Comment ? Pourquoi ? - Pl@ntNet. Le nom des fleurs pour tous. Flora Electronica Version BONNIER. Menu Principal - Outil de détermination en ligne des plantes - FLORA ELECTRONICA Bonnier 1.3. France métropolitaine. Le référentiel des noms scientifiques La BDNFF (Base de Données Nomenclaturale de la Flore de France) compile la nomenclature et la synonymie des plantes vasculaires (trachéophytes) de la France métropolitaine étendue à certains taxons des contrées limitrophes.
Cet index est réalisé par Tela Botanica dans le cadre d’une convention quadripartite MNHN/ Tela Botanica / Ministère chargé de l’Écologie / Fédération des conservatoires botaniques nationaux. Basé sur les travaux de Michel Kerguelen (1928-1999), c’est un travail de synthèse réalisé par Benoît BOCK avec la collaboration de nombreux botanistes du réseau Tela Botanica, de l’INPN (MNHN), des Conservatoires botaniques nationaux avec le soutien financier du Ministère chargé de l’Écologie.
La BDNFF du 15 mars 2017 comporte 97 422 noms pour 22 994 taxons (en comptant les taxons infra et supra spécifiques ainsi que les hybrides) dont 14 035 pour la France. Actuellement en consultation dans eFlore : la BDTFX V4.01 de mars 2017. Home. Les Petites Herbes: Boucles d'oreilles végétales. Je crée des boucles d’oreilles à partir du végétal.
J’utilise du Jonc diffus (Juncus effusus)-Joncacées, du Tilleul (Tilia)-Tiliacées ou Malvacées ou encore de la Clématite des haies (Clematis vitalba)-Renonculacées seule ou combinée avec du Cornouiller sanguin (Cornus sanguinea)-Cornacées. Je les vends lors des sorties botaniques au prix de 5 €, accompagnées de leur petite pochette (motif au choix : merises ou marguerites !). Boucles d’oreilles en Tilleul : Boucles d’oreilles en Clématite des haies : Boucles d’oreilles en Clématite des haies et Cornouiller sanguin : Boucles d’oreilles en Jonc diffus :
Semaines gastronomie sauvage. Nous organisons cette année un stage d'été dans les Alpes de Haute Provence.
Il aura lieu dans les montagnes ensoleillées entourant Barrême, à deux pas des Gorges du Verdon, en pleine nature à 1000 m d'altitude. Nous identifierons les plantes rencontrées sur le terrain et nous étudierons leurs propriétés alimentaires et médicinales ainsi que leur histoire. La pratique quotidienne sera complétée par quelques séances de botanique théorique pour apprendre à identifier plus facilement les plantes et à mieux les connaître. Au cours de la semaine, nous randonnerons jusqu'à un ancien village perdu au milieu de la lavande sauvage...
Nous aurons également l'occasion de discuter de nombreux sujets touchant aux plantes, à la nature et aux relations de l'homme avec le monde qui l'entoure. Chaque participant est invité à prendre des notes et à conserver un échantillon des végétaux rencontrés en abondance, en respectant bien sûr les plantes rares. Matériel à apporter : Boîte à malice de Maman Fée. Salicorne… Quesaco?
Une créature légendaire sortie tout droit de l’univers farfelu des Minions ? Une salière avec une corne? Un mot que je viens tout juste d’inventer pour t’embêter un peu et te faire cogiter durant des heures? Astuce pour cultiver la salicorne... - Le blog de ecureuilbleu. Le n'oeil de Sophie.
Petit aperçu de la flore de Camargue / Les saintes Maries de la Mer (11) - Dans la Bulle de Manou. Suite de mon périple du mois de juin en Camargue...
Il faut noter que le mois de juin n'est pas la période idéale pour observer la flore camarguaise... Il faudrait venir au printemps car le soleil tape déjà fort ! J'ai pu cependant observer quelques-unes des plantes caractéristiques de la Camargue...ou de la bordure littorale. Tout d'abord la formation végétale la plus importante de la Camargue est la sansouire, un mot qui vient du latin "saumure". On pourrait la comparer aux prés salés mais elle est beaucoup plus sèche en été. Les sansouires forment des étendues inondées en hiver par l'eau de mer bien qu'elles se situent derrière le cordon sableux. Le sol y est donc très salé et elles sont sèches en été à tel point que le sol est craquelé et recouvert le plus souvent d'une fine couche de sel... La terre y est desséchée et craquelée en été. C'est la salicorne, verte en été et rouge en automne, qui occupe de 20 à 30 % de la surface de la sansouire.
Sa racine est solidement ancrée dans le sol.