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RC1 La contribution des pouvoirs publics à la justice sociale

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Prezi RC1 La contribution des pouvoirs publics à la justice sociale. Les bénéficiaires de l'aide sociale ont-ils des comptes à rendre ? Depuis le 5 février désormais dans le département du Haut-Rhin il n’est théoriquement plus possible de toucher le RSA sans s’acquitter d’abord de 7 heures par semaine de bénévolat. Ce revenu minimum, dernier rempart contre la pauvreté, serait-il un privilège ? Une décision prise par un conseil départemental suscite rarement l’intérêt médiatique national. C’est pourtant ce qui s’est produit suite à la décision de l’assemblé plénière du Haut-Rhin de revoir les règles de versement du RSA. Désormais, sur ce territoire pour en bénéficier il faudra s’acquitter en échange de sept heures de bénévolat hebdomadaires. La perception du RSA était déjà conditionnée à la recherche active d’un emploi.

Une contrepartie visiblement insuffisante. Inacceptable ! « Les bénéficiaires de l’aide sociale ont-ils des comptes à rendre ? RSA et bénévolat : n'importe quoi ou pourquoi pas ? Intervenants : Bibliographie La Sécurité sociale PUF, 2015 Voulons-nous vraiment l'égalité ? Répétez après moi : l’assurance chômage est excédentaire. Lundi 22 février, les partenaires sociaux entament leurs négociations sur l’avenir de l’assurance-chômage.

Le gouvernement, relayé ces derniers jours par l’Association française des entreprises privées (AFEP), oriente le débat depuis plusieurs semaines vers la nécessité de réduire l’aide aux chômeurs en mettant en avant l’idée de dégressivité des allocations. En clair : les chômeurs nous coûtent trop cher. Un constat complètement erroné : contrairement à ce que racontent la vulgate gouvernementale et patronale, le régime français d’indemnisation du chômage est excédentaire. Les négociations pourraient pourtant être utiles si elles prenaient pour base la nécessité de remettre en cause la multiplication de contrats de travail de plus en plus courts. Ce sont eux qui nous coûtent le plus. On pourrait souligner que cette dette ne représente qu’un peu plus de 1 % de la dette publique française.

Les salariés en CDI contribuent positivement aux comptes de l’Unedic. La France championne du monde de la protection sociale. Mettons-nous dans la tête d'un salarié qui chercherait le pays le plus compétitif pour la protection sociale. Il choisirait sans doute la France. Elle arrive en tête de l'Union Européenne, avec le Danemark et l'Espagne. Comparatif européen de ces droits menacés par la crise. Et si pour une fois, on se mettait à la place d'un salarié? Vous remarquerez que l'on se met souvent à la place de l'entreprise (qui paie trop de charges, n'a pas assez de marge pour investir, voudrait licencier plus facilement), mais on ne se met jamais dans la tête d'un salarié qui se dirait: Du point de vue de la protection sociale, quel est le meilleur pays de l'Union européenne où m'installer?

Et le gagnant est… la France! Ne bougez pas! A la lecture d'une étude publiée hier par Glassdoor, une plateforme de recherche d'emploi sur Internet (ici en anglais), la France est avec le Danemark et l'Espagne le pays où la protection sociale est la meilleure. Je suis chômeur :Fuyez le Royaume Uni. ... pour combien de temps? Travaux d'intérêt général Humeur de Guillaume Erner France culture 9 fév 2016. Quelles conceptions de l'égalité dans les sociétés démocratiques ?

Comment assurer la justice sociale ? RSA contre bénévolat dans le Haut Rhin : Monnayer la solidarité nationale ? Inacceptable ! Arthur Laffer (né en 1941) : Son « trop d’impôt tue l’impôt » a influencé Reagan et… Sarkozy - Les plus grands génies de l’économie - Histoire éco - Enquêtes - 2. Contrairement aux raccourcis qui ont pu être faits ici ou là, il ne s’agit pas de ponctionner les trois quarts des revenus des contribuables les plus fortunés, mais de taxer plus fortement tout ce qui dépasse le million d’euros.

«Confiscation fiscale», «marxisation du PS», ont dénoncé les ténors de l’UMP. Beaucoup de bruit pour pas grand-chose, en réalité : cette mesure symbolique – quelques milliers de foyers seulement seraient concernés – ne rapporterait, d’après les calculs du Syndicat national unifié des impôts, que 200 à 250 millions d’euros par an. Plus instructive est la lecture d’un récent rapport du Sénat sur le projet de loi de finances 2012. On y apprend que les 1% des foyers les plus riches font l’objet d’un taux moyen de prélèvement de 18,3%. Patrick Eveno. Wauquiez sonne la charge contre l'assistanat. Allocations chômage : le retour de la dégressivité. Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Samuel Laurent Faut-il rendre le chômage dégressif ?

La question, qui revient périodiquement dans les débats, est cette fois posée par le gouvernement, et plus précisément par la ministre du travail, Myriam El Khomri, qui a évoqué cette piste dimanche soir. Lire aussi : Vers un retour de la dégressivité des allocations chômage ? Retour aux années 1990 A l’heure actuelle, un chômeur indemnisé touche une allocation de retour à l’emploi (ARE) correspondant à 57 % (ou 40,4 % et 11,72 euros par jour si ce calcul lui est plus favorable) de son ancien « salaire journalier de référence » (la moyenne des salaires bruts des douze derniers mois, moins les absences maladie notamment).

Surtout, cette somme est fixe : on la touche jusqu’à épuisement de ses droits, qui dépendent du temps passé auparavant comme salarié. Ce principe n’a pas toujours été en vigueur. Un système en place en Europe L’intérêt de ce système dégressif fait débat. Une solution financière ? Allocations chômage, 35 heures, TVA sociale : quand la gauche concrétise les rêves de la droite. C'est une nouvelle volte-face qui s'annonce pour l'exécutif. Alors que la renégociation des règles de l'assurance chômage approche, la ministre du Travail, Myriam El Khomri, le ministre des Finances, Michel Sapin, puis le ministre de l'Economie, Emmanuel Macron, ont, tour à tour ces derniers jours, laissé la porte ouverte à un retour de la dégressivité des allocations touchées par les demandeurs d'emploi.

Une mesure pourtant critiquée par François Hollande durant sa campagne présidentielle, puis en 2014, et réclamée par de nombreuses figures de l'opposition. Toutefois, ce n'est pas la première fois que la droite voit une de ses propositions économiques adoptées par l'exécutif. La dégressivité des allocations chômage Ce dont la droite rêve : Entre 1992 et 2001, les allocations versées aux demandeurs d'emploi diminuaient dans le temps. Même si l'Insee a conclu à l'inefficacité de ce dispositif, les principaux candidats de la primaire de la droite et du centre en sont tous nostalgiques. Mon copain Bismarck. Comment calcule-t-on l’impôt sur le revenu ? La protection sociale.

Comment fonctionne le système de retraite par répartition ?