être compétitif. Le 30 mars dernier, le groupe Ferroglobe a annoncé la fermeture de cette usine qui produit du silicium, notamment utilisé dans les appareils électroniques. Le cours de ce produit, pourtant très demandé, a fortement chuté ces derniers mois. Pendant la reprise, les plans sociaux se poursuivent dans l’aéronautique. Airbus a sifflé la fin de la crise.
Bientôt, la pandémie de Covid-19 ne sera plus qu’un mauvais souvenir pour l’avionneur européen, qui se projette à grande vitesse dans le monde d’après. A en croire Christian Scherer, le directeur commercial du groupe, le retour aux cadences de production connues avant la pandémie pourrait même être beaucoup plus rapide que prévu. Le patron des ventes anticipe un retour à meilleure fortune « entre 2023 et 2025 ». L’objectif du numéro un mondial de l’aéronautique est de sortir de ses chaînes 45 appareils de la famille A320 par mois d’ici à la fin 2021.
Avec une montée en cadence qui va s’accélérer, sinon s’emballer, pour atteindre 64 exemplaires par mois avant la mi-2023, et 70 en 2024.
Total S A : Hutchinson (Total) envisage 3.000 suppressions de postes. Hutchinson, filiale de Total spécialisée dans la transformation du caoutchouc, envisage près de 3.000 suppressions de postes dont 1.000 en France en raison de l'impact du coronavirus sur les filières automobile et aéronautique, a annoncé vendredi la CFDT.
Airbus, Hop !, Nokia, Sanofi : des salariés mobilisés contre les suppressions d’emplois. Aéronautique, télécommunications… des milliers de salariés étaient mobilisés, mercredi 8 juillet, en France afin de protester contre les suppressions d’emplois dans ces différents secteurs. Malgré les plans d’aide décidés par le gouvernement, les annonces de restructuration se multiplient, provoquant l’incompréhension des salariés et des élus locaux. Plusieurs milliers de salariés d’Airbus manifestent à Blagnac. Toulouse. 700 postes en danger chez ce sous-traitant d'Airbus : les syndicats négocient. C’est un secteur qui bat de l’aile. Constructeurs, sous-traitants ou compagnies aériennes : la crise du coronavirus frappe de plein fouet les acteurs de l’aéronautique.
À Toulouse, toute cette industrie dépend de la bonne santé du géant Airbus. Problème : lorsque l’avionneur européen tremble, l’ensemble de ses sous-traitants fait de même. C’est notamment le cas de Derichebourg Aeronautics Services qui emploie 1 583 salariés en France, dont près de 1 400 rien qu’en région toulousaine. Lire aussi : Toulouse. 700 postes en danger. Toulouse. Plan social chez Airbus : vers des licenciements en cascade chez les sous-traitants. Airbus sera-t-il l’arbre qui cache la forêt ? Face à la crise du transport, conséquence du coronavirus, l’avionneur européen va supprimer environ 15 000 postes d’ici l’été 2021, dont 5 000 en France.
Un plan de restructuration a été annoncé. Lire aussi : INTERVIEW. 15 000 emplois menacés : « L’objectif, c’est de sauver Airbus », affirme le DRH du groupe 3 378 postes supprimés dans la Ville rose. Le groupe Air France va supprimer 7.580 postes chez Air France et Hop ! « C’est presque une ville qu’on assassine » : des milliers de manifestants à Lannion contre les suppressions d’emplois chez Nokia.
Entre 3 500, selon la police, et 5 000 personnes, selon la CFDT, ont manifesté samedi 4 juillet en fin de matinée à Lannion (Côtes-d’Armor) contre la suppression de 402 emplois sur le site de Nokia. Au total, le groupe prévoit de supprimer plus d’un millier d’emplois en France. « Le Trégor debout contre les suppressions d’emploi », « En dix ans, c’est le 13e plan », « Jeunes embauchés, déjà virés » ou « keep Nokia jobs in Lannion », pouvait-on lire sur les banderoles ou pancartes brandies par les manifestants.
Il s’agit du quatrième plan social depuis le rachat, en 2016, d’Alcatel-Lucent par Nokia. Les trois précédents plans avaient touché les fonctions support alors que, dans ce cas, c’est la branche recherche et le développement (R&D) qui est concernée « à 95 % », ont rappelé les syndicalistes.
L'enseigne de chaussures André, première entreprise victime du coronavirus. Le laboratoire Boiron, spécialiste de l’homéopathie, supprime 646 postes en France. La chute du nombre de mariages cause la faillite du fabricant de robes Pronuptia. La fin pour la laiterie de Saint-Saviol dans le sud Vienne. Remade (Normandie) En Charente, la dernière fabrique de charentaises liquidée : 104 salariés licenciés. XL Airways. Aigle Azur. Artmadis (Wasquehal et Arques)
Dietal, à Saint-Georges-de-Mons (Puy-de-Dôme) Saint-Louis-Sucre (Cagny et Eppeville) Fonderie Saint-Jean Industries. Jean Caby (Saint-André-lez-Lille) Fonderies du Poitou. Bosch (Rodez) Ibiden (Courtenay) Arjowiggins (Jouy-sur-Morin) De Goodyear à Ford, l’industrie à l’Etat sauvetage. L'usine Itron va fermer à Reims : 137 licenciements. Ford - Getrag. Ford - Blanquefort. Kindy Bloquert - Moliens (Oise) Tupperware - Joué-lès-Tours. Eolane-fermera-ses-sites-de-roncq-vailhauques-et-montceau-les-mines. A Gennevilliers, les salariés d’Isochem s’inquiètent de leur avenir - Le Parisien. Soixante-seize emplois sont menacés. Ecce (Prouvy) TIM. General Electric - Plans sociaux. Microsoft se recentre sur le cloud et prévoit «des milliers» de licenciements - Le Parisien.
Le géant de l'informatique se prépare une fois encore à supprimer «des milliers» de postes. En cause, une réorganisation interne de ses équipes commerciales.
Veolia eau : suppression de près de 600 postes en trois ans. Whirpool - Amiens. Bosch Venissieux. Cauval Industries. Electrolux. Néo Sécurité. Kem One. PSA - Plans Sociaux. Carrier. Heuliez. Groupama. SocGen. Airbus Group - Plans Sociaux. Pentair Griss (Ham, Somme) GDF SUEZ. Veolia. Hédiard. Pixmania. SoLocal (ex-PagesJaunes) va supprimer 1 000 postes sur 4 500 en deux ans. Ces suppressions de postes se feraient dans un premier temps via des départs volontaires puis, si nécessaire, par des départs contraints. Le Monde.fr avec AFP et Reuters | • Mis à jour le Le groupe SoLocal, héritier des annuaires téléphoniques PagesJaunes, va supprimer 1 000 postes, sur près de 4 500, sur la période 2018-2019, dont 800 dès cette année, a annoncé le groupe dans un communiqué, mardi 13 février.
Ces suppressions de postes se feraient dans un premier temps via des départs volontaires puis, si nécessaire, par des départs contraints, a déclaré Eric Boustouller, directeur général de SoLocal. Dans la tourmente depuis plusieurs années, l’ex-PagesJaunes a dévoilé ce mardi en Comité d’entreprise un plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) touchant principalement ses équipes commerciales. Il s’inscrit dans un plan conçu par la nouvelle direction du groupe visant à renouer avec la croissance du chiffre d’affaires en 2019 après une année 2018 de transition. Concurrence de Google. « Terra eco » dit adieu à ses lecteurs. C’est une page qui se tourne. Incarnation d’une volonté de placer les questions environnementales au cœur du débat public, le magazine Terra eco est entré en liquidation judiciaire, jeudi 10 mars. « Malgré six semaines d’intenses tractations avec plusieurs candidats à la reprise de l’entreprise Terra Economica SAS, celles-ci n’ont pas abouti », écrivent les cofondateurs du titre, Walter Bouvais et David Solon, dans un message publié jeudi sur leur site.
Structurellement déficitaire, Terra eco avait été placé en redressement judiciaire en juillet 2015. Tensions sociales dans la presse écrite.
Chapitre. Nice-Matin. Presstalis. Papeterie Stora Enso. Mr Bricolage : six magasins menacés de fermeture. En 2020, il ne restera qu'un seul magasin Tati en France, celui de Barbès à Paris, annonce le groupe propriétaire de la marque. Conforama. Toupargel (Lyon) L'enseigne C&A pourrait fermer 14 magasins en France, dont ceux de Clermont-Ferrand et Saint-Etienne. Plus de 400 suppressions de postes annoncées chez Castorama et Brico Dépôt.
Fin de partie pour les 517 salariés Marks & Spencer en France. MIM. Groupe Agora Distribution - Tati, Eram. Caddie. 3 Suisses. La Fnac. Virgin Megastore. Surcouf. Auchan. Carrefour - Plans sociaux. Menaces sur l'emploi dans la grande distribution. Jardiland racheté par le fonds d'investissement L-GAM.
La Redoute.