Un couvreur de 33 ans meurt en Ille-et-Vilaine. Faute inexcusable de l'employeur : Chûte à travers la verrière du toit d'un entrepôt. Un ouvrier nouvellement embauché a reçu pour instruction d'appliquer un film thermique adhésif sur les verrières du toit d'un entrepôt RATP.
Pour cela, il lui est demandé, avec un collègue, de monter sur les verrières, installé sur deux planches posées perpendiculairement sur le châssis du vitrage. Durant son travail, il perd l'équilibre, chute à travers la vitre et s'écrase sur le sol de l'entrepôt. Son pronostic vital est engagé, il présente de multiples fractures et un traumatisme crânien. Il nous a contacté pour soulever la faute inexcusable de l'employeur. Devant le Tribunal des Affaires de Sécurité Sociale, nous avons, entre autres, souligné le non-respect par l'employeur des règles de prévention en matière de sécurité, et l'absence totale de formation de notre client, qu'il s'agisse de la sécurité ou du travail en hauteur.
De son coté, l'employeur a prétendu avoir mis à la disposition de ses salariés une échelle et des harnais de sécurité. Par Guillaume Cousin. Chute mortelle d'un échafaudage à Paris: Que s'est-il passé sur le chantier mardi matin? Un accident sur un chantier d'un immeuble de la RATP en réhabilitation, situé rue Abel Hovelacque dans le 13e arrondissement de Paris, a eu lieu ce mardi en fin de matinée.
Un échafaudage s'est effondré du sixième étage alors que quatre ouvriers s'y affairaient. L'un des ouvriers est décédé tandis que les trois autres sont en « urgence absolue ». Il a assisté, impuissant, au drame du haut de sa grue. Eduardo, grutier sur le chantier d’un immeuble de la RATP en réhabilitation raconte avoir « vu l’échafaudage se décrocher du mur et tomber à terre alors que quatre personnes travaillaient dessus. » D’après le commandant Guillaume Fresse de la brigade des sapeurs pompiers de Paris (BSPP), il est 11h45 ce mardi lorsque les pompiers sont appelés pour un accident de chantier dans la rue Abel Hovelacque dans le 13e arrondissement de Paris.
Les deux viticulteurs morts dans une cuve à Fontenay-près-Chablis sont décédés par asphyxie. Les deux frères, propriétaires du domaine, Eric et Pascal Porcheron, âgés de 54 et 49 ans, sont décédés par asphyxie.
C'est que révèlent les autopsies ce mardi. Mercredi dernier, au matin, c'est le fils du plus jeune frère qui avait donné l'alerte. Loire-Atlantique: Un viticulteur trouve la mort dans une cuve à vin. Un vigneron de Chantemerle-lès-Grignan retrouvé mort dans une cuve à vin, le village est en deuil. Chantemerle-lès-Grignan, France Bruno Rosier est décédé samedi à l'âge de 49 ans.
Son employée l'a retrouvé mort noyé dans une cuve à vin de son domaine qui se trouve à Chantemerle-lès-Grignan. Selon les enquêteurs, c'est un accident. Le vigneron a fait une mauvaise chute en tentant de mettre de la levure dans la cuve de 10 000 litres. Ille-et-Vilaine: Un couvreur décède alors qu'il travaillait en pleine chaleur.
Un ouvrier prend de gros risques pour démolir un mur en haut d’un immeuble. Antibes: Victime d'un malaise cardiaque, un professeur d'EPS est secouru par ses élèves. Ils ont mis en application les gestes de premiers secours qu’ils avaient appris. Des élèves du lycée Audiberti, à Antibes, ont prodigué les premiers soins à leur professeur d’EPS. Celui-ci était en arrêt cardio-respiratoire. « Les pompiers sont intervenus dans l’établissement scolaire. Quand ils sont arrivés, la gestion des secours avait déjà été prise en compte par les élèves qui avaient pris un défibrillateur », expliquent les pompiers. Des lycéens sauvent leur professeur grâce à leur formation en secourisme.Ces formations se multiplient dans toute la France.De très chaleureuses félicitations à eux et des vœux de bon rétablissement au professeur @AcademieNice Jean-Michel Blanquer (@jmblanquer) December 18, 2018 Selon France Bleu Azur, un élève est allé chercher l’infirmière pendant que les autres ont placé le professeur en position latérale de sécurité.
Les lycéens ont ensuite sorti le défibrillateur et l’infirmière, puis les pompiers, ont pu prendre le relais. Une personne sur quatre victime d'un accident du travail dans sa carrière, selon l’Insee. Installations électriques : près de 7 logements sur 10 ne sont pas aux normes. Le chiffre interpelle.
Près de 7 logements sur 10 en France sont équipés d’une installation électrique non conforme susceptible de provoquer un accident, comme le relève le Parisien. Selon le Groupe de réflexion sur la sécurité électrique dans le logement (Gresel), qui publie mercredi un rapport sur la question, quelque 200.000 incendies domestiques ont lieu chaque année dans l’Hexagone et 50.000 peuvent être directement imputés à un problème électrique, "comme des équipements ou des prises défectueuses", précise dans les colonnes du Parisien Laurent Lhardit, secrétaire du Gresel. Pour la collectivité, le coût est d’environ 4,2 milliards d’euros, souligne les experts. 40 décès chaque année à cause d’une électrisation. La formation initiale. Le développement de compétences en santé et sécurité au travail dans l’enseignement professionnel et supérieur doit permettre aux jeunes d’acquérir une culture de prévention avant même leur premier emploi.
Il contribue également à la diffusion de celle-ci dans l’entreprise. Les 18-24 ans ont près de deux fois plus d’accidents du travail que les autres salariés, selon la Caisse nationale d’assurance mala-die (Cnam). En revanche, une étude de l’INRS montre que les jeunes en formation professionnelle ont deux fois moins d’accidents du travail que les autres quand ils ont reçu un enseignement en santé et sécurité au travail (ES&ST) en formation initiale. Pour permettre l’intégration d’un tel enseignement dès la préparation des diplômes professionnels, mais également à l’université ou dans les écoles supérieures, la mobilisation de nombreux acteurs est indispensable.
Une culture de prévention partagée. À Saint-Jacut-de-le-Mer, il meurt noyé à 18 ans - Saint-Brieuc.maville.com. C'est vers 13 h 15 que l'hélicoptère Dragon 52 de la sécurité civile a repéré le corps du jeune homme de 18 ans.
Il flottait entre deux eaux à 2 m à peine du rivage, non loin de la jetée du Châtelet, à Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor). Les deux pompiers plongeurs l'ont hissé à bord du zodiac des sauveteurs de la SNSM qui l'ont ramené à l'abri des regards au port de la Houle Cosseul. « Sortir de l'eau un gars au visage aussi jeune, c'est pénible, très pénible », rapporte Michel Boivin, président de la société des sauveteurs de Lancieux. La journée avait pourtant bien commencé pour Antoine Pansard.