Références modernes. Associations LCA. Parler le latin et le grec ancien. Sites archéologiques. Traduction. Monnaie. Legio VIII Augusta : reconstitution du monde romain. La mosaïque est un art décoratif où l'on utilise des fragments de pierre, d'émail, de verre ou encore de céramique, assemblés à l'aide de mastic ou d'enduit, pour former des motifs ou des figures.
Quel que soit le matériau utilisé, ces fragments sont appelés des tesselles. Très utilisée pendant l'Antiquité romaine, la mosaïque a continué à être utilisée tout au long du Moyen Âge, en particulier chez les Byzantins, continuateurs des Romains (basilique San Vitale de Ravenne), et de la Renaissance. Après avoir quasiment disparu pendant plusieurs siècles, cet art est réapparu au grand jour avec le mouvement Art nouveau. Aujourd'hui la mosaïque est utilisée tant par des artistes du mouvement Op Art tels que Carlos Cruz-Diez, Vasarely[1] que pour des projets du quotidien en architecture et décoration. On distingue trois principaux styles de mosaïques anciennes : Plusieurs procédés classiques coexistent : Histoire Technique. Générateur de frises.
Locutio: citations latines, expressions, locutions, aide au latin, traduction, theme, version. Lire le latin avec la méthode Hale (1887) La méthode de William Hale a été rendue disponible par le travail d’un groupe autour d’Yves Ouvrard auquel la communauté des latinistes doit déjà beaucoup et qui a repéré en cherchant comment on enseignait le latin dans d’autres pays, le travail de Hale, professeur de latin à l’université Cornell qui avait édité une conférence intitulée “L’art de lire le latin”.
Cette brochure est maintenant traduite et disponible en ligne. Nous sommes donc aux USA à la fin du 19e siècle et, comme nous l’avons vu dans un précédent billet, le latin est à l’époque la langue la plus enseignée dans le secondaire : Hale reçoit en première année d’université des étudiants qui ont derrière eux de nombreuses années d’enseignement traditionnel du latin pendant leur secondaire. Concours 2016. Les repas de fête chez les Romains. Nous avons vu que les Romains avaient eu d'abord, en matière de nourriture, un régime méditerranéen typique, proche de celui des Grecs : bouillie de céréales, gibier, lait de chèvre et de brebis, poisson sur les côtes, fruits.
Mais tout change à la fin du premier siècle après J. -C : on mange déjà du pain blanc sous Tibère et l'alimentation carnée s'est généralisée. Cependant il existe toujours une inégalité fort grande entre les repas, même de fête, chez un paysan et chez un gros propriétaire rural (qui vit en ville, approvisionné par ses fermes), chez un ouvrier de la ville et un riche citadin. De plus, les voyages, commerciaux ou non, qui se multiplient, font découvrir des mets issus de régions auparavant inconnues ou inaccessibles et entraînent, chez ceux qui en ont les moyens, des fantaisies culinaires coûteuses (Sénèque, Consolation à Helvia) et d'ailleurs nocives à la santé. En principe donc un festin, un banquet comportent la même composition qu'un repas ordinaire (cf. Le symposion des banquets grecs - Institut national de recherches ... Le symposion des banquets grecs.
Banquet et cité grecque [Quelques questions suscitées par les recherches récentes] Les salles de banquet sont à la mode.
En dehors de cette thèse, on a pu voir fleurir récemment toute une série de réinterprétations de monuments dont l'attribution ancienne est abandonnée au profit de celle de «salle de banquet». Un exemple parmi d'autres : les hestiatoria à Délos qui donnent lieu, depuis l'article de G. Les banquets dans les cités grecques : bilan historiographique. Les banquets dans les cités grecques : bilan historiographique 87 DHA supplément 7 Bettenworth, A. (2004) : Gastmahlszenen in der antiken Epik von Homer bis Claudian, Göttingen.
Bielohlawek, K. et al. (1995) : Poesia e simposio nella Grecia antica: Guida storica e critica, Bari. Bilde P., T. Cuisine de la Rome antique. La cuisine de la Rome antique a beaucoup évolué au cours de la civilisation romaine.
Elle est principalement connue par le seul livre de cuisine qui nous soit parvenu, au IVe, de De re coquinaria, attribué à un Apicius dont l'identité fait débat. Préparer à manger[modifier | modifier le code] On a pu remarquer qu'à Pompéi, détruite en 79, pratiquement toutes les maisons possèdent leur propre meule à grains. Chaque maison possédait aussi son propre four dans lequel on cuisait des pains circulaires et plats.
De nombreuses maisons possédaient aussi des moulins à huile d'olive. Disposition de la cuisine[modifier | modifier le code] cuisine romaine reconstituée. L'ALIMENTATION ET LA CUISINEDANS L'ANTIQUITÉ. Introduction "Le boire, le manger nous donnent à tous des plaisirs tout pareils, car ce n'est pas le faste de la table qui fait cesser la faim.
Ainsi parle Antiphane". (Athénée, Deipnosophistes, I, 5f) " De nos jours encore, les amants des lettres trouvent aux banquets où assistèrent ensemble Socrate et ses amis même intérêt, même plaisir que les convives de ce temps-là. Or supposé l'élément matériel fournissant alors l'agrément à sa façon, c'était à Xénophon et à Platon de laisser après eux un souvenir écrit non pas de ce qui s'était dit à la table de Callias ou Agathon, mais de ce qu'on y avait servi : mets, plats cuisinés, "amuse-gueules" . Alimentation en Grèce antique. Le régime alimentaire des Grecs antiques se caractérise par sa frugalité, reflet de conditions difficiles pour l'agriculture grecque.
Il se fonde sur la « triade méditerranéenne »[1] : blé, huile d'olive et vin. L’alimentation des Grecs est connue par des sources à la fois littéraires et artistiques : les comédies d'Aristophane et les extraits d'œuvres préservées par le grammairien Athénée d'une part, les vases peints et les figurines en terre cuite d'autre part.