Youtube. Carte – Le matrimoine parisien. Le Matrimoine Parisien est un projet étudiant répertoriant les créations féminines dans l’espace de la ville de Paris sur une carte interactive (pour y accéder cliquez ici).
Voici quelques indications pour vous guider dans votre visite. Les donnés que vous trouverez sur la carte sont classées en cinq catégories : des architectures : créées, initiées ou financées par des femmesdes oeuvres picturales : street arts, mosaïques ou toutes autres créations murales extérieuresdes sculptures : dans l’espace public, sur des façades ou dans des églisesdes ateliers : des lieux de travail de peintres, de sculptrices, de couturières… des lieux d’art et de culture : des lieux de culture créés par des femmes ou ayant oeuvré pour la valorisation de la création féminine (galeries, librairies…) Chaque création est identifiée par un nom et une adresse vous permettant de la retrouver facilement. Certains points sont enrichis d’une notice plus détaillée vous introduisant à l’objet et à sa créatrice.
WordPress: Paris, de place en place - Émission intégrale. Paris les grands travaux d'Hausmann. Paris avant Haussmann - L'HISTOIRE D'HIER À DEMAIN. Quand il nomme le baron Haussmann préfet de la Seine en 1853, Napoléon III le charge de « donner de l'air et de l'eau à Paris ».
Il était plus que temps ! « Plus de quartiers lépreux, plus de ruelles miasmatiques, plus de masures humides où la misère s'accouple à l'épidémie [...]. Plus de tanières immondes, réceptacles du rachitisme […]. Les murailles pourries, salpêtrées et noires [...] s'effondrent pour laisser surgir de leurs décombres des habitations dignes de l'homme. » En 1855, dans sa préface de Paris démoli, Théophile Gauthier se réjouit d'assister à la transformation radicale de la capitale, opérée depuis deux ans par le baron Haussmann. Si l'écrivain est implacable dans sa description de la cité, il n'en demeure pas moins objectif.
Des quartiers sur peuplés La révolution industrielle pousse le peuple des campagnes à venir chercher du travail dans les manufactures et les ateliers de la ville. Pauvreté et insalubrité Aux grands maux les grands remèdes Carte de l'annexion. Trou(s) de Mémoire. Paris de 1900 à nos jours : balade photos.
A Paris Made to be Destroyed. JF Ptak Science Books Post 1613 (Post 656--expanded) Now this was a case in which you were given the result and had to find everything else for yourself. -- Sherlock Holmes in A Study in Scarlet There is no doubt a history that could be written on shadow cities, cities that were built to resemble other cities, cities constructed to serve as a deterrent or double, cities set to deceive, cities constructed to be experimented upon.
Some were built ot be destroyed. Like Paris--or "Sham Paris". Augustine cleaved two cities from one, the good and the doomed, in The City of God. Of course these were also the days of pre-RADAR, and of aviators simply holding a bomb by its fins and letting go once a target was in sight, so the possibility of causing this sort of dissonance was at least palpable. Quand la France édifiait un faux Paris pour tromper les Allemands. Ici, la gare de l'Est, là, la gare du Nord.
Puis le chemin de fer de la petite ceinture, la place de l'Étoile, les grands boulevards, l'Opéra, Saint-Lazare... Disposition, proportions, éclairages, rien n'a été laissé au hasard : les plans reproduisent en tout point Paris. À un détail près, ces bâtiments devaient être construits... à Maisons-Laffitte ! Si le stratagème paraît aujourd'hui complètement saugrenu, à l'époque, l'idée était on ne peut plus sérieuse. Construire une fausse ville destinée à se faire bombarder à la place de la capitale... il fallait tout de même y penser.
(Cliquez sur l'image pour l'agrandir) Pendant la Première Guerre mondiale, les radars n'existaient pas encore, les pilotes naviguaient à vue et larguaient leurs bombes dès qu'ils apercevaient leur cible. Selon Le Figaro.fr, les Français avaient même poussé la ruse jusqu'à imiter l'éclairage des trains : "Les trains étaient indiqués par des surfaces en bois posées sur le sol. EN IMAGES. 350 kilomètres de rayonnages pour nos archives nationales - 18/01/2013. Le château fort métallique des Archives nationales, à Pierrefitte (Seine-Saint-Denis) s’ouvre lundi au public après trois ans de travaux.
Tout un chacun peut se rendre dans l’immense salle de consultation et s’approprier la mémoire de la France. Cet incroyable bâtiment recouvert de 6 000 losanges d’aluminium a été imaginé pour le stockage par l’architecte italien Massimiliano Fuksas. C’est ici que sont désormais classés et conservés les documents d’Etat postérieurs à la Révolution, versés par l’Elysée et les ministères (à l’exception de la Défense et des Affaires étrangères).
Depuis le mois de mai, les dossiers sont transférés par camions des deux autres sites des Archives, à Paris et Fontainebleau (Seine-et-Marne). Le long et délicat déménagement s’achève à l’automne. Métronome de Lorànt Deutsch - Le site. Avant vous, comment était Paris ? Le Dessous des Cartes. Quand Paris s'appelait Lutèce.