Le MIT crée une base de données qui apprend au fil du temps grâce à l'IA. Le laboratoire CSAIL du MIT a créé un système de stockage de données basé sur l’intelligence artificielle.
Grâce au Machine Learning, ce système est capable d’apprendre au fil du temps à s’optimiser de manière autonome pour traiter plus efficacement les requêtes des utilisateurs… Face à la hausse massive du volume de données généré par l’humanité, il devient indispensable de réfléchir à de nouveaux systèmes de stockage. Pour que le Big Data soit avantageux, il est nécessaire de pouvoir continuer à stocker et à traiter les données. La solution pourrait provenir du laboratoire Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory (CSAIL) du MIT. Une équipe de chercheurs de ce laboratoire a créé un système de type » instance-optimized « . Traditionnellement, les systèmes de stockage et les bases de données sont conçus pour être compatibles avec une large variété d’applications.
Néanmoins, les performances de ces systèmes ne sont pas maximisées. Coronavirus : Quand Une IA Fait Des Prévisions Alarmantes. Selon une simulation utilisant l’intelligence artificielle (IA), le coronavirus pourrait contaminer jusqu’à 2,5 milliards de personnes en 45 jours, et parmi elles 52,9 millions pourraient mourir des suites de la maladie.
Fort heureusement, les conditions de la maladie évoluent, et les modes de propagation et de détection sont plus précis, ce qui modifie des facteurs cruciaux que le programme ne prend pas en compte. Cela signifie que nous sommes sans doute plus en sécurité que nous le pensons. Et le mot-clef ici, c’est sans doute. Car rationnelle ou non, la peur du coronavirus se répand dans le monde entier. Aux États-Unis, les habitants se jettent sur les masques à gaz. Un nouveau site internet qui suit en temps réel la propagation du coronavirus dans le monde entier indique que le nombre de cas attestés est aujourd’hui de 31 521, avec 639 décès et 1 607 guérisons.
Nouveau monde. "Il faut former les professionnels à l’IA en entreprise" Depuis quelques jours, la France compte une nouvelle "licorne", c'est-à-dire une startup valorisée à plus d’1 milliard de dollars : Dataiku.
Alphabet, maison-mère de Google, vient en effet d’acquérir une partie du capital de cette entreprise spécialisée dans les solutions d’intelligence artificielle pour les entreprises. franceinfo : À quoi servent les logiciels d’intelligence artificielle de Dataiku ? Florian Douetteau, fondateur et PDG : nous couvrons à peu près tous les domaines d’activité : finances, marketing, industrie ou encore nouvelles technologies. Notre intelligence artificielle sert, par exemple, à prédire des pannes sur des moteurs ou à comprendre l’efficacité d’un budget marketing, à partir de l’analyse de données massives.
L’IA a souvent une image assez hollywoodienne… La réalité d’aujourd’hui n’a pas grand-chose à voir avec la série Black Mirror. La surexploitation des données ne présente-t-elle pas un risque pour la vie privée ? Votre avis est précieux. je donne mon avis. Elon Musk : comment il veut implanter des puces dans notre cerveau avec Neuralink. Après s’être intéressé à l'infiniment grand, Elon Musk s’intéresse maintenant à l'infiniment petit.
Le milliardaire aurait en effet fondé en juillet dernier une nouvelle société en toute discrétion, Neuralink, afin de travailler sur le cerveau humain, a révélé le Wall Street Journal. Si le fondateur de Tesla et SpaceX n’a pour l’instant pas fait d’annonce officielle à ce sujet, ça ne devrait pas tarder… Sur Twitter, il promet d’en dire plus d’ici une semaine. “Il est difficile de trouver du temps pour ça mais le risque existentiel est trop élevé pour ne pas le faire”, écrit Elon Musk sur le réseau social à propos de son nouveau projet. D’après le WSJ, Neuralink, qui serait financée par les fonds propres de l’entrepreneur, a été enregistrée en Californie en tant qu’entreprise de recherche médicale. Intel va utiliser l'IA pour aider les patients paralysés à effectuer à nouveau des mouvements.