Six Things to Consider About Inflation. Alt-M - Ideas for an Alternative Monetary Future. Barack Obama may have finally destroyed America’s #1 advantage – Sovereign Man. In July 1944, just weeks after the successful Allied invasion of Normandy, hundreds of delegates from around the world gathered in Bretton Woods, New Hampshire to determine the future of the global financial system.
The vision was simple: America would be the center of the universe, and every other nation would revolve around the US. This arrangement ultimately led to the US dollar being the world’s dominant reserve currency which still remains today. Whenever a Brazilian merchant pays a Korean supplier, that deal is negotiated and settled in US dollars. Oil. Coffee. This system provides a huge incentive for the rest of the world to hold trillions of dollars worth of US assets– typically deposits in the US banking system, or US government bonds. It’s what makes US government debt the most popular “investment” in the world, why US government bonds are considered extremely liquid “cash equivalents”. This may be the US government’s #1 advantage right now.
But no… not these guys. Abuse. Réserves fractionnaires. Le terme de "système de réserves fractionnaires" (on parle aussi de "couverture partielle") désigne le droit pour une banque commerciale de prêter, par des jeux d'écritures, de l'argent qu'elle n'a pas - en apparence - et sur lequel, outre le remboursement par le débiteur, elle touchera des intérêts.
Cette création de monnaie scripturale est tempérée par l'obligation de déposer un pourcentage des encours de crédit de la banque auprès de la banque centrale ("réserves obligatoires"), pourcentage relativement faible en pratique (quelques pourcents). De la même façon, la transformation bancaire consiste à prêter des ressources à court terme (celles des épargnants) pour financer des crédits à long terme (ceux des emprunteurs). On parle dans ce cadre d'effet multiplicateur du crédit, le multiplicateur désignant le rapport entre la base monétaire (monnaie centrale) et la quantité de monnaie issue du crédit accordé par les banques.
Ce sont "les crédits qui font les dépôts". Un sujet polémique. The%20Euro%20and%20its%20impact. Désinformation financière : la loi de 1973 et la dette de la France. Par Nicolas Perrin.
La réforme de 1973 concernant les modalités de financement de l’État français lorsqu’il ne souhaite pas immédiatement lever des impôts est vue d’un très mauvais oeil. Les amateurs de complot y voient une manoeuvre de la banque Rothschild qui s’assurerait ainsi d’énormes profits sur le dos de notre pauvre petite République innocente et confrontée de force au terrible monde de la finance. D’autres y voient la griffe d’un ultralibéralisme sauvage, arrachant notre pauvre petite République des bras d’un amant bon, généreux et désintéressé, le gouverneur de la Banque de France. La désinformation sur ce sujet abonde. Un ami m’a envoyé le lien vers la page Wikipédia consacrée à la Banque de France et le paragraphe traitant de La réforme de 1973 : refonte des statuts (loi n° 73-7 du 3 janvier 1973).
En voici le contenu sous forme de capture d’écran car, comme dit l’autre, « il faut le voir pour le croire » : Un texte d’amateur Complotisme et compagnie. La Révolution des Sans-Dents. L’assouplissement quantitatif pour les nuls. Par Simone Wapler Les banques centrales perdent les pédales.
Depuis 2008, elles avaient réussi à créer un « effet richesse ». La hausse des marchés financiers était leur triomphe. Cela permettait de répéter : « Abracadabra, tout va bien puisque le prix des actions et des obligations s’élève ; si les actions valent plus cher, c’est parce que les entreprises feront plus de bénéfices ; la croissance est revenue ». Mais pfffuittt… voici que la magie s’en va, laissant derrière elle des crapauds baveux, qui n’ont pas su saisir les paillettes de l’effet richesse et ne seront donc pas transformés en princes charmants. En réalité, la seule chose que les banques centrales souhaitaient — une « bonne petite inflation » de 2% — n’est pas là. Faute d’inflation, il faut s’attendre à une réaction technocratique classique : plus de tout ce qui n’a pas marché jusque-là. Cliquez sur l’image pour l’agrandir Mais QE4People a la solution. Subitement, le monde est transformé, chacun devient prince charmant. La banque centrale face à la banque libre - Jesús Huerta de Soto.
Cet article sur la controverse entre la banque centrale et la banque libre à réserve fractionnaire a été publié originellement dans The Review of Austrian Economics, Vol. 8, No. 2 et peut être consulté en anglais sur le site du Mises Institute.
Jesús Huerta de Soto est un économiste espagnol représentant de l’école autrichienne, également docteur en droit, qui enseigne l’économie politique à l’Université Juan Carlos à Madrid, en Espagne. Il a dédié cet article à James M. Buchanan, en gratitude pour l’avoir publiquement défendu et soutenu lorsqu’il a mis en avant les idées les plus importantes contenues dans ce document lors de la conférence régionale de Société du Mont-Pèlerin qui a eu lieu à Rio de Janeiro, en septembre 1993.